L’institution culturelle souffre déjà lourdement de la pandémie depuis la fin de l’hiver 2020? L’incendie a causé de très importants dégâts des eaux, surtout dans la salle de concert Art Déco Henry Le Bœuf, oeuvre de Victor Horta.
Son orgue, restauré en 2017, a été détruit à 80%.
Voici le communiqué : « BOZAR a toujours été un lieu qui chérit le passé et embrasse l’avenir, où patrimoine et innovation vont de pair. Et nous surmonterons ces nouvelles épreuves. Le Palais restera ouvert et nous restaurerons, reconstruirons et regarderons devant nous, comme nous l’avons toujours fait.
Mais nous avons besoin de votre aide. Pour continuer à organiser des projets artistiques de grande envergure qui stimulent, passionnent, réconfortent et explorent. Et poursuivre pleinement notre mission, en qualité de pôle culturel multidisciplinaire majeur, pour chacun d’entre vous. » Cliquez ici pour les informations pratiques.
framboiz 07
4 février 2021 @ 03:51
Incendie du à quoi ? Il y avait des travaux ? Je compatis , surtout après les réfections de l’orgue , c’est difficile de trouver les crédits , pour réparer , même dans la cathédrale du sacre des rois de France, où l’on va enfin commencer à réparer , alors, si après, ça brûle , C la cata !
Juliette d
4 février 2021 @ 04:01
Une bien triste histoire.
Caroline
4 février 2021 @ 11:01
Assez difficile de faire une collecte importante pour la culture en pleine pandémie! Donc, à plus tard !
On préfère financer les organisations humanitaires pour aider les démunis et les autres privés de leur travail à cause de la pandémie du corona !
Anastasie
4 février 2021 @ 12:31
Cette salle est magnifique et mérite d’être restaurée… car la culture aide aussi à retrouver un moral mis à mal par la pandémie. J’espère que les fonds nécessaires seront trouvés.
Si je renonce à contribuer, c’est que j’habite la Suisse et qu’ici aussi les demandes de soutien en tous genres ne manquent pas…
Philppe Gain d'Enquin
6 février 2021 @ 19:27
Et dire que si les parties hautes avaient été touchées, l’on aurait parlé de » Le Bœuf » sur le toit, comme à Paris, entrainés que nous aurions étés par la Senne …