La construction du Palais des Beaux-Arts de Lille a débuté en 1881. Les œuvres d’art stockées à l’hôtel de Ville se trouvant trop à l’étroit. Le chantier se termine en 1892 mais doit être revu de manière plus modeste au vu de l’explosion du budget initial. Il manque ainsi la partie arrière qui avait été envisagée par l’architecte Edouard Bréard.
Au cours de la Première Guerre Mondiale, le Palais des Beaux-Arts est l’objet de nombreux tirs d’obus puis de pillages par l’armée allemande. Les œuvres sont retrouvées à Bruxelles où les Allemands les avaient déposées. Le musée ne réouvrira ses portes qu’en 1924.
Dans les années 90, il a fait l’objet d’une nouvelle rénovation avec annexe en verre à l’arrière appelée « L’équerre d’argent ».
Leonor
24 août 2019 @ 11:24
Un musée de tout premier ordre.
On ne va pas vous décrire ses collections, ça serait trop long , et dithyrambique ( ouf, je suis arrivée à l’écrire correctement, me suis appliquée).
Allez sur le site web du musée : remarquablement bien fait . Attention, vous allez y passer des heures.
http://www.pba-lille.fr/
GILLES
24 août 2019 @ 13:29
Lilloise, je suis ravie de voir ce beau palais mis à l’honneur
Philippe Gain d'Enquin
25 août 2019 @ 09:16
En cette année du 250 maire de Napoléon, il est intéressant de savoir qu’une statue de l’Empereur y est visible, celle le représentant en protecteur de l’Industrie, à ses pieds coupon d’étoffe, roue dentelée et betterave sucrière Ladite statue se dressait au centre de la Vieille Bourse, jusqu’à ce qu’elle intègre l’établissement muséal.
Philippe Gain d'Enquin
27 août 2019 @ 08:41
« cinquantenaire… »et « un » coupon…