Voici l’autobiographie de Soraya, l’épouse répudiée du Shah d’Iran, celle qui fut surnommée la princesse aux yeux tristes. Qui prit le chemin de l’exil pour ne pas avoir donné d’héritier au trône d’Iran. Sa vie à la Cour et ses intrigues et puis sa nouvelle vie en quête perpétuelle du bonheur.
« Le palais des solitudes », Soraya Esfandiary Bakhtiary, J’Ai lu, 1999
Danielle
10 avril 2009 @ 07:56
Pauvre Soraya, quel bien triste destin.
Laurent D
10 avril 2009 @ 14:12
Bonjour Danielle,
Une très belle femme avec malheureusement un destin tragique comme Grâce, Diana, la Callas…
Je sous souhaite de joyeuses Pâques.
Laurent
Mary
10 avril 2009 @ 14:38
J’ai lu ses 2 livres.Le premier s’intitulait »ma vie » et s’arrEtait vers sa trentième année.Interessant.
Laurent D
11 avril 2009 @ 08:05
Bonjour Danielle,
Une très belle femme avec malheureusement un destin tragique comme Grâce, Diana, la Callas…
Je sous souhaite de joyeuses Pâques.
Laurent
Danielle
11 avril 2009 @ 10:44
Laurent D, je vous ai écrit ce matin.
A tous, amicales pensées ensoleillées de Bourgogne.
jean marie campana
11 avril 2009 @ 23:35
ses obseques religieuses à Paris ont été chrétiennes. Curieux,non?
Observateur
12 avril 2009 @ 18:24
Sa mère, née Eva Carl, était allemande.
Laurent D
13 avril 2009 @ 13:47
Danielle,
J’ai eu votre message mais j’étais très en retard et sur le point de partir à la campagne aussi donc je n’ai pas eu le temps de vous répondre.
Bon séjour :)
Caroline
14 avril 2009 @ 09:54
Ah,j’ai compris que si sa mere etait allemande d’origine,elle n’a pas l’air iranien…
jean marie campana
14 avril 2009 @ 20:11
certes sa mere était allemande mais pour épouser le shah elle a du se convertir à l’Islam
Laurent D
15 avril 2009 @ 12:31
Née à Ispahan, Sorayah Esfandiari était l’aînée et la seule fille de Khalil Esfandiari, un notable de la puissante tribu Bakhtiari du sud de l’Iran, qui était ambassadeur iranien en Allemagne de l’Ouest dans les années 1950 et de Eva Klein, une allemande née en Russie.
Sa famille a depuis longtemps été impliquée dans le gouvernement et le corps diplomatique iranien.
Un de ces oncles, Sardar Assad, était un des dirigeants du mouvement constitutionnaliste iranien au début du xxe siècle.
Elle donc du côté paternel des origines iraniennes très importantes.
Charles
15 avril 2009 @ 13:51
Dommage que la princesse Soraya se soit mis a boire pour fuir la futilité de sa vie. A la fin de sa vie elle était mal accompagnée et se souciait uniquement de ses bijoux et de ses toilettes. D’où un spleen chronique!
Laurent D
15 avril 2009 @ 14:40
Charles,
Je suis d’accord avec vous mais pensez-vous que c’est facile de devoir quitter son pays et ne jamais le revoir, être répudiée par l’homme que l’on aime pour raison d’Etat puisqu’elle ne pouvait pas enfanter, perdre son second amour (mort dans un accident d’avion) alors qu’elle reprenait goût à la vie et tout le reste.
Il faut une sacrée force de caractère, je pense pour endurer tout cela.
Comme le dit une amie – qui est loin d’être à la rue – : « que l’on pleure dans une Rolls ou une 2 CV, au final on pleure toujours ».
Danielle
15 avril 2009 @ 15:01
Laurent D, vous avez raison pour Soraya, quel courage ! je l’ai toujours beaucoup plainte.
Laurent D
15 avril 2009 @ 21:26
Du reste, même l’Impératrice Farah a dit dans une interview à Point de Vue ou dans sa biographie, il me semble qu’elle avait toujours sur elle dans son sac à mains un calmant/anxiolitique.
Nelly
10 décembre 2009 @ 11:27
Triste destin !!
Cependant, je ne suis pas d’accord avec Charles. L’ex-impératrice n’était pas si futile qu’il veut bien le dire.
Elle s’occupait de certaines oeuvres, dicrètement, c’est tout.