Lors de son mariage avec l‘archiduchesse Marie Louise d’Autriche, l’empereur Napoléon I commande un diadème de rubis et diamants.
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Leclercq
1 juin 2021 @ 04:13
Quelle richesse! Je me demande combien pèse ce magnifique bijou..
Laurent F
1 juin 2021 @ 06:14
La photo est celle d’une reproduction réalisée par Chaumet du diadème d’origine.
Le diadème actuel appartiendrait à la collection Niarchos, il a été présenté lors d’une exposition au Louvre dans les années 60
http://diamantsdelacouronne.free.fr/Diamants%20de%20la%20Couronne/Parure%20de%20rubis/slides/Diademe%20.html
j21
1 juin 2021 @ 13:30
Le vrai est plus beau que la copie.
Iankal21
1 juin 2021 @ 14:05
Merci Laurent F pour ces magnifiques photos. En jugeant aussi par le diadème d’emeraudes que même l’impératrice Eugénie n’a pas voulu modifier, on peut dire que les joailliers de la Duchesse d’Angoulême avaient un goût vraiment supérieur !
Trianon
1 juin 2021 @ 06:37
On dirait des grenats
Iankal21
1 juin 2021 @ 14:11
Ils sont bien des grenats.
Opale
1 juin 2021 @ 17:18
je pense que c’est la photo qui veut cela mais ce sont bien des rubis 😉
Trianon
2 juin 2021 @ 12:00
Iankal et Opale….merci pour vos réponses , même si elles ne s’accordent pas ..:)
Charlotte de L G
1 juin 2021 @ 06:47
Il n’a pas été dépecé, c’est déjà ça.
Il ne faut pas désespérer, il peut un jour apparaître dans une vente mais comme c’est certainement le prix qui a empêché le Louvre d’en faire l’acquisition, il est à craindre que l’histoire se répète. Les rubis semblent très beaux, qu’en pense Baboula ?
Danielle
1 juin 2021 @ 07:47
Très beau diadème, peut être arrivera t il dans un musée dans x années.
Elsi
1 juin 2021 @ 09:07
Magnifique joyau .. je le mettrai bien pour travailler au jardin … mon voisin mourrait de jalousie ….
Beque
1 juin 2021 @ 09:56
Je suis un peu hors sujet mais, puisque nous venons de commémorer la mort de Napoléon le 5 mai, on peut se demander comment Marie-Louise apprit la mort de celui qui fut son époux et lui offrit de somptueux bijoux.
La nouvelle n’est parvenue à Vienne que le 13 juillet par un courrier de la maison Rothschild mais Marie-Louise n’en sera informée que par la Gazetta Piemontese du 19 juillet qui reprenait les journaux de Vienne et de Paris. Elle écrit à la comtesse de Colloredo : « Je ne puis oublier qu’il est le père de mon enfant et que, loin de me maltraiter, comme tout le monde le croit, il m’a toujours témoigné des égards, seule chose que l’on puisse désirer dans un mariage politique. »
Marie-Louise écrit à son fils : « J’ai appris combien tu as été profondément ému par le malheur qui nous frappe tous les deux. T’écrire à ce sujet et t’en parler est ce qui me fait le plus de bien. Je suis sûre que tu éprouves cette perte aussi vivement que moi, car tu serais un ingrat de ne pouvoir oublier toute la bonté qu’il t’a témoignée pendant ton enfance. Je sais que tu t’efforceras d’imiter ses qualités ».
La cour de Parme prendra le deuil pendant trois mois, les cérémonies funèbres se déroulant les 30 et 31 juillet. Seules les personnes attachées au service intérieur de Marie-Louise l’accompagnent. « L’émotion de Sa Majesté a été très forte et bien naturelle quand elle a dû se rappeler le père de son fils et sa malheureuse fin. Elle a ordonné de faire célébrer mille messes ici et mille autres à Vienne, écrit Neipperg à Metternich. Le 8 août, Marie-Louise épouse discrètement Neipperg dont elle venait d’avoir un troisième enfant.
Iankal21
1 juin 2021 @ 14:11
Les lettres de Marie Louise témoignent autant de noblesse de cœur que de réalisme politique.
Cosmo
2 juin 2021 @ 12:41
Marie-Louise sacrifiée par Metternich a su prendre le meilleur de l’Empire, mais sacrifiée à nouveau en 1814, elle a su prendre le meilleur de son petit duché. Elle y a laissé un meilleur souvenir qu’en France. Il est vrai qu’oublier aussi rapidement un mari vivant, cela faisait désordre et ne lui a pas été pardonné.
PATRICIA
1 juin 2021 @ 09:59
Ce diadème est très chargé. ça fait bizarre qu’il soit passé de l’impératrice Marie Louise à la Marie-Thérèse file de marie Antoinette. mais cela dit, elle étaient cousines si on fait simple !
PATRICIA
1 juin 2021 @ 10:00
à la TÊTE de Marie-Thérèse fille …….
Laurent F
1 juin 2021 @ 11:42
Il faisait partie de la collection des diamants de la Couronne, il a été démonté puis refait pour la duchesse d’Angouleme. Il appartient aujourd’hui à la collection Niarchos
PATRICIA
1 juin 2021 @ 22:29
Très bien, je comprends. Impressionnant !
Caroline
1 juin 2021 @ 10:16
On peut toujours essayer d’ acheter ce beau diadème pour les musées avec des expositions sur Napoléon 1er !
Iankal21
1 juin 2021 @ 10:19
Le diadème présenté en cette photo est une fidèle copie de l’original, faite par Chaumet avec des grenats et des saphirs blancs.
Le diadème de la Duchesse d’Angouleme appartient à la collection Niarchos.
septentrion
1 juin 2021 @ 11:29
Iankal21,
Merci pour vos informations.
Baboula
1 juin 2021 @ 15:41
Charlotte,je ne suis pas gemmologue et mon goût importe peu ;comme le dit Trianon,ce sont des grenats clairs ,le diadème est lourd ,sans grâce ,nouveau riche . L’original que nous présente Laurent est un feu de lumières mais tout aussi massif .
septentrion
1 juin 2021 @ 10:19
Je trouve ce diadème superbe, nettement supérieur en élégance à nombre de ceux de la Reine d’Angleterre.
Marie-Louise ne l’a pas conservé ? ce n’était pas un cadeau personnel ?
Nini Plume 🌻
2 juin 2021 @ 10:23
Quelle chic, quelle retenue, quelle abondance, quelle grâce, qu’elle opulente beauté, que ce diadème.
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
1 juin 2021 @ 12:17
Ô ! Splendide.
Quelle merveille, quelle luxuriant diadème.
Il doit peser son poids porter sur la tête. 💖
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
1 juin 2021 @ 17:48
Oups » quel «
COLETTE C.
1 juin 2021 @ 12:49
Je voudrais savoir comment il s’est retrouvé en possession de Madame Royale.
LPJ
2 juin 2021 @ 11:46
Il faisait parti des bijoux de la couronne et était donc propriété de l’Etat. Ces bijoux se sont donc retrouvés sur les têtes des souveraines et princesses des différentes dynasties qui se sont succédées en France au cours du XIXème siècle. A la chute du Second Empire, les bijoux de la couronne furent vendus par la république.
Il y a donc lieu de distinguer les bijoux public mis à disposition et restés en France des bijoux privés que les Bourbon, les Orléans et les Bonaparte ont pu librement emporter en exil.
Vitabel
1 juin 2021 @ 12:51
Très très beau diadème.
Teresa2424
1 juin 2021 @ 20:20
Coincido es mucho más elegante que muchas de las que posee Isabel Ii
Teresa2424
1 juin 2021 @ 20:22
Coincido con septentrion es mucho más elegante y bonita que muchas de las que posee Isabel Ii