Merci Régine; en voyant cette photo, je me suis demandé ce que Barack Obama pouvait ressentir en présence du prince Charles? De la « pitié » sans doute… quoi d’autre?
Charles a 66 ans et est toujours en attente de la réalisation de sa « destinée » alors que Barack Obama (53 ans) est au sommet de sa carrière (deux ans et deux mois à faire pour compléter son deuxième et dernier mandat). Les enjeux de l’heure sont énormes : Se positionner vis-à-vis de l’état islamiste et la position de l’Otan vis-à-vis de la menace russe en Ukraine et dans les pays d’Europe centrale, etc. L’homme ne végète pas; il est en action et prend des décisions éclairées. Il est un lion mais il est aussi un tigre. Mon souhait le plus cher est qu’il complète son mandat et réalise le plus gros de ses promesses électorales et cède la place à un où une autre démocrate, pour le bien des E.U. et pour le maintien de la paix partout dans le monde. FdC
Oui, il fait beaucoup pour le maintient de la paix et de la démocratie, et je pense que le Prince lui apporte tout son soutien, même si il n’est pas encore roi.
Tellement d’accord avec vous. J’ai eu le même sentiment que vous en voyant cette photo: la Puissance et l’action devant l’attente et l’inertie.
Obama ne cèdera pas au chantage de EI ni de la Russie d’ailleurs.
Bien que par définition sujette de la famille royale du Canada, vous semblez bien méconnaître votre prince héritier.
De son aveu même Charles a convenu que sa destiné a été d’être le prince de Galles le plus actif de l’histoire de l’Angleterre. Son action, notamment via sa fondation the Prince’s trust , a été plus que capitale dans la formation et l’aide des jeunes. Son rôle dans la protection du patrimoine, de l’environnement et sa vision d’avant garde, qui a bien fait rire en son temps, sur le développement durable sont reconnus et respectés. Enfin il joue largement un rôle d’intermédiaire essentiel grâce à ses relations privilégiées avec le Moyen Orient. Le Prince Charles est une personne que l’on écoute et dont on envie les très nombreux réseaux. C’est d’ailleurs le seul prince héritier à être reçu en cher d’Etat à travers le monde…
Que vous ne l’appréciez guère est une chose, mais sous estimer son influence est une belle erreur …
Bonjour Chère Francine,
Je partage pleinement votre commentaire sur Charles mais pas totalement celui sur Obama que je trouve pas vraiment « tigre ou lion ». Je pense que lui avoir attribué le prix Nobel dès son élection sans aucune raison précise si ce n’est celle d’être le premier Président noir a peut-être été un frein à une certaine fermeté…. Pour moi ce n’est pas un « Grand » Président au sens où je l’entends, pouvez-vous me citer une action, un engagement, une réforme, ( pas des compromis et des demi – mesures) dont on peut le créditer? par contre son équipe de comm. est fabuleuse.
Ceux ci dit, j’aime bien ce couple.
Mais je m’égards Francine, Moi Française, Moi, dont le Pays est un si bel exemple de probité et de cohérence, Moi, moi, je vais coller ma tête telle une autruche dans mon sable chaud natal et surtout ne plus me ridiculiser en émettant le moindre avis sur un dirigeant étranger, où avais-je le post!!!
Bon Dimanche à vous
Désolée qiou, j’avais répondu mais… mon commentaire n’est pas passé. Ceci dit, comme je ne suis pas américaine, ce n’est pas vraiment « mon affaire ». J’apprécie beaucoup Barack Obama qui est un démocrate et un bon président. Bonne semaine, FdC
J’écrirai que Barack Obama peut, par la suite après qu’un autre président ait été élu, faire au moins un autre mandat (vérifier si deux possibles).
Là où je ne te rejoins pas du tout, c’est dans ta supposition « de la pitié ».
Je ne pense absolument pas qu’Obama ressente de la pitié (c’est un mauvais sentiment car négatif).
Et pourquoi ressentirait-il cela ?
Il est Américain, métisse, il a été élu président de la plus grande puissance au monde (il est l’homme le plus important – politiquement de la planète -), à seulement 47 ans. Je sais JFK était un peu plus jeune.
Quant au prince Charles, il ne doit pas connaître le montant de sa fortune et je pense qu’il est très heureux dans sa position de prince héritier.
J’ajouterai que même si j’apprécie énormément Obama, il a malheureusement fait pas mal d’erreurs politiquement.
Ce que je vois, ce sont deux hommes qui ont l’air de bien s’entendre et de bien rire ensemble aussi malgré la gravité de la situation que tu as bien soulignée.
Je ne pense pas que la Constitution permette de briguer un troisieme mandat. Vous pensez que si cela avait pu se faire la manufacture Clinton se serait manifeste et mise en marche.
Americain et democrate, j’ai acceuilli l’arrivee d’Obama comme une enorme bouffee d’oxygene alors que nous etions etouffes par une administration et sa clique qui n’avait rien a envier a Machiavel. Enfin nous metions fin a 8 annees, qui resteront tres sombres dans l’histoire, en choisissant comme president un homme, jeune, seduisant, intelligent, tres eloquent et ayant une grande aisance doublee d’une classe naturelle. Toutes les qualites que beaucoup de chefs d’etats doivent lui envier. Cette seduction et la perspective des restaurer enfin une certaine image de l’Amerique furent ressenties ici mais aussi je pense dans le monde entier.
Il est vrai, il a fait pas mal d’erreurs politiques. Sa tache n’etait pas facile tant l’acharnement systematique du parti republicain pour le faire chuter est encore tenace. Obama n’a peut-etre pas pris en consideration que la vaste majorite de nos compatriotes sont visceralement opposes a toute intrusion gouvernementale dans la vie personnelle de chacun (je pense ici au domaine social qui par rapport a l’Europe est quasiment inexistant) JFK, lui l’avait compris avec son legendaire : »ne vous demandez pas ce que peut faire votre gouvernement pour vous mais ce que vous pouvez faire pour etc… ».
Aujourd’hui, Obama est percu comme un president intellectuel, un peu elitiste et ayant perdu le contact avec l’homme de la rue. C’est assez dommage d’autant plus qu’il ne reste qu’un peu moins de deux ans de pouvoir et que pas mal de promesses de campagnes resteront inachevees.
Rien d’allechant se pointe encore a l’horizon et aucun veritable programme de relance economique (nerf du pouvoir) n’est sur le tapis. Les Etats-Unis reservent toujours des surprises. Souhaitons que la prochaine soit bonne. « A business tycoon » aurait ses chances mais il faudra alors relever la grille des salaires pour la fonction.
La photo de ces deux hommes est bien sympathique. Si l’on me proposait d’endosser l’un ou l’autre costume, sans aucun doute je prendrais celui de Charles. Le job est moins stressant.
Je vous remercie pour vos compliments mais surtout pour l’analyse en profondeur de la situation politique et de la mentalité américaines.
Je ne suis pas réellement entrée dans les détails concernant la politique d’Obama n’étant pas informée de tout mais je savais et j’aurais dû mentionner que les Républicains, comme vous l’écrivez fort bien, lui causent beaucoup de soucis.
Pour avoir des amis qui ont vécu plus de 25 ans aux USA (lui est Anglais), ils nous parlent de la mentalité tellement différente de la nôtre en Europe.
N’ayant même jamais été aux States, je comprends votre soulagement à la fin des deux mandats et tout comme vous, j’ai été enchantée de l’élection de Barack Obama qui est un symbole mais aussi pour toutes les mêmes raisons que vous évoquez.
C’est un homme brillant, séduisant, charismatique, élitiste comme vous l’écrivez et cela ne peut plaire à tous.
Les « retombées » ont été ressenties aussi en Europe.
J’appréhende, déjà, la fin de son mandat puisque comme vous le dites bien : qui se profilera à l’horizon ?
Quant à la possibilité d’un troisième mandat, il me semble l’avoir lu mais vous connaissez mieux votre Constitution que moi, petite Belge.
J’ai toujours plaisir à vous lire et je vous remercie encore pour votre réponse fort intéressante.
Je ferais le même choix que voix concernant les deux protagonistes et pour les mêmes raisons.
Je souhaite vous féliciter pour votre français impeccable.
PARIS (Sipa) — Depuis 1951 et l’adoption du 22e amendement de la Constitution, un président américain ne peut assumer plus de deux mandats à la Maison Blanche, qu’ils soient consécutifs ou non.
Dans toute l’histoire américaine, seul Franklin D. Roosevelt a rempli trois mandats consécutifs et est mort au cours du quatrième (1933-1945), peu avant la fin de la Deuxième Guerre mondiale. C’est précisément cette exception qui a incité les législateurs à limiter la possibilité pour un président sortant de se représenter.
Conséquence, cette limitation des pouvoirs présidentiels a fait que les électeurs ont désormais tendance à réélire le président sortant.
En fait, depuis le début du XXe siècle, George H. Bush (père), en 1988, n’a été que le quatrième président américain à être battu à l’issue de son mandat de quatre ans. Le démocrate Jimmy Carter avait lui aussi été « sorti » en 1980 par le républicain Ronald Reagan. Avant lui, Franklin Roosevelt s’était imposé face au républicain Herbert Hoover en 1932 et, avant lui encore, le démocrate Woodrow Wilson avait battu le républicain William Taft, président sortant, en 1912.
Permettez-moi de vous remercier pour votre aimable reponse. J’ai decouvert dans cette derniere que nous avions quelque chose en commun : je suis d’origine belge (Louvain).
Le monde est vraiment petit : je suis native de Ciney (province de Namur) – Ardennes belges –
Amicalement cher compatriote,
Gibbs
6 septembre 2014 @
10:04
Voici la définition Larousse de PITIE.
Je ne pense pas du tout qu’elle soit adaptée dans les circonstances.
Il y a une connotation négative.
PITIE
Sentiment qui porte à compatir aux souffrances ou à la faiblesse d’autrui, à le considérer avec commisération, à le traiter avec une indulgence particulière : Je ne veux pas de votre pitié.
Indulgence, pardon ou parfois simple tolérance pour autrui, pour ses actes
Ceci n’est pas totalement en rapport avec cet article, mais cela concerne le Prince Charles qui a hier rendu hommage à sa grande amie l’humoriste américaine Joan Rivers. Cette amitié qualifiée d’improbable par les médias britanniques est en effet surprenante quand on connait l’humour ravageur de cette femme également très connue pour ses très multiples opérations de chirurgies. Voici le lien du daily mail reprenant l’hommage du Prince et de la Duchesse. Il est précisé que Joan Rivers était l’une des rares invitées américaines de leur mariage en 2005. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2744898/She-enormous-zest-life-Prince-Charles-Camilla-pay-tribute-Joan-Rivers-unlikely-friendship-royal-couple.html
Francine du Canada
5 septembre 2014 @ 21:37
Merci Régine; en voyant cette photo, je me suis demandé ce que Barack Obama pouvait ressentir en présence du prince Charles? De la « pitié » sans doute… quoi d’autre?
Charles a 66 ans et est toujours en attente de la réalisation de sa « destinée » alors que Barack Obama (53 ans) est au sommet de sa carrière (deux ans et deux mois à faire pour compléter son deuxième et dernier mandat). Les enjeux de l’heure sont énormes : Se positionner vis-à-vis de l’état islamiste et la position de l’Otan vis-à-vis de la menace russe en Ukraine et dans les pays d’Europe centrale, etc. L’homme ne végète pas; il est en action et prend des décisions éclairées. Il est un lion mais il est aussi un tigre. Mon souhait le plus cher est qu’il complète son mandat et réalise le plus gros de ses promesses électorales et cède la place à un où une autre démocrate, pour le bien des E.U. et pour le maintien de la paix partout dans le monde. FdC
Claude-Patricia
6 septembre 2014 @ 09:05
Chère Francine,
Oui, il fait beaucoup pour le maintient de la paix et de la démocratie, et je pense que le Prince lui apporte tout son soutien, même si il n’est pas encore roi.
Manouche
6 septembre 2014 @ 14:22
Tellement d’accord avec vous. J’ai eu le même sentiment que vous en voyant cette photo: la Puissance et l’action devant l’attente et l’inertie.
Obama ne cèdera pas au chantage de EI ni de la Russie d’ailleurs.
Nico
6 septembre 2014 @ 23:57
Bien que par définition sujette de la famille royale du Canada, vous semblez bien méconnaître votre prince héritier.
De son aveu même Charles a convenu que sa destiné a été d’être le prince de Galles le plus actif de l’histoire de l’Angleterre. Son action, notamment via sa fondation the Prince’s trust , a été plus que capitale dans la formation et l’aide des jeunes. Son rôle dans la protection du patrimoine, de l’environnement et sa vision d’avant garde, qui a bien fait rire en son temps, sur le développement durable sont reconnus et respectés. Enfin il joue largement un rôle d’intermédiaire essentiel grâce à ses relations privilégiées avec le Moyen Orient. Le Prince Charles est une personne que l’on écoute et dont on envie les très nombreux réseaux. C’est d’ailleurs le seul prince héritier à être reçu en cher d’Etat à travers le monde…
Que vous ne l’appréciez guère est une chose, mais sous estimer son influence est une belle erreur …
Gibbs
7 septembre 2014 @ 08:12
Nico,
Merci pour toutes ces importantes précisions.
qiou
7 septembre 2014 @ 09:51
Bonjour Chère Francine,
Je partage pleinement votre commentaire sur Charles mais pas totalement celui sur Obama que je trouve pas vraiment « tigre ou lion ». Je pense que lui avoir attribué le prix Nobel dès son élection sans aucune raison précise si ce n’est celle d’être le premier Président noir a peut-être été un frein à une certaine fermeté…. Pour moi ce n’est pas un « Grand » Président au sens où je l’entends, pouvez-vous me citer une action, un engagement, une réforme, ( pas des compromis et des demi – mesures) dont on peut le créditer? par contre son équipe de comm. est fabuleuse.
Ceux ci dit, j’aime bien ce couple.
Mais je m’égards Francine, Moi Française, Moi, dont le Pays est un si bel exemple de probité et de cohérence, Moi, moi, je vais coller ma tête telle une autruche dans mon sable chaud natal et surtout ne plus me ridiculiser en émettant le moindre avis sur un dirigeant étranger, où avais-je le post!!!
Bon Dimanche à vous
Francine du Canada
8 septembre 2014 @ 17:27
Désolée qiou, j’avais répondu mais… mon commentaire n’est pas passé. Ceci dit, comme je ne suis pas américaine, ce n’est pas vraiment « mon affaire ». J’apprécie beaucoup Barack Obama qui est un démocrate et un bon président. Bonne semaine, FdC
Gibbs
6 septembre 2014 @ 08:29
Francine,
Je te rejoins pour ton dernier paragraphe.
J’écrirai que Barack Obama peut, par la suite après qu’un autre président ait été élu, faire au moins un autre mandat (vérifier si deux possibles).
Là où je ne te rejoins pas du tout, c’est dans ta supposition « de la pitié ».
Je ne pense absolument pas qu’Obama ressente de la pitié (c’est un mauvais sentiment car négatif).
Et pourquoi ressentirait-il cela ?
Il est Américain, métisse, il a été élu président de la plus grande puissance au monde (il est l’homme le plus important – politiquement de la planète -), à seulement 47 ans. Je sais JFK était un peu plus jeune.
Quant au prince Charles, il ne doit pas connaître le montant de sa fortune et je pense qu’il est très heureux dans sa position de prince héritier.
J’ajouterai que même si j’apprécie énormément Obama, il a malheureusement fait pas mal d’erreurs politiquement.
Ce que je vois, ce sont deux hommes qui ont l’air de bien s’entendre et de bien rire ensemble aussi malgré la gravité de la situation que tu as bien soulignée.
Amitiés
warwick
6 septembre 2014 @ 21:12
Gibbs,
Comme toujours, votre analyse est juste.
Je ne pense pas que la Constitution permette de briguer un troisieme mandat. Vous pensez que si cela avait pu se faire la manufacture Clinton se serait manifeste et mise en marche.
Americain et democrate, j’ai acceuilli l’arrivee d’Obama comme une enorme bouffee d’oxygene alors que nous etions etouffes par une administration et sa clique qui n’avait rien a envier a Machiavel. Enfin nous metions fin a 8 annees, qui resteront tres sombres dans l’histoire, en choisissant comme president un homme, jeune, seduisant, intelligent, tres eloquent et ayant une grande aisance doublee d’une classe naturelle. Toutes les qualites que beaucoup de chefs d’etats doivent lui envier. Cette seduction et la perspective des restaurer enfin une certaine image de l’Amerique furent ressenties ici mais aussi je pense dans le monde entier.
Il est vrai, il a fait pas mal d’erreurs politiques. Sa tache n’etait pas facile tant l’acharnement systematique du parti republicain pour le faire chuter est encore tenace. Obama n’a peut-etre pas pris en consideration que la vaste majorite de nos compatriotes sont visceralement opposes a toute intrusion gouvernementale dans la vie personnelle de chacun (je pense ici au domaine social qui par rapport a l’Europe est quasiment inexistant) JFK, lui l’avait compris avec son legendaire : »ne vous demandez pas ce que peut faire votre gouvernement pour vous mais ce que vous pouvez faire pour etc… ».
Aujourd’hui, Obama est percu comme un president intellectuel, un peu elitiste et ayant perdu le contact avec l’homme de la rue. C’est assez dommage d’autant plus qu’il ne reste qu’un peu moins de deux ans de pouvoir et que pas mal de promesses de campagnes resteront inachevees.
Rien d’allechant se pointe encore a l’horizon et aucun veritable programme de relance economique (nerf du pouvoir) n’est sur le tapis. Les Etats-Unis reservent toujours des surprises. Souhaitons que la prochaine soit bonne. « A business tycoon » aurait ses chances mais il faudra alors relever la grille des salaires pour la fonction.
La photo de ces deux hommes est bien sympathique. Si l’on me proposait d’endosser l’un ou l’autre costume, sans aucun doute je prendrais celui de Charles. Le job est moins stressant.
Amities
Gibbs
7 septembre 2014 @ 08:28
Cher Warwick,
Je vous pensais Anglais; vous êtes Américain !
Je vous remercie pour vos compliments mais surtout pour l’analyse en profondeur de la situation politique et de la mentalité américaines.
Je ne suis pas réellement entrée dans les détails concernant la politique d’Obama n’étant pas informée de tout mais je savais et j’aurais dû mentionner que les Républicains, comme vous l’écrivez fort bien, lui causent beaucoup de soucis.
Pour avoir des amis qui ont vécu plus de 25 ans aux USA (lui est Anglais), ils nous parlent de la mentalité tellement différente de la nôtre en Europe.
N’ayant même jamais été aux States, je comprends votre soulagement à la fin des deux mandats et tout comme vous, j’ai été enchantée de l’élection de Barack Obama qui est un symbole mais aussi pour toutes les mêmes raisons que vous évoquez.
C’est un homme brillant, séduisant, charismatique, élitiste comme vous l’écrivez et cela ne peut plaire à tous.
Les « retombées » ont été ressenties aussi en Europe.
J’appréhende, déjà, la fin de son mandat puisque comme vous le dites bien : qui se profilera à l’horizon ?
Quant à la possibilité d’un troisième mandat, il me semble l’avoir lu mais vous connaissez mieux votre Constitution que moi, petite Belge.
J’ai toujours plaisir à vous lire et je vous remercie encore pour votre réponse fort intéressante.
Je ferais le même choix que voix concernant les deux protagonistes et pour les mêmes raisons.
Je souhaite vous féliciter pour votre français impeccable.
Amitiés
Gibbs
7 septembre 2014 @ 08:30
SORRY !
Le même choix que vous !
Thanks a lot
Gibbs
7 septembre 2014 @ 08:52
Dear Warwick,
Vous aviez raison : source Le nouvel Obs.
PARIS (Sipa) — Depuis 1951 et l’adoption du 22e amendement de la Constitution, un président américain ne peut assumer plus de deux mandats à la Maison Blanche, qu’ils soient consécutifs ou non.
Dans toute l’histoire américaine, seul Franklin D. Roosevelt a rempli trois mandats consécutifs et est mort au cours du quatrième (1933-1945), peu avant la fin de la Deuxième Guerre mondiale. C’est précisément cette exception qui a incité les législateurs à limiter la possibilité pour un président sortant de se représenter.
Conséquence, cette limitation des pouvoirs présidentiels a fait que les électeurs ont désormais tendance à réélire le président sortant.
En fait, depuis le début du XXe siècle, George H. Bush (père), en 1988, n’a été que le quatrième président américain à être battu à l’issue de son mandat de quatre ans. Le démocrate Jimmy Carter avait lui aussi été « sorti » en 1980 par le républicain Ronald Reagan. Avant lui, Franklin Roosevelt s’était imposé face au républicain Herbert Hoover en 1932 et, avant lui encore, le démocrate Woodrow Wilson avait battu le républicain William Taft, président sortant, en 1912.
warwick
7 septembre 2014 @ 16:37
Chere Gibbs,
Permettez-moi de vous remercier pour votre aimable reponse. J’ai decouvert dans cette derniere que nous avions quelque chose en commun : je suis d’origine belge (Louvain).
Amicalement
Gibbs
7 septembre 2014 @ 19:21
Dear Warwick,
With pleasure. J’adore la langue anglaise.
Le monde est vraiment petit : je suis native de Ciney (province de Namur) – Ardennes belges –
Amicalement cher compatriote,
Gibbs
6 septembre 2014 @ 10:04
Voici la définition Larousse de PITIE.
Je ne pense pas du tout qu’elle soit adaptée dans les circonstances.
Il y a une connotation négative.
PITIE
Sentiment qui porte à compatir aux souffrances ou à la faiblesse d’autrui, à le considérer avec commisération, à le traiter avec une indulgence particulière : Je ne veux pas de votre pitié.
Indulgence, pardon ou parfois simple tolérance pour autrui, pour ses actes
Arthur
6 septembre 2014 @ 12:13
Ceci n’est pas totalement en rapport avec cet article, mais cela concerne le Prince Charles qui a hier rendu hommage à sa grande amie l’humoriste américaine Joan Rivers. Cette amitié qualifiée d’improbable par les médias britanniques est en effet surprenante quand on connait l’humour ravageur de cette femme également très connue pour ses très multiples opérations de chirurgies. Voici le lien du daily mail reprenant l’hommage du Prince et de la Duchesse. Il est précisé que Joan Rivers était l’une des rares invitées américaines de leur mariage en 2005. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2744898/She-enormous-zest-life-Prince-Charles-Camilla-pay-tribute-Joan-Rivers-unlikely-friendship-royal-couple.html
Caroline
6 septembre 2014 @ 22:17
Lool,Charles et Obama ont-ils fait leur selfie?
flabemont8
7 septembre 2014 @ 21:06
Mais voyons, chère Caroline, le président américain préfère un selfie avec une belle blonde !