Au Monument à Victor Emmanuel II à Rome dit aussi le Vittoriano, le prince de Venise a présidé la cérémonie des 147 ans de l’Institut national pour les tombes royales du Panthéon.
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Lunaforever
20 janvier 2025 @ 10:07
« Le gâteau de mariage », c’est le surnom que les Romains donnent à ce bâtiment.
Sigismond
20 janvier 2025 @ 10:30
Pourquoi l’appeler prince de Venise ? Il est le duc de Savoie, de jure roi de Sardaigne.
Menthe
20 janvier 2025 @ 10:41
Si je ne m’abuse, cet anniversaire est célébré en grandes pompes chaque année.
Robin des Bois
20 janvier 2025 @ 10:46
Pour arriver au Panthéon à Rome, on doit passer par des rues étroites avant d’accéder à la petite place. Les dizaines de milliers de monarchistes enthousiastes n’auraient pu se retrouver tous ensemble dans un lieu aussi exigu. On a donc choisi un autre endroit et dû immobiliser le centre historique de Rome, le Corso, et la Piazza Venezia. C’est sans doute à cause de son titre vénitien qu’il a voulu se trouver là et monter les marches de la Machine à Ecrire, comme les Romains appellent le Monument au nom de grand-père et qui défigure un ensemble parfait de palazzi romains séculaires.. Bref si le trafic en pagaille a un peu compliqué les choses, les Romains n’étaient pas mécontents, ils aiment leur souverain et ils ont accueilli à bras ouverts tous les provinciaux qui avaient encombré la gare Termini. Il y avait même un service d’ordre et une ambulance pour les gens qui se seraient trouvés mal. L’émotion parfois vous joue des tours…
Le vieux notable qui accueillait le prince l’a félicité pour son parcours sans faute. Il a célébré les prouesses académiques du prince, ses doctorats. Il est un expert en droit international et en sciences spatiales. Il a travaillé dans quelques organismes internationaux, a donné des conférences, publié plusieurs ouvrages et même fait de l’humanitaire. On ne rencontre pas souvent un homme de cette envergure.
Ce bourreau de travail a pu difficilement coincer ce voyage à Rome dans un agenda de fou. Mais cet effort, les monarchistes italiens l’en remercient. On parle de ses réalisations, mais jamais de sa conversation. C’est un délicieux interlocuteur. Mais c’est surtout son esprit étincelant qui étonne. Une rafale de bons mots, de plaisanteries fines et bien tournées. Une dame espagnole qui le voit souvent ces derniers temps a fait un parallèle avec une réflexion de Madame de Stael à propos de Talleyrand : « Ses mots d’esprit si fréquents, s’il fallait les payer en argent, on se ruinerait ».
J’ai vu en replay sur « Quelle époque » Clotilde Coureau dans un étrange attirail. Mais je ne dirai rien de plus. Faut voir.
Lucia 😻
20 janvier 2025 @ 11:40
Il n’y a pas une foule en délire pour l’acclamer le long du Corso ou en bas des escaliers .
Caroline
20 janvier 2025 @ 11:42
Belle cérémonie solennelle !
Pas avec l’ une de ses filles ?
Cosmo
20 janvier 2025 @ 11:42
Sans femme, ni maîtresse, un désert de solitude au milieu de nostalgiques d’une monarchie défunte !
Poveretto, la vita non e facile…
Pour égayer la chose, je l’aurais bien vu courir en bersagliere, la plume au chapeau, dans un nouveau reality show.
gene
20 janvier 2025 @ 11:51
Fier de lui malgré tout !
milou
20 janvier 2025 @ 11:53
Le même genre d’occupation que Jean d’Orleans!
ABER
20 janvier 2025 @ 12:14
On ne peut pas dire qu’il déplace les foules. Quelques curieux sans plus.