C’est à Busto Arzisio, au coeur de la Lombardie que le prince de Venise a assisté au baptême de la place Vittorio Emanuele II (1820-1878). Une foule nombreuse s’y pressait. Une façon pour le prince de constater sa popularité. Tout s’est terminé joyeusement par la dégustation d’une polenta.(Merci à Bertrand Meyer)
Domitilla
19 novembre 2018 @ 08:13
Holalà que succès pour le prince Emanuele Filiberto di Savoia!!! La polenta…idéal pour la saison…avec …??? peut être le gorgonzola…..,belle semaine
Luise
19 novembre 2018 @ 15:01
Plat traditionel de Busto Arzisio : polenta et « bruscitt » (lamelles de boeuf dorées)
Robespierre
19 novembre 2018 @ 08:21
On le voit partout en Italie en ce moment Quel projet a-t-il derrière la tête ? La députation ?
jean-claude aubert
19 novembre 2018 @ 12:49
Etre nommé majesté et gardien de la couronne par Monsieur Salvini.
Corsica
19 novembre 2018 @ 13:25
Mon cher Robi, je me pose les mêmes questions que vous.
Giséle
19 novembre 2018 @ 18:44
C’est aussi la question que je me pose. Il occupe le terrain, dans quel but ?
Esquiline
20 novembre 2018 @ 13:42
On le voit partout en Italie sur N§R, moins ou pas du tout dans la presse italienne, du moins celle que lis.
Philippe Gain d'Enquin
19 novembre 2018 @ 08:57
Il se donne bien de la penne !
Antoine
19 novembre 2018 @ 15:07
Merci, PGE, pour l’éclat de rire.
Philippe Gain d'Enquin
20 novembre 2018 @ 14:29
Je fus aidé d’Al Dente…
Mary
21 novembre 2018 @ 23:05
Avouez Philippe : l’écossais Mac Arony n’aurait-il pas lui aussi ,mis la maîn à la pâte ?
Philippe Gain d'Enquin
22 novembre 2018 @ 13:16
Excellent… Bravo à vous, avec empressement : « Serviteur » !
Karabakh
19 novembre 2018 @ 15:53
Joli !
Gérard
20 novembre 2018 @ 17:23
C’est épatant.
Philippe Gain d'Enquin
21 novembre 2018 @ 13:18
Jen suis « ravi au « lit » dirait le thuriféraire des plaisirs simples…et je conserve mon assiette; alors que souhaiter de plus que de ne pas l’avoir dans les pattes ?
Mary
22 novembre 2018 @ 13:15
Hihihi …entre tous, nous l’avons bien assaisonné !
Karabakh
22 novembre 2018 @ 12:40
Wow! Joli aussi. 😉
Philippe Gain d'Enquin
22 novembre 2018 @ 13:20
Tout est beau, tout est joli, quand parmi les huiles l’on a un fil à la pâte… Love, PGE
Karabakh
23 novembre 2018 @ 15:37
Extra ! 👏
Baboula
20 novembre 2018 @ 13:41
Toujours la main à la pâte cher Philippe.
Karabakh
22 novembre 2018 @ 12:40
Alors vous, je vous sens en forme ces derniers temps. 😂
Philippe Gain d'Enquin
22 novembre 2018 @ 18:39
C’est qu’il en faut de l’endurance…
Karabakh
23 novembre 2018 @ 15:38
Oui oui oui ! 😂
Leonor
19 novembre 2018 @ 09:01
Sur cette photo, il aurait presque l’air devenu adulte, notre macaroni-man.
Carolus
19 novembre 2018 @ 09:17
Je préfère le voir en Italie qu’à Venice.
Je ne connais pas cette ville qui est dans la province de Varèse.
« La province de Varèse est une province italienne qui borde le lac Majeur, dans la région de Lombardie, avec pour capitale Varèse. Elle a ses confins nord et est avec la Suisse, à l’est avec la province de Côme, au sud avec la province de Milan et à l’ouest avec la région du Piémont. » (Wikipédia)
Karabakh
19 novembre 2018 @ 15:57
C’est effectivement à la frontière italo-suisse (Tessin). C’est une région de montagnes, très charmante. N’hésitez surtout à y faire un détour, si l’occasion se présente.
marianne
19 novembre 2018 @ 15:07
Les Savoyards qui la connaissent bien depuis plusieurs générations disent « POLINTE » , mais les Français , sans doute pour avoir l’ air « in » disent « polenn’ta » .
Pffff !
Karabakh
20 novembre 2018 @ 21:16
En dialecte savoyard, cela s’écrit très exactement polente et provient du mot arpitan (abusivement appelé franco-provençal et dont dérive le savoyard) polenta. L’arpitan est resté assez authentique mais a néanmoins été influencé par les parlers oïlitans alentours, notamment le franc-comtois (à ne pas confondre avec le jurassien qui est aussi un dialecte issu de l’arpitan) ; or en langue d’oïl, la syllabe -en se prononce le plus souvent (pas toujours) [ɛ̃], soit le « in » de pain. En arpitan, cela se prononce aussi ainsi (mais là encore pas toujours).
Toujours dans la langue arpitane, le -a final (terminal) est atténué pour se rapprocher du E muet utilisé en français. C’est d’ailleurs ainsi qu’il se transpose en français. On parle de voyelles atones dans les deux cas.
En Savoie, les mots polenta et polente sont utilisés indifféremment, si ce n’est que les dialectes plus montagnards consacrent le premier, alors que les dialectes des vallées font la part belle au second. C’est compris de tous.
Nous arrivons donc au mot polenta qui se prononce « poleinte » (phon. : [pɔ.ˈlɛ̃.ta]) en arpitan et dérivés, ainsi qu’en italien, et qui se décline en puluntu (« pouleinte ») dans le dialecte Töitschu (région d’Issime en Vallée d’Aoste), polenda ou pulenda (« poleinde » ou « pouleinde ») dans les langues Corse et Sarde.
Le mot français est communément emprunté aux langues arpitane et italienne. Les régions de langue d’oïl entourant la zone arpitane utilisent généralement la bonne prononciation, parce que les populations l’ont déjà entendue et donc intégrée. Mais plus lointainement, où les populations n’ont pas nécessairement intégré les parlers arpitans, cela se prononce assez souvent « polenneta » ou « polanta ».
La première prononciation est admise à plus juste titre que les diasporas italiennes, ainsi que certaines populations des nord-est et sud du pays, d’origines germaniques ou grecques, prononcent comme cela. Il est donc délicat de corriger ce qui n’est pas une juste prononciation sans être pour autant une erreur monumentale, autrement dit ce qui n’est pas faux.
En revanche, la seconde prononciation est fausse.
Nonobstant, rien n’empêche de rappeler la prononciation originale, courtoisement. Vous pourrez alors y ajouter non sans malice qu’un accent vient égayer le tout, faisant que la prononciation la plus exacte qu’il soit est « polein’te » – la lettre n est préfigurée et amène à chanter le son [ɛ̃] dans le parler courant.
La transcription phonétique le signale en pointant la liaison entre [ɛ̃] et [ta].
Per plèsir et a bentout! 😉
Baboula
24 novembre 2018 @ 19:30
Cher ami racontez nous plutôt comment la cuire sans attacher notre polente ,il n’y a que ça qui compte !
Karabakh
26 novembre 2018 @ 22:51
Salée comme sucrée, je la cuisine al latte, naturalmente!
marianne
19 novembre 2018 @ 15:18
Avec son ministre le comte de Cavour, il est le responsable de l’ unité italienne et 1 er roi d’ Italie .
Je trouve mesquin et déplacé que ce Prince attire seulement des moqueries faciles , méchantes, basses à cause de son travail .
Domitilla, Philippe, Leonor, de quoi vivez-vous ? De votre travail ? dans ce cas quel est-il ? Prêterait-il à rire ? D’ allocations -retraite payées par les salariés ?
Domitilla
20 novembre 2018 @ 13:28
Bon après midi marianne, je travail encore au bureau de presse de une maison de mode,suis journaliste et pour 32 ans j’a travailler comme rédacteur…,ne sont pas heureuse de cette manifestation…,surtout en 2018, anniversaire de l’institution de la loi racial par une Roi Savoie!!! ? Pas ici la place pour discuter….,chez N&R nous parlons d’autre heureusement ….Busto Arsizio est une ville près l’aéroport de Malpensa ….
monica
19 novembre 2018 @ 22:40
Et toujours seul !!!
Caroline
19 novembre 2018 @ 23:04
Y-a-t-il d’autres places Vittorio Emanuele II dans la plupart des villes d’Italie?
Luise
20 novembre 2018 @ 14:28
Oui, nous avons des places, des rues, des monuments dédiés aux rois et reines en Italie. Et presque toutes les villes du Piémont se souviennent de « RE Vittorio Emanuele II «
Karabakh
20 novembre 2018 @ 21:21
Oui. Il y a une Piazza Vittorio Emanuele à Rome (très connue et appréciée). Egalement à Turin, Pise et Palerme.
Il y en a sans doute d’autres ailleurs, en Italie car le roi fut très apprécié, malgré la brutalité de certaines (de ses) actions d’unification.
Karabakh
22 novembre 2018 @ 12:42
Pour les rues et les avenues, j’en connais plein. Là je donnais juste les places (que je connais car il y en a aussi un paquet). :)