A la Benthal Green Academy de Londres, le prince Harry a remis des diplômes à 60 élèves qui avaient suivi une formation en médias en vue des Invictus games, des jeux internationaux qui regroupent des soldats blesses au combat au sein du Commonwealth. Ces jeux auront lieu à Londres du 10 au 14 septembre. (Copyright photos : getty images)
Zeugma
22 juillet 2014 @ 10:17
C’est avec grand plaisir que nous retrouvons notre beau bébé, le prince Harry. Et je confirme : il a un très beau cou.
Caroline
22 juillet 2014 @ 20:56
Zeugma,seriez-vous attirée par le cou de taureau de votre homme?loool!
liseluc
22 juillet 2014 @ 14:49
Harry est en Prince vraiment engagé . Bravo et beau.
Francine du Canada
22 juillet 2014 @ 16:00
Merci Régine; félicitations à Harry mais aussi à ces jeunes gens qui se préparent à ces jeux internationaux « Invictus Games ». FdC
Claude-Patricia
22 juillet 2014 @ 16:05
C’est très bien, encouragements.
Sylvie-Laure
23 juillet 2014 @ 07:21
Les lettres I . AM sont un symbole, valeureux et vigoureux. Ces athlètes blessés ou handicapés se retrouvent dans un effort sportif, et leur meneur est un « Chef de Guerre » comme on désignait naguère, les soldats exemplaires pour leur courage qui deviennent des Chefs reconnus et admirés pour leurs qualités de meneur d’hommes, et de qualités de coeur. Le prince Harry en est le parfait exemple..
Son père et son grand père peuvent se rengorger de le compter au rang des plus braves. Il y a des photos du prince Harry en tenue de combat, sur le vif, avec ses soldats, où on retrouve les traits physiques du prince Philip.
« Bon sang ne saurait mentir »
Claude-Patricia
23 juillet 2014 @ 21:38
Suite
Cet esprit de discipline explique que tout se passe sans le mondre encombrement, sans la plus légère hésitation. Pendant trois heures je contemple en face de moi le défilé incessant mais harmonieux, encore que réglé à une cadence presque mécanique, des pairesses s’installant sur des gradins qui leur sont réservés dans le transept nord, de plain pied avec le sanctuaire, ainsi que dans une tribune accrochée aux murs du transept, à la hauteur de deux étages d’une maison ordinaire. Le spectacle est d’une beauté et d’une noblesse impressionante. L’une après l’autre, sans hâte et sans arrêt, chaque pairesse s’avance vers la nef, la très longue traîne de velours écarlate, bordée d’hermine, balayant le tapis beige clair, de teinte presque dorée, qui recouvre la croisée du transept et va du choeur au maître-autel. On ne saurait imaginer, sans l’avoir vu, ce que peuvent donner de noblesse, de dignité, de majesté à chacune de ces femmes, jeunes et belles pour la plupart-et les douairières n’ont pas moins de distinction et d’allure, au contraire, car il faut une grand habitude pour évoluer avec aisance dans ce lourd costume d’apparat-ces merveilleuses traînes qui évoquenet les modes du Premier Empire. Peu à peu les gradins et la tribune des pairesses se remplissent. Un miracle s’est produit. L’écarlate des traînes et des jupes longues a disparu comme par enchantement. Nous n’avons plus devant nous qu’un immense champ de neige qui, suivant les jeux de la lumière et d’un éclairage très discret, prend par moment des reflets d’argent, tandis que scintillent, au plus léger mouvement de la tête et du buste, pourtant immobiles et hiératiques en apparence, les feux des tiares, des diamants, des rivières fabuleuses, innombrables, d’un eclat parfois surnaturel, qui représentent des centaines de millions.
Au dessus de la tribune réservée aux pairesses, une seconde tribune, qui dans le transept sud a son pendant, où sont maintenant entassés, sans que l’on sache comment, généraux, personnages officiels, membres du parlement et leurs femmes présente un aspect muticolore-écarlate et ors des uniformes, toilettes claires, habits sombres-qui produit un contraste étrange, presque brutal, avec l’harmonie liliale des blanches hermines des pairesses, semées de grosses gouttes de lumières étincelantes jaillissant des gemmes précieuses, énormes, merveilleuses. On comprend alorscombien certaines masse de teintes uniformes peuvent contribuer à former à former des ensembles et enchanter l’oeil autrement déconcerté et fatigué par l’anarchie d’un kaléidoscope.
Mais l’heure avance très vite dans cette création incessante de la noble et brillante assemblée, qui semble avoir envahi toutes les parties libres de l’abbaye. Les deux triforiums, le choeur, la nef, les transepts sont combles. Il y a quelques instants, la procession des membres de la famille royale, comprenant le marquis et la marquise de Carisbrooke, le marquis et la marquise de Milford Haven, le marquis et la marquise de de Cambridge et leurs descendants et alliés, a défilé devant nous, conduite à la loge royale par des héraults d’armes. Il n’est pas encore neuf heures.
Voici la procession des envoyés royaux et extraordianaires précédée des hérauts aux costumes éclatants et chamarrés. Cohue ordonnée d’uniformes couverts de décorations, de toilettes somptueuses, d’habits noirs parés de grands cordons. Puis une longue pause. Enfin quelque agitation parmis les evêques noirs et rouges réunis dans le sanctuaire. Un long défilé d’enfants de choeur, et les insignes royaux-les regalia- portés par des pairs et des evèques en robe splendides, quittent le maître-autel pour le vestibule d’entrée, où ils attendront l’arrivée des souverains.
Francine du Canada
24 juillet 2014 @ 15:29
Merci Claude-Patricia; vivement la suite avec l’arrivée des souverains. Amitiés, FdC