A Kiev, le prince héritier Philippe de Belgique, à la tête d’une mission économique, a rencontré le président ukrainien Viktor Ianukovytch. (Copyright photo : Reuters)
A Kiev, le prince héritier Philippe de Belgique, à la tête d’une mission économique, a rencontré le président ukrainien Viktor Ianukovytch. (Copyright photo : Reuters)
Colette C.
24 novembre 2010 @ 11:50
Le prince ne se ménage pas!
Marie17
24 novembre 2010 @ 12:57
Très « classe » tous les deux
Entretenir des relations économiques c’est bon pour les 2 pays
Michèle
24 novembre 2010 @ 15:35
En accueillant l´invité distingué á Kiev,le président Ianoukovitch a noté l’importance de la Mission Economique du prince Philip en Ukraine. »Nous considérons votre mission une expression d’intérêt en Ukraine, qui est liée à la Belgique par des racines historiques profondes », a dit Viktor Ianoukovitch.
Le chef de l’Etat a noté que l’Ukraine et la Belgique sont liés par des liens historiques de longue date rappelant que la ville d’Odessa a été construite dans la fin du 18e siècle par le projet de l’ingénieur militaire d’Anvers Franz de Volan.
Aujourd’hui, at-il dit, l’Ukraine et la Belgique écrivent leur histoire moderne commune et construisent leurs relations sur de bonnes traditions historiques. « C’est notre devoir (droit). Donc il est très bon que vous soyez venu en l’Ukraine », a déclaré Viktor Ianoukovitch.
De son côté, le prince Philip a remercié la partie ukrainienne pour le haut niveau de la réception de la délégation des hommes d’affaires belges. Il a également présenté à Viktor Ianoukovitch des photos illustrant le «passé glorieux» des affaires belges en Ukraine.
http://www.president.gov.ua/en/news/18766.html
Sylvie-Laure
24 novembre 2010 @ 20:46
Le prince Philippe a repris depuis longtemps, le rôle de son père, alors Prince de Liège, et ambassadeur économique de son Pays, du temps du roi Baudouin.
Les affaires se déroulent mieux, quand les plus hauts personnages d’un Pays, se déplacent eux même, en compagnie d’une équipe « d’experts les plus aguerris ».
Ce que font aussi, le prince Félipe d’Espagne, et le Duc d’York, et on le voit ici aussi le prince Joachim de Danemark..
Caroline
24 novembre 2010 @ 22:18
A Michele [mess 3],j’ai compris le but de la visite du prince Philippe de Belgique au president ukrainien grace a votre commentaire detaille et au lien que vous nous avez conseille de lire!Un grand merci de ma part!
chaton
24 novembre 2010 @ 22:33
belle photo , qu’est-ce qui distrait le prince ainsi ? houhou le photographe se trouve ici !
nanou1
25 novembre 2010 @ 08:55
Colette C., il ne faut pas exagérer non plus. Vous dites qu’il ne se ménage pas. On le paie quand même et cette mission ne durait que 2,5 jours et le reste de la semaine, il ne fait rien! Sa prochaine obligation n’est programmée que le 2/12 soit plus d’une semaine après la fin de sa mission. Pour quelqu’un qui est débordé, ce n’est pas mal!
Alix
25 novembre 2010 @ 19:26
Je souhaite vivement que les Belges, comme d’ailleurs les autres états de l’ »Ouest » ne fondront pas encore plus sur les terres noires ukrainiennes et russes.
En location ou en achat, avec de la main d’oeuvre à bas coût (ils ont beau jeu aujourd’hui de proposer des salaires plus élevés que la moyenne ukrainienne mais on en reparlera quant ils demanderont 500/600 euros de salaire leurs « serfs » ).
A vrai dire ce n’est pas tant le patronat occidental mais bien l’agriculture qu’il adore : production massive, standardisation des produits, mono cultures etc….que je redoute.
Considérant ce voyage, ce sont les patrons belges, les chambres belgo-ukrainiennes, la mission économique belge de l’Ambassade qui font et le voyage et les contrats.
Mais le Prince Philippe a travaillé fortement sur la dimension économique : il prend la peine depuis plusieurs années de comprendre le processus, de connaître l’avancée des sociétés en présence etc… Il n’est pas simplement la cerise people pour délégation de prestige venue simplement conclure des contrats déjà écrits.
Il n’est pas la cheville ouvrière certes mais il est désormais capable de venir appuyer et témoigner au plus haut niveau gouvernemental de la vitalité de certains sescteurs économiques.