A l’occasion des célébrations du bicentenaire de l’indépendance du Brésil, Dom Rafael d’Orléans-Bragance, prince du Grão-Pará, était l’invité d’honneur lors de la présentation de livres qui s’est tenu au Grêmio Literário de Lisbonne en présence du duc et de la duchesse de Bragance.
Lors du dîner, le prince Rafael d’Orléans-Bragance était placé près de la duchesse de Bragance.
Le duc de Bragance lors du dîner. (merci à Charles)
Louise.k
17 décembre 2022 @ 01:22
Sur la troisième photo, l’ecclésiastique est très charmant !
Mayg
17 décembre 2022 @ 12:56
Il me fait penser à Richard Chamberlain, dans les oiseaux se cachent pour mourir 😅
Passiflore
18 décembre 2022 @ 10:06
Oui, Mayg, quel feuilleton !
Jean Pierre
17 décembre 2022 @ 08:57
Malgré la présence d’un prêtre à ces agapes, on lui donnerait le bon dieu sans confession.
Nini Plume
17 décembre 2022 @ 17:53
Il aurait donc de bonnes raisons de se confesser, ce beau jeune homme, Jean-Pierre ?
Jean Pierre
18 décembre 2022 @ 09:57
Je ne suis pas dans le secret des cœurs et encore moins des enfants de chœur.
Teddy447
17 décembre 2022 @ 20:39
En soutane
Mini
17 décembre 2022 @ 09:38
Les Ducs de Bragance rêvaient peut-être d’une alliance de leur fille, Maria Francisca, avec ce prince du Brésil….
Greg van N
17 décembre 2022 @ 12:16
Ou plutôt l’inverse, les Orléans Bragance qui en verraient pour perpétuer la dynastie !
josaint vic
17 décembre 2022 @ 13:23
Mini , pourquoi ? Le jeune avocat fiancé a leur fille est d,une famille bien connue au Portugal
Perceval
17 décembre 2022 @ 14:34
Je croyais que c’était son frère justement à cette future mariée
Gérard
17 décembre 2022 @ 15:34
Les mariages entre cousins proches ne sont plus favorisés aujourd’hui.
Laure-Marie Sabre
18 décembre 2022 @ 12:35
Ce ne sont pas du tout de proches cousins : leur lien remonte au grand-père de leur grand-mère.
Laure-Marie Sabre
18 décembre 2022 @ 12:35
Pardon, au grand-père de la grand-mère de Maria Francisca.
MartineR
18 décembre 2022 @ 12:48
Heureusement au niveau de l héritage génétique…..
Passiflore
18 décembre 2022 @ 22:43
Gérard, ils ne sont pas si proches : le père de Maria-Francisca et le père de Rafael sont cousins issus de germains.
Teddy447
17 décembre 2022 @ 20:40
Elle épouse un roturier
Comme sa grand tante madame van uden
particule
17 décembre 2022 @ 09:43
Ce prince a belle allure. Pour répondre amicalement à Jean Pierre dont j’apprécie souvent les commentaires : je vais faire hurler bien des commentateurs (trices) . Pas un dimanche de mon enfance – c’est vrai il y a très longtemps- sans le curé de la paroisse à la table familiale…. Les bonnes langues disaient qu’il venait goûter le vin de la propriété pour qu’ensuite son vin de messe ne ressemble pas à du fiel …
Sa présence martelait tous les évènements de la famille. Naissances, fiançailles , mariage et bien évidemment « veillée funèbre » chaque évènement arrosé comme il se doit …..
Passiflore
17 décembre 2022 @ 10:54
Oui, Particule, c’était courant d’inviter le prêtre à sa table, le dimanche, dans les familles dites « anciennes ». Et cela se fait toujours, dans une société plus large, mais pas aussi régulièrement.
Pierre-Yves
17 décembre 2022 @ 12:20
Il n’y a pas de raison de hurler. Ce que vous décrivez a été le lot de bien des familles françaises autrefois.
Ca se fait moins aujourd’hui, le catholicisme et ses ministres étant moins présents dans la vie de bien des familles. La sécularisation d’un côté et, il faut bien le dire aussi, la prestige abimé d’une partie du clergé de l’autre, sont passés par là.
Nini Plume
17 décembre 2022 @ 17:40
Histoire de « Benedicite : chez mes grands-parents, Particule, c’était le mardi soir. Autre époque. Mais si je l’évoque ici c’est pour une raison un peu particulière. Ma sœur et moi étions petites et nous étions cependant admises en bout de table. Mes grands parents, catholiques et bourgeois n’allaient plus à la messe depuis longtemps, mon grand-père ayant déclaré que pour lui, « quand on est mort on est bien mort ». Pas de prières chez nous, donc pas de latin. Néanmoins, on recevait le curé. Et alors là intervient l’un des deux plus atroces souvenir de mon enfance (l’autre étant d’avoir dû dire bonjour à trente personnes à la suite !…) Tout le monde s’installe donc autour de la table et puis, tout à coup, se lève en même temps, joint les mains, baisse la tête et baragouine tout ensemble des mots dans une langue que je ne connaissais absolument pas avec un ton caverneux qui faisait horriblement peur et auquel je ne comprenais rien. J’étais terrorisée. Ce fut ma première expérience avec le Benedicite. Il y en a une autre, beaucoup moins tragique, mais ce sera pour une prochaine fois 😀
Cecicela
18 décembre 2022 @ 12:08
Il y a des bénédicités moins traumatisants. Je me rappelle de celui-ci qui était assez joyeux : Dieu qui donnez pâture
Aux tous petits petits oiseaux
Bénissez notre nourriture
Et purifiez notre eau
Bouclier
17 décembre 2022 @ 23:46
C’est encore comme cela chez nous.
Passiflore
19 décembre 2022 @ 10:04
Particule, finalement personne ne vous a sauté à la gorge ! Il est vrai que les commentaires sont imprévisibles et qu’il vaut mieux prendre, à l’avance, ses précautions, ce qui peut désamorcer toute « bombe ».
Agnese
17 décembre 2022 @ 11:26
Mini, j’ai pensé exactement à la même chose que vous.
aubepine
17 décembre 2022 @ 13:33
Mini , ils n’auraient pas pu se marier ce sont des cousins !
Santos
17 décembre 2022 @ 14:51
Le curé s’appelle Tiago Silveira
Agnese
17 décembre 2022 @ 17:38
Particule je vous comprends ayant connu enfant de tels repas dominicaux dans ma famille paternelle.
Donc je ne vais pas hurler.
Xav
17 décembre 2022 @ 23:41
Apparemment elle serait déjà prise.
beji
18 décembre 2022 @ 07:16
Comme chez vous Particule, chez nous le prêtre était invité aux fêtes de famille;ainsi un ami prêtre a marié mes parents,m’a baptisée,était présent à ma première communion,à ma profession de foi,nous a mariés et a baptisé nos deux filles aînés;maintenant les prêtres ne restent qu’un temps limité dans une paroisse c’est peut-être pour cela que les liens se tissent moins.