Le restaurant « Le Clarence » conserve ses deux étoiles au guide Michelin. Situé avenue Franklin Roosevelt à Paris, il est la propriété du prince Robert de Luxembourg, cousin du grand-duc.
En 2019, cet ouvrage de recettes de cuisine lui était consacré. En voici le résumé : « En 2015, le prince Robert de Luxembourg a fait le pari hardi d’installer dans un hôtel particulier, au cœur du triangle d’or parisien, la cuisine d’un chef dont la modernité a aussitôt ébloui le monde de la gastronomie. Deux étoiles Michelin saluent l’audace de Christophe Pelé dans cet écrin luxueux.
À deux pas des Champs-Élysées, Le Clarence est établi au sein de la demeure parisienne du domaine bordelais Clarence Dillon, illustre propriétaire de Château Haut-Brion, La Mission Haut-Brion et Château Quintus.
Proposer une cuisine d’une telle liberté dans ce cadre résolument classique n’allait pas de soi. Le restaurant offre non seulement l’une des cuisines les plus étonnantes du monde, mais aussi l’une des plus belles caves de vins français.
Émotion, délectation prennent toute leur ampleur dans l’atmosphère intime et raffiné de cette grande maison qui hisse l’art de vivre à la française au plus haut point. Il fallait la sensibilité et la palette de références d’une dégustatrice comme Chihiro Masui pour décrypter la partition subtile de Christophe Pelé, sa cuisine spontanée et inspirée, ses accords terre-mer qui stimulent l’intellect et envoûtent les sens.
Elle hume les parfums, caresse la matière, dissèque les textures, jusqu’à faire naître l’imaginaire du goût chez son lecteur. Elle le conduit sur le chemin que l’inspiration du chef a emprunté pour prendre saveur et forme dans l’assiette. Ses narrations de plats sont autant de récits de voyage.
Les photographies de Richard Haughton, d’une définition et d’une suggestion extrêmes, complètent l’expérience proposée par ce livre. Il se veut le reflet de l’expérience sensuelle et gourmande vécue à la table du Clarence. »
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Pascal🍄
21 février 2021 @ 07:28
Fort bien , mais n’oublions pas quand même que Renoir disait que les tableaux ça sert surtout à décorer les murs.
Leonor
21 février 2021 @ 09:19
Qu’ est-on sensé voir dans la seconde photo ? Ah oui, » une expérience sensuelle » …
Karabakh
21 février 2021 @ 12:14
C’est sûrement cela.
Je déteste ce genre de cliché subjectif.
ciboulette
21 février 2021 @ 14:59
Le cadre me plaît , mais ce qu’il y a dans les assiettes , je ne sais pas . . .
Cosmo
22 février 2021 @ 10:18
La « Danse des Sept Voiles » ou Isadora Duncan révélée ? Ou…
Leonor
22 février 2021 @ 13:39
… ou L’Origine du Monde . ;-)
lila
21 février 2021 @ 11:06
J’accepte volontier un délicieux repas en charmante compagnie dans ce joli coin de salle .
Danielle
21 février 2021 @ 13:06
Le cadre du restaurant est beau.
Caroline
21 février 2021 @ 21:36
Heureusement pour ses deux étoiles au Michelin malgré le corona !
On verra après la fin de la pandémie du corona !
Robespierre
22 février 2021 @ 00:25
Quelle littérature ! finalement ça me coupe l’appétit.
Rosa de Javel
22 février 2021 @ 08:59
Pour le restaurant, il y a un service « drive » avec un menu « best of » ?
Cosmo
22 février 2021 @ 10:17
A quand les papilles virtuelles et le cyber odorat pour goûter cette cuisine venu de la troisième galaxie ?
Philppe Gain d'Enquin
22 février 2021 @ 18:36
Paula, Mark et Daktari n’ont donc pas à loucher vers d’autres tables…