Cette région du monde est toujours en ébullition. Il suffit d’une étincelle, et c’est le brasier.
La Jordanie accueille sur son sol, des quantités de réfugiés qui fuient leurs pays. Et les situations sont tendues. Trop de monde, trop de guerres, trop de pauvreté, et un roi qui courageusement, avec son épouse, se bat pour que son pays soit épargné par ces conflits. Comme le fit son père le roi Hussein. Un souverain très proche de son peuple.
Les forces spéciales sont partout aux premières loges, en ce moment.
Ce sont les sections les plus adaptées aux guerres asymétriques de ce temps.
Mais c’est aussi une « mode » – façon de parler. Sans les troupes régulières en appui et en support derrière eux, ils perdent largement d’efficacité. Un peu comme au rugby, même si la comparaison n’est pas heureuse. Ils peuvent marquer l’essai. Mais rien ne sert si l’essai n’est pas transformé.
Rude métier. On a le mental et le physique pour, ou pas.
La Jordanie est vraiment sur le fil. Coincée entre les fauteurs de guerre de tous bords.
Et l’Arabie Saoudite, qui vient d’agiter une muleta , affreusement sanglante, devant les Iraniens …..
Il a du mérite, à garder son sang-froid, le Petit Roi ….
Caroline
5 janvier 2016 @ 11:41
La situation géopolitique ne s’est guère améliorée en Jordanie ,vu les tensions avec le Daesh au Moyen-Orient!
Sylvie-Laure
5 janvier 2016 @ 19:19
Cette région du monde est toujours en ébullition. Il suffit d’une étincelle, et c’est le brasier.
La Jordanie accueille sur son sol, des quantités de réfugiés qui fuient leurs pays. Et les situations sont tendues. Trop de monde, trop de guerres, trop de pauvreté, et un roi qui courageusement, avec son épouse, se bat pour que son pays soit épargné par ces conflits. Comme le fit son père le roi Hussein. Un souverain très proche de son peuple.
Leonor
5 janvier 2016 @ 23:27
Les forces spéciales sont partout aux premières loges, en ce moment.
Ce sont les sections les plus adaptées aux guerres asymétriques de ce temps.
Mais c’est aussi une « mode » – façon de parler. Sans les troupes régulières en appui et en support derrière eux, ils perdent largement d’efficacité. Un peu comme au rugby, même si la comparaison n’est pas heureuse. Ils peuvent marquer l’essai. Mais rien ne sert si l’essai n’est pas transformé.
Rude métier. On a le mental et le physique pour, ou pas.
Leonor
5 janvier 2016 @ 23:30
La Jordanie est vraiment sur le fil. Coincée entre les fauteurs de guerre de tous bords.
Et l’Arabie Saoudite, qui vient d’agiter une muleta , affreusement sanglante, devant les Iraniens …..
Il a du mérite, à garder son sang-froid, le Petit Roi ….
Leonor
6 janvier 2016 @ 09:25
J’aurais dû écrire : ce GRAND Petit Roi.