Au Palais royal de Madrid, le roi Juan Carlos d’Espagne qui s’aide encore de béquilles, a reçu en audience le président du Kazakhstan, Nursultan Nazarbayev. (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
Au Palais royal de Madrid, le roi Juan Carlos d’Espagne qui s’aide encore de béquilles, a reçu en audience le président du Kazakhstan, Nursultan Nazarbayev. (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
Valeska
7 février 2013 @ 09:42
Pauvre Roi,rougeaud,bouffi,sûrement très fatigué et affaibli…Allez,un petit regard vers les Pays-Bas pour réfléchir et s’inspirer un peu… ;)
visder
7 février 2013 @ 09:45
?? reçu en audience??? un chef d’état reçoit la visite d’un chef d’état et la lui rend le cas échéant
Pierre-Yves
7 février 2013 @ 10:08
Un des démocrates les plus éclairés et aimables de la planète que ce président kazakhe.
L’intérêt supérieur de l’Etat et les règles de la diplomatie poussent parfois à des choses bien peu agréables. De là à se laisser embrasser par des tyrans ….
Angeline
8 février 2013 @ 12:25
Quelle triste image pour l’Espagne qu’un roi se laissant embrasser par un tyran implacable!
Serar
7 février 2013 @ 10:16
Le roi a l’air affaibli.
Sviny
7 février 2013 @ 13:13
Comme disait ma grand-mère, c’est triste de vieillir…
mimi
7 février 2013 @ 22:11
Et, comme disait le Général de Gaulle, la vieillesse est un naufrage.
Palatine
8 février 2013 @ 12:42
mon grand-père disait la même chose.
dradomir
8 février 2013 @ 18:29
Et dire que je je nage comme une enclume…. :)
Valeska
10 février 2013 @ 10:49
Tant que vous ne coulez pas,cher Dradomir,pas de soucis! ;) :)
Actarus
7 février 2013 @ 14:23
Il va bientôt se déplacer en déambulateur… ;-)
Marie du Béarn
8 février 2013 @ 13:23
Déambulateur électrique 2 vitesses toutes options mon cher cousin Actarus! :)
philippe gain d'enquin
7 février 2013 @ 17:49
Diable! SMTC, aurait-elle tourné « Kazak » en passant ainsi du statut de bi…pède à celui de quadrupède? ? Certaine (s) question (s) se pose (nt) si l’on voit le ma (^) le partout, « nature » llement… PGE
aubert
7 février 2013 @ 18:21
Après la princesse de Sayn, le Président du Kazakhstan, mais il est insatiable cet auguste Juan-Carlos, un vrai Bourbon .
Caroline
7 février 2013 @ 23:14
Aubert,lool!,ce Juan-Carlos est doué pour pratiquer l’art du baiser!!![Amoureux ou diplomatique?]
Valeska
8 février 2013 @ 14:59
Chers Caroline et Aubert,
…Allez,puisque c’est jour de distribution générale et que tout le monde s’y met:
Bisous à vous deux!
(Pas besoin d’être bourbonne,bourbonnière ou bourbonneuse pour cela! ;))
Anne-Cécile
7 février 2013 @ 22:03
La vieillesse est un naufrage…..
En tout cas le Roi est bien guilleret sans doute la joie d’être seul sans son épouse!
Kalistéa
8 février 2013 @ 00:18
Aubert ,si je comprends bien vous nous révèlez qu’il est « bi »,ce monarque?
D’où tenez-vous vos informations? Philippe ?
philippe gain d'enquin
8 février 2013 @ 15:45
Kali, enfin ! Humour et réalité ne forment pas toujours un couple uni. LA PREUVE…
aubert
8 février 2013 @ 16:23
Kalistéa. Tout simplement de la deuxième photographie.
aggie
8 février 2013 @ 11:40
je crois qu’il est temps de passer la main à la jeune génération.
Dommage qu’un règne si bien commencé se termine ainsi.
philippe gain d'enquin
8 février 2013 @ 15:49
Après le baiser les mains ? Ne savez-vous pas que l’on dit : « Jeu de mains, jeu de vilains ? ». Quelle « mauvaise langue »; je suis choqué! (Lol)
Kalistéa
9 février 2013 @ 23:44
Un roi,Philippounet,même s’il est c omme ici un sujet(de plaisanterie),ne peut être un vilain , même pour des jeux!
Passez un bon Dimanche.K.
Valeska
10 février 2013 @ 10:52
Baisers,langue,mains…tant que tout cela n’est pas trop baladeurs,cher PGE,ça va! ;)
philippe gain d'enquin
10 février 2013 @ 12:20
Le baladeur, je l’ai aux oreilles… A vous, PGE
Valeska
11 février 2013 @ 11:28
:) !
Eskimo
8 février 2013 @ 15:29
Je comprends qu’il soit poli avec ce dictateur, les rois sont tous polis. Mais était-il vraiment obligé de lui faire la bise ?
Élric de Poitou
8 février 2013 @ 20:44
Pour moi, il est triste qu’un monarque abdique, et plus particulièrement le roi d’Espagne, qui a été l’homme de la modernité dans ce pays. Une mort qui l’ôterait à la fonction royale, ferait de lui un prince respecté et admiré, jusqu’à la fin.
Palatine
9 février 2013 @ 18:00
Que conseillez-vous ? Le poignard ou la cigüe ?
Valeska
10 février 2013 @ 10:54
Ah,Elric du Poitou,vous préférez sa mort à son abdication?Pas sûr que pour l’heure,le Roi soit de votre avis! ;)
Je taquine,bien sûr! :)
Kalistéa
9 février 2013 @ 19:58
Je suis totalement de votre avis Elric, L’abdication est une chose grave ,et il faut de sérieuses raisons pour la motiver.
Les Reines des Pays bas ont adopté une passation de pouvoir à la génération suivante qui est devenue une tradition familiale semble-t-il.C’est différent dans le motif(une sorte de retraite) et dans la forme.
Le petit Luxembourg ,également régi par une famille Nasseau a adopté un mode de retraite du souverain âgé qui s’efface devant son héritier.Ce n’est pas une raison pour que cela devienne une généralité parmi les souverains!
Elsi
10 février 2013 @ 12:45
Moi personnellement, je ne vois aucune notion négative dans le fait qu’un souverain décide d’abdiquer à un certain moment de sa vie, après autant d’années de service accomplies, surtout quand un successeur dans la force de l’âge est prêt.
Sans vouloir entâcher la personnalité de Juan Carlos (quoique …) : pourquoi ne pas céder les rênes à son fils, ce serait une bouffée d’oxygène pour la monarchie espagnole.
Élric de Poitou
10 février 2013 @ 21:08
L’abdication représente pour moi l’arbitraire. Contrairement à la monarchie des rois très chrétiens, je trouve que les autres monarchies européennes manquent de principes et de règles au fil du temps.
« Le roi est mort. Vive le roi ! » : en voilà un principe de continuité. Une reine qui abdique — en faveur de n’importe qui, au passage — sa tâche royale entache et met à mal la continuité de l’État.
Je pense qu’une retraite progressive, avec l’intégration graduelle du prince héritier, peut être une solution envisageable pour les monarques européens qui souhaiteraient abdiquer. Inspirez-vous du prince de Liechtenstein, qui a transmis au prince héréditaire Aloïs certaines affaires de l’État.
Pour ma part, je pense que le prince des Asturies fait un peu je jeunot, Elsi !
Pierre-Yves
11 février 2013 @ 10:29
Le problème d’attendre la mort d’un souverain, c’est que l’allongement de la durée de vie condamne de facto les peuples à n’avoir que des souverains âgés, n’occupant le trône qu’autour de 60 ans, voire au delà.
Le fait de décider de laisser sa place à son fils ou sa fille aînée ne rompt pas le principe de continuité que vous invoquez. C’est juste qu’on le contrôle au lieu de le subir.
Vous le dîtes vous-même, une passation de pouvoir se prépare. Je ne vois pas ce qui empêcherait qu’elle ait lieu dès lors que l’héritier est fin prêt.
Il n’y a pas d’arbitraire dans cette décision mais une concertation fructueuse entre le sortant, l’entrant et leur gouvernement. Cela me semble très sain. C’est pourquoi je trouve que le cas néerlandais est un exemple à suivre.
Valeska
11 février 2013 @ 11:33
A 45ans,Felipe,un peu jeunet? :o
‘Faut être un vieux croûton pour devenir un bon Roi?
Entre trop vert et blet,il y a un temps idéal pour le fruit…
Wilhem-Alexander,votre maman s’est trompée,allez vous moucher! ;)