A l’auditoire national de musique de Madrid, le roi et la reine d’Espagne ont présidendé en compagnie du président hongrois et de son épouse un concert en hommage au 200ème anniversaire de la naissance du compositeur hongrois Ferenç Liszt.Ce concert était donné dans le cadre de la présidence hongroise de l’Union européenne. (Copyright photo : Efe)
15 janvier 2011 @ 13:02
Ce n’est pas souvent que le roi suit la reine dans ce domaine : présence du chef d’état hongrois oblige.
15 janvier 2011 @ 14:18
Quelqu’un s’est souvenu de Liszt tiens, sa musique est devenue vieillotte, idole de ces dames au XIXè il ne figure que très rarement aux concerts symphoniques.
16 janvier 2011 @ 01:23
A Gustave,si Sofia d’Espagne est une vraie melomane,elle apprecie tout sur la musique meme si vous n’aimez pas Liszt!
16 janvier 2011 @ 18:44
Le Roi n’étant ni très culture en général ni très musique en particulier, il a du fort s’ennuyer.
D’ailleurs bien plus que sur cette simple photo, l’expression générale du Roi, hors sourire protocolaire de remerciement ou de conversation avec ses invités de marque, reflètait bien sa tristesse de ne pas être dans un bar ou dans son petit salon à trinquer avec ses intimes!
16 janvier 2011 @ 19:53
ceci est normal est bienvenue dans tout ce qui est officiel ce qui est drôle le roi d’Espagne et le président Hongrois font la même tête ( rêveur ou fatigués ou penser vivement que cela finisse ) quant aux dames elles seules semblent être ravies . Ceci est une constatation rien de plus
19 janvier 2011 @ 19:27
Gustave, je crois que le talent de Liszt était surtout dans l’interpretation. C’était un vrai virtuose et il parait que dans son genre il est inégalé. Il a joué et fait connaitre les grands musiciens de son époque. Il en a meme imposé certains qui sont devenus plus célèbres que lui. Comme il n’y avait pas de magnetophones à l’époque nous ne pourrons jamais avoir une opinion à nous. Mais c est vrai qu’il n’ a pas laissé une oeuvre importante, et son « reve d’amour » est vraiment nunuche.
Il y a au musée Carnavalet un portrait de jeunesse de Franz Liszt , qui à cette epoque était beau comme un dieu. La comtesse d’Agoult quitta son mari pour lui, ne l’oublions pas.