Au Palais royal de Bruxelles, le roi des Belges a reçu en audience Madame Aung San Suu Kyi, conseillère d’Etat de l’Union de Myanmar. (Copyright photo : Palais royal)
Une grande dame qui s’est battue bec et ongles pendant des des années pour la démocratie dans son pays. Saluons la pour son opiniâtreté et son immense courage !
Mais qui est complètement coincée aujourd’hui et incapable de mettre un frein à la folie meurtrière de l’armée contre les Rohingyas. Force est de constater qu’elle n’a aucun pouvoir face à elle. Et c’est gênant pour une icône de la démocratie.
Voilà une Dame qui a fait passer le bien commun avant le sien propre.
Elle mérite tout notre respect et devrait servir d’exemple à tous ceux qui briguent le pouvoir suprême !
Son seul coup d’éclat fut : RESISTER !
Mais quel coup d’éclat !
Comment les décrivez de (Grande dame) et elle empêche la Commission européenne des droits de l’homme à enquêter sur les atrocités commises par l’armée bouddhiste de Minamar contre la minorité musulmane de Al Roheenka? elle est le chef de pays et toutes les barbaries que cette armée à commises c’étaient sous sa tutelle, Difficile pour moi de justifier ces politiques hypocrites de double mesures ? Où sont les droits de l’homme et les droits des minorité? Ou parce que se sont des musulmans personnes ne pleurent pour eux?
Oui, vous avez raison,
Peut être est elle actuellement « prisonnière » d’une autre façon.
Mais cela ne doit rien enlever à son action passée.
Elle doit maintenant faire preuve dans le présent de la même opiniatreté que par le passé ou alors le jugement sera révisé.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que je n’apprécie pas l’inertie d’ Aung San Suu Kyi depuis qu’elle est au pouvoir. Même réflexion que Rita, en tous points .
C’était Madame » je donne des leçons à tout le monde », » voyez comment je sacrifie même ma vie de famille » ( ~ mon mari peut crever tout seul, moi, je reste fidèle à papa) ; et maintenant …. Maintenant quoi ? Maintenant rien.
Comme quoi la critique est facile, mais l’art est difficile.
Je me méfie comme de la peste des gens , hommes ou femmes, qui entrent en politique pour faire ce que n’a pas fait papa, ou pour réparer ce qu’a subi papa, etc. Des motivations profondes de ce type-là ne tiennent pas la route concrètement, quand il s’agit d’affronter des problèmes sociaux et généraux réels . Parce que ces motivations sont rarement doublées de raisonnements précis, factuels, concrets, sensés, qui permettraient, eux, et eux seuls, de résoudre les-dits problèmes.
Résoudre les problèmes psychiques individuels issus de faits de famille relève de la psychanalyse, non du politique
Je voulais attendre mieux de Aung San Suu Kyi, quoique sans y croire.
Gibbs-Dominique ?
3 mai 2017 @ 07:11
Une très grande dame.
Lars de Winter
3 mai 2017 @ 08:07
Elle est tres elegante!
Mister M
3 mai 2017 @ 12:09
Une grande dame qui s’est battue bec et ongles pendant des des années pour la démocratie dans son pays. Saluons la pour son opiniâtreté et son immense courage !
ambre
3 mai 2017 @ 13:55
Mais qui est complètement coincée aujourd’hui et incapable de mettre un frein à la folie meurtrière de l’armée contre les Rohingyas. Force est de constater qu’elle n’a aucun pouvoir face à elle. Et c’est gênant pour une icône de la démocratie.
Caroline
3 mai 2017 @ 21:13
Mister M,
En effet ! Je ne me rappelle pas si cette dame a reçu un prix Nobel de la paix.
Gibbs-Dominique ?
4 mai 2017 @ 08:30
Prix Nobel de la Paix en 1991, Caroline.
Caroline
4 mai 2017 @ 11:33
Gibbs-Dominique,
Merci et bon week-end d’avance!
Nicole
3 mai 2017 @ 12:27
Une très grande personnalité, qui a beaucoup fait pour l’instauration de la démocratie en Birmanie.
AnneLise
3 mai 2017 @ 13:00
Voilà une Dame qui a fait passer le bien commun avant le sien propre.
Elle mérite tout notre respect et devrait servir d’exemple à tous ceux qui briguent le pouvoir suprême !
Son seul coup d’éclat fut : RESISTER !
Mais quel coup d’éclat !
Jean Pierre
3 mai 2017 @ 14:35
Une grande dame….qui devrait se souvenir qu’une théocratie (même bouddhiste) ne vaut guère mieux qu’une dictature militaire. Je lui fais confiance.
Rita
3 mai 2017 @ 15:24
Comment les décrivez de (Grande dame) et elle empêche la Commission européenne des droits de l’homme à enquêter sur les atrocités commises par l’armée bouddhiste de Minamar contre la minorité musulmane de Al Roheenka? elle est le chef de pays et toutes les barbaries que cette armée à commises c’étaient sous sa tutelle, Difficile pour moi de justifier ces politiques hypocrites de double mesures ? Où sont les droits de l’homme et les droits des minorité? Ou parce que se sont des musulmans personnes ne pleurent pour eux?
AnneLise
3 mai 2017 @ 23:13
Oui, vous avez raison,
Peut être est elle actuellement « prisonnière » d’une autre façon.
Mais cela ne doit rien enlever à son action passée.
Elle doit maintenant faire preuve dans le présent de la même opiniatreté que par le passé ou alors le jugement sera révisé.
Alinéas
3 mai 2017 @ 17:36
Saluons une grande dame.!
Bambou
3 mai 2017 @ 19:06
Malgré les épreuves et le temps qui passe, cette grande dame est toujours aussi jolie.
andré
3 mai 2017 @ 19:47
une femme qui ne mérite rien, elle n’a pas montré les traces de torture qu’elle aurait subies lorsqu’elle a été libérée par les FARC
AnneLise
3 mai 2017 @ 22:53
?????
Confusion avec Ingrid Betancourt ?
Leonor
5 mai 2017 @ 10:32
Le moins qu’on puisse dire, c’est que je n’apprécie pas l’inertie d’ Aung San Suu Kyi depuis qu’elle est au pouvoir. Même réflexion que Rita, en tous points .
C’était Madame » je donne des leçons à tout le monde », » voyez comment je sacrifie même ma vie de famille » ( ~ mon mari peut crever tout seul, moi, je reste fidèle à papa) ; et maintenant …. Maintenant quoi ? Maintenant rien.
Comme quoi la critique est facile, mais l’art est difficile.
Je me méfie comme de la peste des gens , hommes ou femmes, qui entrent en politique pour faire ce que n’a pas fait papa, ou pour réparer ce qu’a subi papa, etc. Des motivations profondes de ce type-là ne tiennent pas la route concrètement, quand il s’agit d’affronter des problèmes sociaux et généraux réels . Parce que ces motivations sont rarement doublées de raisonnements précis, factuels, concrets, sensés, qui permettraient, eux, et eux seuls, de résoudre les-dits problèmes.
Résoudre les problèmes psychiques individuels issus de faits de famille relève de la psychanalyse, non du politique
Je voulais attendre mieux de Aung San Suu Kyi, quoique sans y croire.