11 avril 2016 Lecture pour (re)découvrir le Ritz Pour se (re)plonger dans l’atmosphère du Ritz, n’hésitez pas à parcourir cet ouvrage de Bertrand Meyer-Stabley sur Hemingway, un habitué des lieux. Disponible en ebook sur toutes les plateformes de téléchargement. Régine ⋅ Actualité 2016, Hôtels de légende, Livres 4 Comments Régine Salens → Régine Salens « Réouverture de l’hôtel Ritz » Eglise de la Mère de Dieu de la cour Sheremetev 4 Comments framboiz 07 11 avril 2016 @ 05:41 A ne pas confondre avec Paris est une fête du même auteur ! Le titre est finement trouvé! Reply Dominique-Gibbs 11 avril 2016 @ 12:42 Il fit tellement la fête que… Une de ses petites-filles a suivi le même chemin. Il était le parrain de l’acteur Claude Brasseur. Pour avoir lu, il y a longtemps, « Le vieil homme et la mer », j’en garde un souvenir fort désagréable. Reply jo de st vic 11 avril 2016 @ 17:44 Voila un Monsieur qui adorait la corrida….et son ambiance, moi aussi (pas la peine de répondre merci) Reply Ogier le Danois 12 avril 2016 @ 00:24 J’ignorais que le jeune Hemingway avait l’allure d’un petit boutiquier provincial. Reply Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
framboiz 07
11 avril 2016 @ 05:41
A ne pas confondre avec Paris est une fête du même auteur ! Le titre est finement trouvé!
Dominique-Gibbs
11 avril 2016 @ 12:42
Il fit tellement la fête que…
Une de ses petites-filles a suivi le même chemin.
Il était le parrain de l’acteur Claude Brasseur.
Pour avoir lu, il y a longtemps, « Le vieil homme et la mer », j’en garde un souvenir fort désagréable.
jo de st vic
11 avril 2016 @ 17:44
Voila un Monsieur qui adorait la corrida….et son ambiance, moi aussi (pas la peine de répondre merci)
Ogier le Danois
12 avril 2016 @ 00:24
J’ignorais que le jeune Hemingway avait l’allure d’un petit boutiquier provincial.