Le musée Condé du château de Chantilly vient de recevoir en legs un portrait du Prince Henri d’Orléans, Duc d’Aumale peint en 1842 par Franz Xaver Wintherhalter et son atelier. (merci à Charles – photo Michel Urtado)
Le musée Condé du château de Chantilly vient de recevoir en legs un portrait du Prince Henri d’Orléans, Duc d’Aumale peint en 1842 par Franz Xaver Wintherhalter et son atelier. (merci à Charles – photo Michel Urtado)
Lady Chatturlante
15 décembre 2018 @ 04:00
Je le trouve plus beau que son homonyme actuel et néanmoins contemporain.
aubert
15 décembre 2018 @ 14:21
il y a aussi aujourd’hui un duc d’Aumale au physique plus avantageux que celui de son oncle Henri, d’après ce qu’on a pu voir sur N&R.
Claude Péra
15 décembre 2018 @ 16:27
ah, bon … zut, il a de très beaux restes, il n’a que 44 ans !!! Il n’est, peut-être, pas beau, mais, a beaucoup de charme, alors !!! mais qu’est ce que la beauté ???
Gérard
15 décembre 2018 @ 16:51
Contemporain de qui ? L’actuel duc est charmant.
Lunaforever
15 décembre 2018 @ 04:53
Qui est le légateur ?
marianne
15 décembre 2018 @ 06:02
Quel bel homme !
Cheveyre
15 décembre 2018 @ 07:12
quelle est la personne qui a fait ce legs ?
Marie-E
15 décembre 2018 @ 07:37
Très belle œuvre, il me tarde d’aller visiter le château de Chantilly !
Merci pour cette nouvelle Charles.
Gérard
15 décembre 2018 @ 08:08
Legs de Jacques Malatier décédé en 2017.
DEB
15 décembre 2018 @ 09:13
Merci Charles.
Après le décès du comte de Paris, Jacques Malatier (1926-2017) avait acquis cette toile lors d’une vente aux enchères ( Sotheby’s).
Le duc d’Aumale a 20 ans sur ce portrait.
Le reste de la collection de Jacques Malatier est vendue au profit de la fondation de France .
JAY
15 décembre 2018 @ 14:33
Qui était ce monsieur ?
DEB
16 décembre 2018 @ 09:39
Un banquier collectionneur d’art.
clementine1
15 décembre 2018 @ 15:00
un mécène, ce Jacques Malatier, chapeau !
Ghislaine-Perrynn
15 décembre 2018 @ 09:49
Lui, comme ses frères étaient vraiment très beaux et élégants .
Philippe Gain d'Enquin
15 décembre 2018 @ 11:41
Dieu soit loué il existe encore des bienfaiteurs; merci à vous Charles de cette heureuse nouvelle. A vous, Pge
Lidia
15 décembre 2018 @ 13:42
Le visage étonnamment moderne.
IANKAL21
15 décembre 2018 @ 14:21
Heureux pays auquel de tels legs persistent.
Francois
15 décembre 2018 @ 14:31
Initiative absolument à saluer
Très beau portrait
Muscate-Valeska de Lisabé
15 décembre 2018 @ 16:22
Il me semble que le grand Winterhalter a fait plusieurs portraits du duc d’Aumale car je connais un tableau qui ressemble beaucoup à celui-ci. Je le crois exposé au Musée Condé à Chantilly.
Charles
16 décembre 2018 @ 12:47
Effectivement Muscate, Wintherhalter a peint plusieurs portraits du Duc d’Aumale. Un portrait du Duc d’Aumale en tenue d’Officier du 17ème léger réalisé en 1840 est aujourd’hui visible au château de Chantilly dans la chambre de la Duchesse d’Aumale.
Un Prince d’Orléans actuel possède egaiement un portrait en pied du Duc d’Aumale par Wintherhalter.
Muscate-Valeska de Lisabé
17 décembre 2018 @ 16:56
Merci cher Charles♡.
Mayg
15 décembre 2018 @ 17:57
Joli portait.
Gérard
16 décembre 2018 @ 13:39
Ce portrait a figuré dans la vente de la succession du comte de Paris le 30 octobre 2000 chez Maître de Nicolay à Paris à Drouot Richelieu. C’est une huile sur toile de 45,5 x 37 centimètres signée en bas à gauche et de 1852. Winterhalter a représenté plusieurs fois le duc d’Aumale et c’est semble-t-il le premier portrait du duc barbu. Ce portrait a été acquis alors par Jacques Malatier (1926-2017), banquier et érudit, discret mais bien connu des commissaires-priseurs, et il figurait à son domicile de la place des États-Unis où il réunissait autour de sa table artistes et historiens de l’art.
Toute la collection de Malatier a été vendue aux enchères au profit de la nouvelle Fondation Malatier-Jacquet au sein de la Fondation de France dont l’objectif est l’acquisition de mobilier pour le château de Chambord et celui de Versailles ainsi que des bourses aux étudiants et des publications dans le domaine artistique.
Mais évidemment ce portrait lui a fait l’objet du legs et a échappé donc au marteau du commissaire-priseur. La collection comprenait du mobilier et de très belles peintures anciennes notamment.
Parmi les œuvres dispersées un seau à laver les pieds en porcelaine dure de Sèvres cadeau de Napoléon pour le mariage du futur grand-duc Charles II de Bade en décembre 1806 avec la princesse Stéphanie de Beauharnais nièce et fille adoptive de l’empereur et qui est resté dans les collections grand-ducales jusqu’en 1997.