Ce 27 mars, la princesse Leila d’Iran, fille cadette du Shah et de l’impératrice Farah d’Iran aurait fêté son 40ème anniversaire. La princesse que l’on voit sur cette première photo dans les bras de sa mère à l’âge de 6-7 mois, est décédée à Londres le 10 juin 2001.
La princesse Leila qui était très proche de son père (ici en 1972 sur ses genoux à Saint Moritz), est enterrée auprès de sa grand-mère maternelle Madame Diba au cimetière de Passy à Paris. Un anniversaire que l’on imagine très douloureux pour la famille impériale iranienne et en particulier pour l’impératrice Farah. (Merci à Marie Françoise pour les photos)
Pierre-Jean
27 mars 2010 @ 06:24
L’Impératrice ne se remettra jamais complètement de cette disparition, quand elle évoque sa fille, c’est une très grande souffrance, quoi de plus terrible que de perdre son enfant?…
monique
27 mars 2010 @ 06:42
Effectivement un anniversaire très douloureux !Déjà 9 ans !
Triste journée pour Farah en particulier et sa famille.
Leila avait le mal de vivre,très près de son père qu’elle adorait….. je pense qu’elle ne s’est jamais consolée du décès de celui-ci…..c’est ce que avait avoué l’impératrice Farah !
marie louise
27 mars 2010 @ 07:15
Quelle douleur toujours vive et ouverte pour Farah!Quelle mal-etre pour cette petite Leila,si pétulante enfant!Je pense a vous, mamans du site ,et a Sophie de Habsbourg qui avez vécu cette disparition insupportable!
Marie 29
27 mars 2010 @ 07:15
Bon ciurage, Madame.
Marie
Marie 29
27 mars 2010 @ 07:16
Pardon,je voulais dire courage
Nicole Elisabeth
27 mars 2010 @ 08:17
En effet, cet anniversaire doit être très douloureux pour l’impératrice Farah. La princesse Leila était si mignonne dans les bras de son père, le shah ! Merci à Marie-Françoise pour ces belles photos.
Valentine
27 mars 2010 @ 08:32
de très jolies photos quelle tristesse la disparition de cette jeune princesse. L’impératrice à vraiment beaucoup de courage.
marie-françoise
27 mars 2010 @ 10:12
La princesse Leila étant la petite dernière de sa fratrie, elle fut très aimée du Shah à qui elle ressemblait étonnement. Sur les dernières photos parues d’elle avant son décès il était saisissant de voir combien elle avait hérité des traits -le regard et le sourire en particulier- de son papa. Une vraie double tragédie pour l’impératrice car Leila ne s’était en fait jamais remise de son exil d’Iran et de la mort du Shah, n’oublions pas qu’elle n’avait que 10 ans au moment de ces événements. Toutes mes pensées vont vers l’impératrice Farah en ces jours de peine.
VeroniqueYéghiazarian
27 mars 2010 @ 10:18
Emouvante journée pour l’Impératrice, mais quelle belles photos; la première est au palais de Niavaran ou Saadabad, et la deuxième est dans leur chalet à ST Moritz; . Il y a 12, 13 ans je me suis cognée la tête en sortant du taxi tellement j’étais impressionnée de voir le chalet de la famille impériale, là où ils étaient tellement contents de passer leurs vacances de ski.
Laurent D
27 mars 2010 @ 12:56
Le destin n’a vraiment pas épargné l’Impératrice Farah.
Malgré tout elle a su rester d’une dignité exemplaire et garder courage et foi.
Dans son livre, elle raconte que ce qui avait profondèment traumatisé la Princesse Leila, c’est qu’au décès de son Impérial Papa, on l’a jugée trop jeune pour le voir dans ses derniers instants et elle n’a pas pu lui dire « au revoir » ni voir sa dépouille.
Colette C.
27 mars 2010 @ 13:13
Quel déchirement pour une mère.Je pense aussi à Sophie de Habsbourg.
Danielle
27 mars 2010 @ 16:08
Quel cauchemar pour l’impératrice ; il parait que l’on ne se remet jamais de la mort d’un enfant.
Comme vous toutes, ces photos me rappellent Sophie de Habsbourg.
paulette
27 mars 2010 @ 16:12
Triste journée pour vous MADAME Je formule le souhait
qu’elle puisse de la où elle repose vous renvoyer cet amour que
vous donnez tant aux autres.
martine
27 mars 2010 @ 16:35
Laurent D
Je pense qu’à 10ans,un enfant est un peu trop jeune pour »voir »un mort,même si à la télé »ça pleut »des cadavres dans les films,cela n’est pas la même vision.
Un enfant peut être »mature »à voir des horreurs,mais quand cela est de sa propre famille,on ne sait jamais comment il(ou elle)va réagir au fond de lui-même(ou d’elle-même).
l’Impératrice a préféré que sa fille »garde »une image…vivante de son père,qui,malheureusement…elle voulait le contraire et,elle ne s’y ait pas fait »qu’elle n’a pu lui dire adieu ».
Bien qu’on risque de me critiquer,je suis contre qu’un enfant de moins 11ans assiste au cimetière,l’enfant »voit »…un trou,puis le cercueil »descendre »,garder une « telle image »,j’en ai été le témoin de certains enfants qui se sont mis à hurler,qu’ils ne voulaient pas »que leur maman ou papa,voir soeur ou frère…reste dans CE TROU »et,pourtant,on s’imagine »qu’ils sont capables de réaliser »,même ceux qui sont silencieux….comment connaître »leurs réactions intérieures »
VeroniqueYéghiazarian
27 mars 2010 @ 16:43
oui Farah d’un côté, Sophie de Hasbourg d’un autre côté, moi aussi je suis mère et j’imagine ce que c’est car je suis née un an après le décès d’un de mes frère que je n’ai pas connu donc et mes parents n’ont jamais pu oublier, mon père avait chaque soir à 8 heures les yeux mouillés ( heure du décès de mon frère ) et ma mère en parlait tout le temps, ceci même 30 ans après;;;; et ma voisine à côté de ma maison , a aussi perdu son fils adulte et elle en parlait tout le temps. Maintenant mes parents et ma voisine sont allés rejoindre chacun leur enfants. Donc je comprends cette situation terrible………
Leblanc
27 mars 2010 @ 18:33
Curieux.
L’on en arrive à vouloir trouver dramatique la mort de cette femme de 40 ans alors que pendant ce temps, des bombez tuent des centaines de personnes de touts âges dans des contrées pourtant défensseur des libertés humaines.
Ce n’est pas sur les morts qu’il faut pleurer mais sur ceux qui demain mourront.
A.Lin
27 mars 2010 @ 18:41
Merci à Marie Françoise pour ces belles photos du temps du bonheur !
corentine
27 mars 2010 @ 19:21
oui Colette, c’est l’horreur
et pensons également à la princesse Christine d’Orleans Bragance
Caroline
27 mars 2010 @ 21:04
Bien sur,c’est terrible de perdre un enfant! Si Leila d’Iran etait malheureuse,elle aurait du se rendre elle-meme heureuse avec des occupations ou avec un petit ami!Je pense qu’elle avait d’autres problemes que nous ignorons!
marie-françoise
28 mars 2010 @ 10:48
Malheureusement de nombreuses familles perdent un de leurs enfants, cela est toujours infiniment triste surtout pour leurs mamans qui n’oublient jamais. Mais Corentine, l’horreur est ailleurs, tous les jours présente dans les pays où sévissent la pauvreté et des climats malveillants, l’horreur est au Soudan où meurent chaque jour des milliers d’enfants, l’horreur est dans les familles où les femmes et les enfants subissent maltraitances et violences…
VeroniqueYéghiazarian
28 mars 2010 @ 14:07
Merci Marie- Françoise pour les photos que j’ai reçu.
cecil
28 mars 2010 @ 14:36
De quoi est décédée la princesse leila?
Laurent D
28 mars 2010 @ 18:53
Martine,
Je suis d’accord avec vous.
Bon, j’ai tout de même eu la chance à 6 ans de voir mon Grand-Père maternelle, qui est mort à 53 ans d’un cancer des poumons, car il était encore lucide et « présentable » deux jours avant son décès.
Mais après, je ne l’ai plus vu, ni assisté aux obséques.
Du reste, je viens de réaliser que je n’ai jamais vu un mort de ma vie, j’en ai froid dans le dos.
Laurent D
28 mars 2010 @ 18:55
Cecil,
La Princesse Leila ne s’est jamais vraiment remise de la perte de son père ; elle enchaînait les dépressions et autres d’où médicaments etc…
Par respect pour la famille Impériale, la presse (pour une fois !) est restée très discréte sur les raisons de son décès.
vincent meylan
28 mars 2010 @ 20:00
Leila Pahlavi est morte tout simplement de son mal de vivre. C’était une jeune femme fragile, très belle, chaleureuse, gentille et particulièrement souriante.
L’exil en 1979, l’effondrement de son univers d’enfant, les mois de traque contre ses parents, leur quasi internement, la séparation d’avec eux pendant des semaines, l’agonie de son père au Caire et sa mort, ont laissé des traces indélébiles sur le caractère d’une enfant, peut-être un peu plus sensible que les autres.
Leila se nourrissait peu ou mal, elle était extrêmement mince, sans être réellement anorexique. Elle était sujette à la dépression, de profondes périodes de doute, d’anxiété, d’angoisse.
Elle avait été souvent déçu par les autres, qui ne l’approchait que par intérêt, ou qui portaient des jugements violents contre des êtres qui lui étaient chers.
Les raisons de sa mort sont parfaitement claires et connues. Un soir d’angoisse particulièrement forte, elle a voulu dormir et a pris quelques somnifères, ni une boite, ni une douzaine, simplement quelques comprimés.
N’importe qui aurait dormi dix heures, au plus. Simplement, son organisme à elle était épuisé, miné depuis des années par ses troubles alimentaires, les traitements, le stress. Il a lâché. C’est tout.
Je crois qu’elle est resté extrêmement présente dans le souvenir de toutes les périodes qui l’on rencontré.
Je me souviens, aujourd’hui encore, de cet après midi, chez la shahbanou à Paris, durant laquelle nous avons longuement discuté.
Ayant un peu l’expérience de ce genre de problème, je suis assez sensible aux psychologies fragiles. Ceux qui sont dans ce cas et qui lisent ces lignes comprendront ce que je veux dire.
Nous nous étions parlé très vite, en allant très rapidement à l’essentiel. Une conversation banale, engagée parce qu’elle avait eu la gentillesse de me tenir compagnie alors que j’attendais l’impératrice, est devenue un véritable échange entre deux personnes qui savaient, l’une (moi) que l’autre (elle) avait besoin de parler, et l’une (elle) que l’autre (moi) comprenait et était prête à écouter.
Je ne dirais jamais à personne ce qu’elle m’a dit ce jour là (ce n’est pas un secret d’état), cela ne regarde personne sinon elle et moi, mais j’en garde le souvenir précis et ému.
Leila Pahlavi fait partie des êtres auxquels je pense souvent en me disant que j’ai eu de la chance de les avoir rencontré parce qu’ils m’ont montré un petit, et si joli morceau, de leur coeur.
Je sais que la Shahbanou ne m’en voudra pas d’avoir parlé de Leila ici. Nous en parlons parfois et toujours avec la même émotion.
Amicalement à tous
Vincent Meylan
Et une pensée pour Leila…
marie-françoise
28 mars 2010 @ 20:02
L’impératrice farah n’a jamais cachée que sa fille Leila souffrait d’anorexie depuis plusieurs années et de dépressions, et qu’elle aurait absorbé trop de tranquillisants la nuit de son décès. Il n’est donc pas difficile de comprendre à demi-mots les raisons de sa mort, cela rajoute encore au chagrin de l’impératrice car dans ces cas-là toute maman aura tendance à culpabiliser. Mais on peut sans se tromper conclure que la princesse avait été très fragilisé par les circonstances qui ont entouré l’exil de sa famille et la mort de son père. Deux chagrins dont elle ne s’est jamais remise effectivement.
Brigitte-Anne
28 mars 2010 @ 20:49
Vincent Meylan ,
Merci pour votre témoignage , merci pour vos commentaires toujours d’une grande courtoisie !
Vous êtes un Grand Monsieur ….
Bien à vous
marie louise
28 mars 2010 @ 20:55
En effet,la souffrance psychique est terrible a vivre pour la personne atteinte et son entourage!J ai connu cela de près et suis très sensible face a ces etres souffrants!
pierre-yves
28 mars 2010 @ 22:01
A Vincent Meylan
Merci de votre émouvant témoignage. La famille Pahlavi, au delà de l’anlayse politique de l’action du Shah, force le respect, en particulier l’impératrice Farah devant laquelle je m’inclinerais volontiers.
A Marie Françoise
Merci beaucoup des photos que vous m’avez envoyées et qui sont elles aussi émouvantes.
corentine
28 mars 2010 @ 23:26
Vincent,
merci beaucoup pour votre témoignage simple et émouvant
oui vous avez raison, une pensée pour Leila
corentine
28 mars 2010 @ 23:28
marie françoise (20)
vous avez tout à fait raison, l’horreur c’est tous les jours dans beaucoup trop de pays
VeroniqueYéghiazarian
29 mars 2010 @ 10:39
UNe question hors sujet et sujet en même temps: je vais aller à Paris bientôt dès que nous aurons réservé un hôtel , j’aimerai essayer de rencontrer l’impératrice pour la voir au moins 30 minutes; mais pour ça il faudrait que je lui écrive en Amérique et qu’elle me réponde oui; d’après vous tous admirateurs de Farah , pensez vous que je réussisse à lui donner un RV dans Paris?????????? Car je suis n’importe qui sauf qu’elle me connaît travers mes courriers depuis 40 ans. Et j’ai un peu peur de la voir en vrai ( d’être très émotive, ou d’avoir trop de palpitations ? Je sais pas quoi faire, car depuis 40 ans j’espère la voir.
Je m’excuse de vous embêter avec ceci.
Sylvie
29 mars 2010 @ 10:40
Vincent : magnifique témoignage ! j’ai une immense admiration pour la Shahbanou . J’avais lu avec grand interêt ses mémoires , eu envie ensuite de lui écrire mais n’avais pas osé le faire .
palatine
29 mars 2010 @ 13:46
j’ai relu ce WE les mémoires de l’imperatrice Farah. Ce livre est une leçon de vie.
Quand son mari n’a plus été au pouvoir et que tant de gens importants et de têtes couronnées (tous invités souvent à Teheran et en grand style) leur ont tourné le dos à tous les deux, le roi Baudoin est resté un ami fidèle. Elle cite aussi le couple royal grec, en exil à l’époque. Mais le roi Baudoin fut toujours à l’écoute et s’il n’a pu offrir un refuge à la famille Pahlavi c est parce qu’il n’était qu’ un roi constitutionnel.
On voit que c’est dans le malheur qu’on connait ses amis, et son destin ressemble un peu à celui de l’impératrice Zita.
Lors de leur derniere visite officielle en Amerique fin des années en 77 ou 78 , Farah semblait triste et ce qui m’avait frappée c’est qu’elle ne portait pas de bijoux aux receptions officielles. Cela m’avait étonnée car avec les Kennedy dans les années 60 elle était parée comme une châsse et très gaie. On aurait dit que les bijoux, dans son etat d’esprit, étaient une chose futile.
Dans une interview télévisé que j’ai vue, le shah assez brievement et pudiquement admettait que son père avait eu une autre famille et d’autres enfants. Donc sa mère a dû être mise à l’écart comme ce fut le cas de la princesse Mouna en Jordanie. J ai eu l’occasion de lire une interview de la mère du shah (souviens plus de son nom) . Elle parlait de ses 3 belles-filles. La premiere je sais qu elle ne l’aimait pas, pcq cette princesse égyptienne, soeur de Farouk, la traitait de haut. Elle décrivait Soraya comme « la beauté » et Farah comme « l’intellectuelle ». Elle insistait beaucoup sur l’intelligence de sa 3e belle-fille .
En fait Farah est plus que ça. Tout le monde l’admire et la respecte , à juste titre. C est un être remarquable et qui inspire un profond respect.
A la fin des années 70, le shah était vilipendé dans certains milieux soi-disant intellos et Farah a bien fait de réhabiliter son mari qui a fait tant de bien à son pays. Je me mets à sa place : quel crève-coeur de voir toutes ces femmes iraniennes brimées par le pouvoir et surtout cet horrible retour en arrière.
Je me demande combien de temps cela va encore durer.
marie-françoise
29 mars 2010 @ 17:24
chère Véronique, je crois -enfin il me semble- que vous auriez dû tout d’abord essayer d’obtenir un RV avec l’impératrice avant de caler vos dates de séjour à Paris. Si celui-ci est imminent, il y a peu de chance que son agenda se libère à la dernière minute juste pour vous, et sera t’elle seulement à Paris à ce moment-là ? De plus, 30 minutes c’est long si on n’a pas une raison précise -interview de journaliste, cause pour laquelle on espère de l’aide- de bien les remplir ! je crois que de nombreuses personnes souhaiteraient faire sa connaissance, mais malgré sa grande simplicité, c’est aussi une personne très sollicitée. Pour une autre fois et en vous y prenant très à l’avance, vous aurez peut-être plus de chance d’obtenir un entretien avec l’impératrice. C’est également mon souhait le plus cher, mais j’aurai peur de la déranger, finalement l’admiration et l’affection que je lui voue à distance suffisent à me satisfaire car si j’ai envie de la rencontrer, elle par contre, quelle raison aurait-elle de le faire si ce n’est pour me faire plaisir ? bonne chance dans vos démarches, tenez-nous au courant. Bien amicalement à vous
Sylvie Laure
29 mars 2010 @ 18:28
Ma fille unique est née le 27/3/1992, elle a eu ses 18 ans, samedi et à cette date, qui m’a remplie de bonheur, je pense à la joie de sa Majesté à la naissance de sa petite Leila en 1970.Elle était la petite dernière, et la chérie de toute sa famille, et du Shah bien sûr. Dans ses Mémoires, elle dit « nous voulions 4 enfants, Dieu nous les avait donnés ». Phrase magnifique, qui comble la mère qui a couvé ses enfants. Je ne peux m’empêcher de penser très fort, chaque 27 mars à cette jeune princesse, si vraie, et si durement atteinte dans ses choix d’adolescente, et jeune femme. Que Sa Majesté, m’excuse, mais j’associe ma grande fille, à la pensée de cette jolie Princesse, désespérée de tous ces malheurs, et ces drames qui ont marqué sa famille. Je crois qu’on vit avec ses souvenirs, et qu’on les fait revivre chacun(e) à sa façon. Mais c’est affreusement vrai, qu’un enfant qui disparait, c’est toute la vie de ses proches qui s’effondre, et qui plonge ses parents dans un drame épouvantable. Dont on se ne remet jamais
VeroniqueYéghiazarian
29 mars 2010 @ 18:54
Marie -Françoise vous avez raison , mais malheureusement je ne peux pas décider d’aller à Paris comme je veux,, je peux pas laisser mon mari seul.
vincent meylan
29 mars 2010 @ 19:38
Merci tous et à Brigitte Anne particulièrement, vous avez compris.
VM
Danielle
29 mars 2010 @ 20:13
Vincent Meylan, merci, que d’émotions en lisant votre témoignage !
Ceux qui n’ont jamais connu une période dépressive ont de la chance !!
Danielle
29 mars 2010 @ 20:33
Moi aussi j’ai lu les mémoires de l’impératrice et vu la tombe du Shah au Caire.
marie-françoise
30 mars 2010 @ 10:29
Véronique, une fois que vous aurez obtenu un RV avec l’impératrice vous aurez tout loisir de convaincre votre mari de vous accompagner, il sera ravi j’en suis certaine de vous faire plaisir surtout si c’est pour une telle occasion, cela n’arrive qu’une fois dans une vie ! bon weekend Véronqiue
Renée
30 mars 2010 @ 11:21
Beau témoignage émouvant de Vincent Meylan. Il existe encore des journalistes qui ont de l’honneur et de la sensibilité. Bravo Monsieur
palatine
30 mars 2010 @ 12:48
Farah explique avec beaucoup de pudeur et aussi de franchise le mal-être physique (fatigue terrible et douleurs) et moral de sa fille Leila dans ses mémoires. Vincent Meylan est très touchant dans son témoignage.
marie-françoise
30 mars 2010 @ 15:56
Un grand merci à Vincent Meylan pour son témoignage si délicat et plein de sensibilité. En effet avoir rencontré la princesse Leila dans de telles circonstances doit être pour lui un souvenir marquant, un de ces moments rares où l’on croise parfois dans la vie une âme de réelle qualité. Tous ici sommes proches par la pensée du chagrin de l’impératrice dont l’amour maternel m’a toujours semblé irréprochable. Une dignité admirable elle aussi.
jul
30 mars 2010 @ 16:16
C’est magnifique ce que vous dites M. Meylan.
VeroniqueYéghiazarian
30 mars 2010 @ 19:01
Marie – Françoise je crois que je dois aller à Paris d’ici 10 jours donc ça serait un miracle si je pouvais avoir RV pour voir l’Impératrice et serai-elle à Paris, car en ce moment elle bouge beaucoup; et puis j’ai un peu peur de moi que je me sente mal ou bredouille, ou rougisse trop, mais j’ai toujours espoir de la voir une fois…………. Je lui ai déjà écrit pour l’inviter à plusieurs reprises , mais elle ne répond pas pour ces choses trop personnels.