A Brasilia, la princesse Leili d’Orléans-Bragance (à droite) était l’une des invitées de Gislene Borges qui donnait un élégant déjeuner à son domicile en présence de plusieurs personnalités de la haute société brésilienne.
La princesse Leili est la sœur de dom Bertrand, chef de la maison impériale du Brésil. Elle est artiste peintre, spécialiste dans le trompe l’œil. Au menu de ce déjeuner : salade d’aiglefin, filet d’agneau et purée de pommes de terre et tarte tatin aux pommes. (merci à Alberto)
Robespierre
6 octobre 2018 @ 07:11
C’est vrai que tous les matins quand je me lève, je scrute fiévreusement le net pour voir ce qui se passe au Bresil, et suis soulagé de savoir que les princes ont mangé leur purée de pommes de terre. Ou vont visiter une exposition à Brasilia ou à Rio où bien sûr autant que nous sommes nous leur emboiteront le pas.
Bon, ayant eu mon quart d’heure de bienveillance, je vais me reposer et boire mon café.
Ghislaine-Perrynn
6 octobre 2018 @ 15:29
Après la faculté de penser, celle de communiquer ses pensées à ses semblables est l’attribut le plus frappant qui distingue l’homme de la brute.
Robespierre.(Le vrai)
Robespierre
7 octobre 2018 @ 10:52
La gravité est le bonheur des imbéciles (La Rochefoucault)
Val
7 octobre 2018 @ 10:07
Haaaaaaaaaaaaaaaa 😊
Antoine
6 octobre 2018 @ 10:01
Zut ! Et moi qui ai aussi donné un déjeuner (moins élégant et gratiné) à mon domicile la semaine dernière et oublié d’en avertir N&R… Je donne quand même le menu : avocats sainte-Marguerite, lapin au vin blanc, couronne de légumes, fourme de Montbrison, entremet glacé verveine-cassis, salade d’oranges.
Robespierre
6 octobre 2018 @ 11:24
je viendrai chez vous la prochaine fois, promis, cher Antoine (le titre d’une pièce d’Anouilh). Mais s’il vous plait, ne faites pas du lapin, je n’aime pas.
Antoine
7 octobre 2018 @ 13:32
Pas de problème, cher Robespierre. Je réussis aussi assez bien la lotte à l’américaine.
Robespierre
8 octobre 2018 @ 12:20
J’adooooooore !
A
6 octobre 2018 @ 13:10
Flûte, moi aussi j’ai reçu : après apéritif champagne rosé et verrines maison, noix se saint Jacques de la baie d’erquy, lapin vin blanc, crème et girolles, fromages et gâteau glacé chocolat mandarine …. j’espère que cela vous a intéressé 😃😃😃😃😃
Et que le wé prochain nous votons en Belgique’ que les impôts n’arrêtent pas d’enfler comme des baudruche etc etc
Antoine
7 octobre 2018 @ 13:37
Avec des girolles, c’est encore mieux ! Mais l’automne est trop sec. Dans ma région elles sont rares cette année. Consolez-vous : pour les impôts, vous pouvez difficilement faire mieux qu’en France…
Menthe
6 octobre 2018 @ 13:20
Waouh, Antoine, et votre repas n’a rien à envier au menu brésilien, bien au contraire !
Antoine
7 octobre 2018 @ 13:39
Merci, chère Menthe, mais nous n’étions que huit… Sur la photographie je vois plusieurs tables. Au-delà d’un certain nombre je stresse.
Robespierre
8 octobre 2018 @ 12:21
Huit est le nombre optimum pour avoir une bonne conversation et un diner plaisant.
Carolus
7 octobre 2018 @ 11:06
C’est gentil Antoine, mais je préfère le lapin de A avec crème et girolles. 😋
Pierre-Yves
6 octobre 2018 @ 11:00
Tant que la haute société brésilienne continue de se régaler en babillant entre gens chics dans un merveilleux jardin, ce pays n’est pas complètement en péril, bien qu’on le jurerait.
Ces élections de demain me flanquent le bourdon, mais les convives de ce déjeuner mondain ne semblent pas l’avoir, eux, le bourdon.
andré
6 octobre 2018 @ 22:24
jamais les nantis n’ont le bourdon
Corsica
6 octobre 2018 @ 23:00
Pierre-Yves, moi aussi j’ai le bourdon, un sacré bourdon, mais pas seulement avec le Brésil. Peu importe le côté où l’on regarde, on voit la montée des populistes, des nationalistes qui se considèrent trop souvent comme seuls et vrais patriotes, et des identitaires pour qui l’extrême droite et les régimes autoritaires voire militaires sont la seule solution. Et attention la solution n’aime pas ceux qui ne rentrent pas dans le moule, leur moule…
Quant à ce dîner, si l’on se fie à l’engagement de Louis Philippe d’Orléans-Bragance auprès de Jair Bolsonaro, on peut penser que beaucoup de personnes appartenant à la haute société brésilienne, comme ces invités, seraient ravies de voir ce nostalgique de la dictature militaire être élu à la plus haute fonction.
Et pour terminer sur une note de beauté, La Superbe, Montserrat Caballé nous a quitté.
ML
8 octobre 2018 @ 12:56
Si les gouvernements précédents avaient fait leur « boulot » correctement , le Brésil n’aurait pas voté à 46% pour Jair Bolsonaro ! A méditer !
milou
8 octobre 2018 @ 13:37
Chics…c’ est vite dit…bling et tout or dehors…comme chez les parvenus , c’ est ce que je vois ici…
ml
Jean Pierre
6 octobre 2018 @ 11:44
Les verres ont l’air d’etre du « Saint Louis ».
Futilités et babioles dans cet horrible ville qu’est Brasilia.
Pierre Yves nous dit depuis un moment que l’on vote demain au Brésil. Il nous alerte. Mais on n’en peut mais.
Et si on se repassait la Vie Parisienne…y a du brésilien là dedans.
Baboula
6 octobre 2018 @ 13:12
Pas discret le doggybag de la dame à gauche.
Anne-Charlotte
6 octobre 2018 @ 15:26
Ils ont eu le bourbon !
clem
6 octobre 2018 @ 15:34
pas un déjeuner de ralliement à Bolsonaro, j’espère ?
Martine
6 octobre 2018 @ 16:21
Bien loin des peuples des favelas et de la montée de l extrême droite
Elisabeth-Louise
6 octobre 2018 @ 18:50
J’admire ( en silence) l’extraordinaire sac à main de la dame ( qui est-ce ?) qui est à la deuxième place à gauche, sur la photo= cette vaste bourse recouverte d’un ingénu vichy rayé blanc et gris et fermée par un coquet cliquet doré va désormais hanter mes nuits…..je veux le même sac, à tout prix…….
milou
8 octobre 2018 @ 13:40
Max Mara, ma chère Elisabeth -Louise…pas du meilleur goût…mais vous en avez pour tous les goûts…et même en vison, mais oui!!!!!
🙃
ml
Sheiley
6 octobre 2018 @ 19:06
Les élections de demain sont périlleuses dans un pays où depuis 25 ans 32 partis se disputent le pouvoir sur fond de corruption et de violences épouvantables. Mais apparemment la haute société déjeune élégamment sans perturbation , il faut bien que la vie continue…
Danielle
6 octobre 2018 @ 19:27
La table est joliment dressée et la blouse de l’hôte belle.
Claude Patricia
6 octobre 2018 @ 21:28
Les temps sont bouleversés partout. Les régimes se succèdent, mais une chose persiste les classes sociales opposées les unes aux autres.
La classe moyenne disparaît partout on dirait aussi, non?
J ai été effrayée par les 31 millions de vols au sujet de la crypto monnaie…mais qu est ce c est que ça?? On a voulu m en vendre j ai dit niet.
berton
7 octobre 2018 @ 11:33
J’ai lu ou vu, je ne sais plus, que la classe moyenne n’existera plus dans quelques années …..
Hadrien-Marie
7 octobre 2018 @ 08:17
Champêtre et bucolique.
Cela évoque le Club Med du bon vieux temps… Table carré à huit places.
Un tantinet plus élégant malgré tout.
Mary
7 octobre 2018 @ 12:19
J’aime bien cette charmante Lelli , elle ne nous sature pas, au contraire de la surfeuse des soirées mondaines ,j’ai nommé Camilla des 2 Siciles !
Peut- être est- ce pour cela qu’elle s’agite autant ? Elle doit se dire que , puisque 2 Siciles il y a, elle doit se donner deux fois plus de mouvement ?
Alejandro Galan
11 octobre 2018 @ 11:31
Les invitées des Gislene Borges ne sont pas assez représentatives de la societé Brasiliens. Pourquoi ? Je ne vois pas ni des noires ou ni de métis et ni de autochtones. Idéal puor le nouveau président Brasiliens.