Effectivement Juliette d, la sheikha Mozah est tellement lissée, gonflée et tirée qu’elle n’a plus aucune expression, comme les poupées de cire. C’est dommage car je suis sûre que quelques rides lui donneraient le charme de la vie.
L’émir père comme son épouse est une « victime de la mode » sa tenue n’a rien de traditionnel. Ce voile noir transparent à été vu pour la dernière fois sur une danseuse de harem.
Juliette d
16 novembre 2018 @ 04:12
On se croirait au Musėe Grévin.
Corsica
16 novembre 2018 @ 18:43
Effectivement Juliette d, la sheikha Mozah est tellement lissée, gonflée et tirée qu’elle n’a plus aucune expression, comme les poupées de cire. C’est dommage car je suis sûre que quelques rides lui donneraient le charme de la vie.
Robespierre
17 novembre 2018 @ 18:02
Oui, ou alors un mannequin de vitrine de magasin. En bois peint.
monica
19 novembre 2018 @ 23:27
Toutes ces femmes botoxées et autre se ressemblent toutes.. des visages de cire
Baboula
16 novembre 2018 @ 05:24
L’émir père comme son épouse est une « victime de la mode » sa tenue n’a rien de traditionnel. Ce voile noir transparent à été vu pour la dernière fois sur une danseuse de harem.
Juliette d
16 novembre 2018 @ 15:26
C’est elle qui a prêté ce voile ã l’ėmir.
marianne
16 novembre 2018 @ 06:06
En fait, là-bas, les garçons sont plus voilés que les filles …
Caroline
16 novembre 2018 @ 12:11
On peut applaudir leur bonne action au profit des enfants malades !!!