Au Palais impérial de Tokyo, l’empereur Naruhito du Japon a reçu les chefs d’Etat qui ont fait le déplacement pour assister à l’ouverture des jeux olympiques. Le grand-duc de Luxembourg, le prince de Monaco, le président Macron ou encore la Première Dame Jill Biden étaient présents.
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Bambou
24 juillet 2021 @ 09:20
L’épouse de l’époque absente !
Joe Biden trop âgé, peur de contracter la Covid 19 ???
Bambou
25 juillet 2021 @ 05:59
de l’empereur……..
Bambou
24 juillet 2021 @ 09:22
Un peu ridicule cette réception aussi distanciée !
Je pense qu’il aurait mieux valu annuler ces JO vu le peu de vaccinés au Japon.
Charlotte de L G
24 juillet 2021 @ 11:29
Il se dégage de cette photo une chaleur humaine quasi insoutenable !
JE
24 juillet 2021 @ 14:09
Protocole pesant. Déco minimaliste mais intéressante.
Abricote
24 juillet 2021 @ 15:22
Macron de dos se dégarnissant…tellement irréel ce premier quinquennat…sur tous les plans mais surtout le Covid.
Ciboulette
25 juillet 2021 @ 18:56
J’ai remarqué aussi .S’il veut continuer à faire » djeunn » , il faudra passer par la case moumoutte ou implants .
Anne de Bretagne
24 juillet 2021 @ 18:31
Drôle d’ambiance, le prince sur le paillasson pour saluer l’empereur, dans une salle qui ressemble à une salle des fêtes de village.
MlleGiuliana
24 juillet 2021 @ 23:59
Le spectacle cérémoniel était niais, voire débile. L’humour n’était même pas japonisant. Heureusement qu’il restait une once de cette diplomatie olympique pour rappeler que le sport est un esprit, pas une bouffonnerie.
L’Empereur s’est parfaitement exécuté dans son rôle de robot.
Menthe
25 juillet 2021 @ 14:09
« Son rôle de robot » tout à fait ça, Mlle Giuliana !
Lorsque j’ai dit à mon époux qu’il voyait l’empereur du Japon sur l’image à la télé , il m’a demandé, « lequel des deux ? le robot ? » 😘
Ciboulette
25 juillet 2021 @ 18:56
Mais ce sont tous des robots !
MlleGiuliana
26 juillet 2021 @ 13:08
Les Japonais sont tellement conditionnés que l’on ne sait même plus qui est l’humain et qui est la machine. C’est leur culture mais ça vire à l’absurde, parfois.