Le duc Philipp, Albrecht, Christoph, Ulrich, Maria de Wurtemberg, 3ème fils du duc Carl de Wurtemberg et de la princesse Diane de France, petit-fils des défunts comte et comtesse de Paris, est né le 1er novembre 1964 au château de Friedrichshafen en Allemagne au bord du lac de Constance. Philipp de Wurtemberg est le filleul de la princesse Anne de France, duchesse de Calabre et du comte Karl von Maldeghem. Il fut baptisé quatre jours plus tard par le père Dekan Steeb dans un salon du château familial.
Philipp de Wurtemberg passe les dix premières années de sa vie à Friedrichshafen entouré de ses frères Friedrich, Eberhard et Michael et de sa sœur Mathilde.
Le 15 avril 1975, le duc Carl de Wurtemberg devient Chef de Maison suite au décès de son père. Le duc, la princesse Diane et leurs cinq premiers enfants quittent Friedrichshafen pour le château d’Altshausen, résidence des ducs de Wurtemberg depuis 1805.
Le duc Philipp, très sportif, est un adolescent qui s’intéresse très tôt à l’art. Il montre des dispositions pour la peinture, rejoignant souvent sa mère dans son atelier. C’est le plus artiste de la famille et le plus Orléans des enfants. « Il a tous les dons » disait de lui la princesse Diane. Philipp s’intéresse aussi aux vieux meubles.
La famille se complète en 1977 avec la naissance de la duchesse Fleur. Ici, la famille du duc Carl et de la princesse Diane en compagnie de la comtesse de Paris.
Après ses études secondaires, le duc Philipp effectue son service militaire dans le corps d’élite des paras-commandos.
Le duc Philipp a étudié l’Histoire et l’Histoire de l’Art à l’université de Tubingen. Après l’obtention de ses diplômes le fils du duc de Wurtemberg poursuit une formation chez Christie’s en Angleterre tout en effectuant des stages chez des antiquaires de Paris et de Bruxelles.
Le duc Philipp épouse religieusement le 27 juillet 1991 dans la chapelle du château de Tegernsee en Bavière la duchesse Marie-Caroline en Bavière, fille du duc Max-Emmanuel et de la comtesse Élisabeth Douglas. Un mariage qui réunit de nombreux membres du Gotha.
Ils feront leur voyage de noces aux Seychelles. Le jeune couple qui partage une même passion pour l’art s’installe après leur mariage à Londres, où le duc Philipp travaille pour la maison de ventes aux enchères Sotheby’s.
Le duc et la duchesse Philipp ont eu quatre enfants : Sophie (dont la marraine est sa tante la princesse Sophie de Liechtenstein, née duchesse en Bavière) née à Munich le 15 janvier 1994, Pauline née à Londres le 15 avril 1997, Carl-Theodor né à Londres le 15 juin 1999 et Anna née à Francfort le 1er février 2007.
Le duc Philipp est aussi le parrain de la duchesse Marie Amélie, fille de son frère le duc héritier Friedrich de Wurtemberg et de la princesse Marie de Wied.
Après la Grande-Bretagne, le duc et la duchesse Philipp s’installent à Paris en raison des nouvelles responsabilités professionnelles du duc Philipp. Aujourd’hui, la famille vit à Francfort et le duc Philipp est Directeur chez Sotheby’s. Une grande fête costumée au château de Tegernsee est organisée pour célébrer le cinquantième anniversaire du duc Philipp de Wurtemberg. (Merci à Corentine et Charles – Copyright photos : Point de vue, Sotheby’s, DR)
clementine1
1 novembre 2014 @ 07:24
Vie réussie et belle carrière pour le plus beau (à mon avis) des petit-fils de feu le Comte et la Comtesse de Paris. Merci Corentine et Charles – sans oublier Régine.
JAusten
1 novembre 2014 @ 07:53
Excusez du peu : Quel beaux couples !!!!!
marielouise
1 novembre 2014 @ 08:36
Merci Régine,Corentine et Charles pour ce reportage sur Philipp de Wurtemberg!
La plupart des petits-enfants de La comtesse de Paris me sont sympathiques et j’aime avoir de leurs nouvelles!
Francine du Canada
2 novembre 2014 @ 02:56
« La plupart… » sauf Jean, duc de Vendome je suppose? Pas très subtil Marielouise… Bon dimanche, FdC
marielouise
2 novembre 2014 @ 08:20
Et oui, chère FdC,c’est cela exactement…… on ne peut aimer toute une famille!!!!!
;))))))))Merveilleux dimanche d’un été indien qui nous ravit!
marielouise
2 novembre 2014 @ 08:22
Mais je ne l’ai pas cité…….donc la subtilité dont vous parlez me semble se retourner contre vous!!!!!
Amicalement , bien sûr!!!!!
jo de st vic
1 novembre 2014 @ 10:40
le plus seduisant des freres…tres bel homme..tres beau couple avec la princesse Marie de Baviere
Roselyne
1 novembre 2014 @ 10:42
Merci pour cet article sur ma chére famille de France.
Mayg
1 novembre 2014 @ 11:06
Sur la première photo, je trouve qu’il a une petite ressemblance avec son cousin germain Charles-Philippe d’Orléans.
Ontheroadagain
3 novembre 2014 @ 15:05
C’est ce que je trouve aussi : d’ailleurs, de tous les descendants de feux le Comte et la Comtesse de Paris, ce sont lui et son cousin Charles-Philippe d’Orléans que je préfère !!!
beji
1 novembre 2014 @ 11:26
Toujours heureuse d’avoir des nouvelles de la famille de France;merci pour ce reportage et ces photos;c’est dommage qu’on ne puisse pas avoir la même chose
sur la famille de la princesse Isabelle et de la princesse Anne.
Kalistéa
1 novembre 2014 @ 11:28
Quel bel homme! Et distingué, avec ça, vous me direz qu’on le serait à moins avec le « pedigree » qu’il a.Je trouve que c’est le seul des fils de la duchesse Diane qui présente une ressemblance physique avec feu le comte de Paris son grand-père.
flabemont8
1 novembre 2014 @ 22:41
Je suis tout à fait de votre avis, Kalistéa . J’allais l’écrire , la ressemblance est frappante .
Claude-Patricia
1 novembre 2014 @ 11:29
Joyeux anniversaire à son altesse royale.
adriana
1 novembre 2014 @ 11:57
un couple d’une grande discretion. bonne journée
candy
1 novembre 2014 @ 14:06
le plus beau de la fratrie ! quel beau gosse ce Philipp ; sa femme me paraît bien neutre à côté de lui….
Pierre-Yves
1 novembre 2014 @ 14:47
Le duc Philippe a beaucoup d’allure, en effet.
J’ai cru lire quelque part que sa position chez Sothebys était (ou avait été) fragilisée, mais je ne ne suis pas certain de ce que j’avance là.
Quelqu’un en sait-il un peu plus ?
flabemont8
3 novembre 2014 @ 01:00
Fragilisée ? Il a cassé un vase ????
Kalistéa
3 novembre 2014 @ 10:42
Très amusant chère Flaby.
flabemont8
3 novembre 2014 @ 16:08
Merci, Kali ! Flaby, n’est -ce pas ? Flamby, c’est quelqu’un d’autre …:-)))
aubert
3 novembre 2014 @ 13:30
Flabemont8, c’est à l’Elysée qu’on casse un vase et qu’on ne s’en remet pas !!
Pierre-Yves, n’a-t-il pas, en effet, quitté assez rapidement la direction de Sotheby’s France ?
aubert
3 novembre 2014 @ 13:31
Michèle, ci-dessous, semble répondre à notre interrogation.
Kalistéa
6 novembre 2014 @ 23:16
Mais non Aubert; c’est à Soisson !
agnes
3 novembre 2014 @ 09:23
sa femme est la classe meme aussi.
flabemont8
3 novembre 2014 @ 16:09
Bonjour, princesse des neiges de l’Est !
Michèle
3 novembre 2014 @ 11:12
En 2004 Philipp de Wurttemberg était nommé Président-directeur général de Sotheby’s France, et vice-président pour l’Europe en 2007.
Il a été nommé en 2011 Président de l’Europe, Directeur Général Allemagne. il est impliqué dans le développement de l’entreprise européenne dans toutes les activités de la relation client. Ses contacts comprennent des collectionneurs privés, les concessionnaires et les grands conservateurs de musées en Europe.
Michèle
Pierre-Yves
3 novembre 2014 @ 13:35
Merci Michèle. Je ne sais plus où j’avais lu, ou croyais avoir lu, cette information.
Mais je me souviens que l’article rapportait une confidence du prince selon laquelle, il se voyait bien se retirer dans sa propriété familiale pour y pratiquer la peinture, virus artistique inoculé par la duchesse Diane et qu’il sentait s’exprimer en lui.
Michèle
3 novembre 2014 @ 20:50
Pierre-Yves, il s’agit d’un portrait sur Le nouvel Economiste de mars 2005.
Philipp de Württemberg
« J’aimerais être un artiste et me retirer de la vie active pour me consacrer à la peinture »
S’il n’a pas épousé son destin, il utilise les conventions familiales à dessein. Loin des fastueux châteaux de son Allemagne natale,
le duc bipolaire a transformé ses origines en métier et ses relations en clients. En dirigeant les bureaux français et allemand de Sotheby’s, le petit-fils du comte de Paris réécrit son histoire d’enfance.
Chaque semaine, Le nouvel Economiste décortique une personnalité à « L’Hôtel », rue des Beaux-Arts, Paris VIe. Portrait d’un aristocrate jet-setteur déguisé en pudique manager.Par Gaël Tchakaloff
Tout commence par une histoire tout droit sortie de Jours de France. Une fresque royale dans la lignée de celles qu’affectionnaient nos grands-mères. Diadèmes, sourires » ultra-brite « , argent, honneurs, particules, mariages et autres fioritures… Puis tout se termine à couteaux tirés, dans un thriller économique contemporain, à la fois digne du Daily Mirror et du Financial Times. Parce qu’il a pris les rênes de la place emblématique parisienne, Philipp de Württemberg se trouve exposé aux feux de la rampe. Succédant à l’inénarrable Laure de Beauvau-Craon*, notamment initiatrice de l’ouverture économique du marché de l’art français, il doit dorénavant affronter la concurrence carnassière du groupe de François Pinault, dont la seule évocation le fait rugir. Car la récolte 2005 de la maison américaine n’est pas du meilleur cru. Légèrement devancée par Christie’s sur l’ensemble des ventes mondiales (2,7 milliards d’euros contre 2,2), Sotheby’s se trouve désormais largement doublée par sa concurrente sur la place française (43,7 millions d’euros pour 5 000 lots contre 115 millions pour 14 427 lots chez Christie’s**). Par choix stratégique émanant du bureau londonien, annonce-t-on chez Sotheby’s. Par manque de compétence locale, rétorque-t-on chez Christie’s. Alors ? Le coûteux bureau parisien de Sotheby’s aurait-il réellement fait le choix de privilégier les exportations internationales sur les ventes locales pour des questions d’administration et de tradition ou se trouve-t-il conjoncturellement relégué au 4e rang des maisons de vente françaises ? Indéniablement, le point de différenciation des deux marques ancestrales ne se situe ni sur le terrain de la qualité, ni sur celui de la quantité et du prix des œuvres vendues, mais bien sûr celui de la valeur ajoutée des personnes qui les incarnent respectivement.
Période bleue
L’univers du duc de Württemberg est étranger au commun des mortels. Le droit d’aînesse et l’absence de révolutions ont préservé les fortunes aristocratiques allemandes. Si bien que Philipp a été élevé entre trois châteaux dignes de l’imagination et des dimensions de Versailles. Son père, sobre héritier de la noblesse allemande, a entrepris la diversification des activités familiales en s’intéressant notamment à l’industrie, en sus de l’agriculture et du vignoble établis. La fortune familiale a naturellement fructifié. Diane de France, sa mère, fille du précédent comte de Paris, disparu en 1999, a consacré sa vie à l’art et à l’éducation de ses six enfants. » Arthisteric » disait-on de Philipp petit, pour le différencier de ses frères et sœurs, aux parcours plus conventionnels. Car, dès son plus jeune âge, le petit duc hérite d’un œil et d’une passion qui le font rêver au métier de restaurateur de meubles anciens. Esthète et commerçant dans l’âme, il s’amuse à organiser les vide-greniers de la propriété familiale. Ne pouvant pas compter sur la transmission des biens Württemberg qui reviendront principalement à son frère aîné, il décide rapidement de tenter sa chance sur le marché de l’art. Après un an de formation à Londres chez Christie’s et cinq années d’histoire de l’art à l’Université de Tubingen (fondée par ses ancêtres), le garçon est rapidement repéré. Car la noblesse a toujours été courue par les maisons de ventes aux enchères qui y voient des réseaux de clientèle potentiels. Par ailleurs, il se trouve que Philipp a épousé une femme de son rang. Une princesse de Bavière, issue de la lignée du romanesque Louis II, excusez du peu. Si bien que, lorsqu’il se présente aux ventes » Thurn & Taxis » et » Baden Baden » en 1993 et 1995, en tant qu’acheteur » pour des amis « , – tout simplement –, les dirigeants de Sotheby’s lui font immédiatement une proposition.
Fauteuils d’orchestre
Décidément, la vraie vie ressemble au film de Danièle Thompson. Comme au théâtre, il y a deux sortes de gens. Ceux qui se contentent du troisième rang et ceux qui courent désespérément s’asseoir aux sièges inoccupés du premier lorsque le rideau est déjà levé, pour finalement s’apercevoir que la vision d’ensemble y est moins satisfaisante. Trop tard. Contrairement à ce que voudraient bien affirmer ses détracteurs, les compétences de Philipp ne semblent pas lacunaires. Ses études et ses stages dans diverses galeries d’art et musées allemands lui ont donné une vision globale de la matière. Son expertise dans le domaine du mobilier a été confortée par ses trois années au sein du département londonien de mobilier contemporain. Son sens des clients et du management fait merveille en Allemagne depuis 1999, où il a joué un rôle prépondérant dans les house sales les plus retentissantes organisées par Sotheby’s Allemagne. Peut-être est-il simplement allé trop vite dans la construction de son chemin professionnel. Au-delà des compétences, il s’agit à Paris d’expérience. Et l’impact de son profil business getter en France n’est pas le même qu’en Allemagne. Car les contacts privilégiés qu’il entretient sur le terrain hexagonal sont peut-être moins ténus que sur sa terre natale. Par ailleurs, son concurrent, Christie’s, a implanté un management du plus haut niveau pour faire face au nouveau marché français. Sur la place parisienne se trouvent en effet l’actionnaire de la maison Christie’s, François Pinault, la présidente du groupe, Patricia Barbizet, et le président du pôle Europe, François Curiel… Ainsi qu’une solide équipe d’experts. » Les exportations représentent la plus grande partie de l’activité de Sotheby’s France mais notre objectif est de développer les ventes à Paris dans les domaines porteurs du marché national et les collections « , indique le PDG. Cela suffit-il à expliquer le recul de 17 % des résultats des ventes hexagonales de Sotheby’s ou peut-on craindre l’absence d’une équipe incarnant la marque avec suffisamment de puissance autour de Philipp de Württemberg ?
Blues du businessman
Peu importe. Les ambitions parisiennes de Sotheby’s sont, désormais, clairement affichées. Alors que Christie’s cherche à diversifier son activité en s’attelant de concert aux ventes de prestige et aux ventes courantes, Sotheby’s rechigne à s’impliquer dans un développement hexagonal qui pourrait s’avérer onéreux, au regard de la lourdeur administrative et financière qu’implique ce type de maison. En effet, la légèreté structurelle inspirée d’une organisation proche de celle de Drouot n’est pas encore au goût du jour dans les deux maisons du chic. Pour Sotheby’s, le nombre de personnes utilisées en back office et le coût de maniement d’un objet (de 300 à 500 euros) ne justifie pas encore de changement stratégique. Philipp de Württemberg ne renonce pas, pour autant, à ses exigences locales. Il y a quelques mois, il jubilait de ses succès, comptant notamment les collections du baron de Redé, de Pierre Lescure, Mira Jacob, Liliane et Michel Durand-Dessert. Il n’a pas fini de s’atteler aux démarches préservant l’image de marque de sa maison. Pour le reste, le duc semble fataliste. Comme toute la famille d’Orléans, il a ce » petit côté Henri IV « , mêlant la joie de vivre à la simplicité, à contre-courant de l’univers pompeux dont il est issu. Bien qu’il soit résolument attaché à Sotheby’s, il a choisi de ne pas y finir son chemin. Dans dix ans, Monsieur a un autre plan, plus intime. Un rêve que sa mère lui a transmis et qu’il a furtivement entretenu depuis l’enfance : » Plus tard, j’aimerais être un artiste et me retirer de la vie active pour me consacrer à la peinture. » Voilà une nouvelle ambition dépourvue de complexes…
Le nouvel Economiste – n°1336 – Du 9 au 15 mars 2006 – Hebdomadaire
Michèle
Pierre-Yves
4 novembre 2014 @ 12:42
C’est exactement cela !
Bravo Michèle, vous êtes vraiment une archiviste hors pair !
COLETTE C.
1 novembre 2014 @ 15:25
Couple sympathique.
Tombelaine
1 novembre 2014 @ 15:30
Magnifique héritage !
les yeux bleus de France
Francine du Canada
1 novembre 2014 @ 16:31
Merci à Régine, Corentine et Charles pour ce reportage et ces belles photos. Joyeux anniversaire au duc Philipp de Wurtemberg qui a la belle cinquantaine, je dirais. De beaux traits et de magnifiques yeux bleus. Bonne journée à tous, FdC
Anne
1 novembre 2014 @ 17:25
Merci Regine pour cet article sur le plus beau des petits enfants de la comtesse de Paris (je vois que je ne suis pas la seule à le penser!!!).Il a en plus épousé la plus belle des princesses de Bavière. Quel dommage que la presse parle si peu d eux !!! Aurons nous la chance d avoir des photos de cette amusante soirée ??? Qui sait ce que font leurs enfants :l aînée Sophie doit être étudiante maintenant…
Cosmo
2 novembre 2014 @ 19:00
C’est tout à leur honneur que la presse ne parle pas d’eux.
Cosmo
Danielle
1 novembre 2014 @ 19:37
Un très bel homme, l’avant dernière photo est superbe.
Zeugma
1 novembre 2014 @ 20:29
Dans cette grande – et très sympathique – famille de la haute noblesse allemande,
nous souhaitons un bon anniversaire à ce bel homme en espérant qu’il ne soit pas traumatisé par le passage de la cinquantaine ….
Cosmo
2 novembre 2014 @ 19:02
Zeugma,
Haute noblesse ! Comme vous y allez…
Je dirais plutôt famille autrefois souveraine. C’est tout de même un cran au-dessus. Il y a un monde entre la première et la deuxième partie du Gotha.
Cordialement
Cosmo
aubert
3 novembre 2014 @ 13:33
En effet.
Zeugma
3 novembre 2014 @ 20:14
Votre érudition est insondable et je vous prie d’excuser mon ignorance car je n’ai pas fait beaucoup d’études.
Thibaut le Chartrain
3 novembre 2014 @ 21:24
Cosmo,
Pour le plaisir de « chipoter »: la 2ème partie du Gotha (comme j’en suis certain vous ne l’ignorez pas) est aussi constituée de « familles autrefois souveraines » ( l’autrefois est simplement un peu plus ancien). C’est dans la 3ème partie que l’on trouve la « haute noblesse ».
jo de st vic
2 novembre 2014 @ 08:20
Mayg….Charles Philippe d Orléans est tres loin d avoir la classe du duc Philippe…..
Mayg
3 novembre 2014 @ 13:06
Je parlais de ressemblance physique,pas de classe…
Claudia
2 novembre 2014 @ 11:24
Un plaisir ces couvertures d’archives, la ressemblance avec le Comte de Paris ne me frappe pas, peut-être les yeux (qu’il a fort beaux) … Son épouse est quelconque, à mon avis.
aggie
3 novembre 2014 @ 08:07
la ressemblance ne me frappe pas non plus ; heureusement pour Philipp de Wurtenberg
agnes
3 novembre 2014 @ 09:00
Belle famille.
Merci pour cet interessant article.
Arielle
3 novembre 2014 @ 09:15
Traumatisée par sa propre éducation et par celle donnée à ses frères; la duchesse de Wurtemberg a veillé à ce que tous ses enfants fassent des études sérieuses et aient une situation.
aubert
3 novembre 2014 @ 13:37
On emploie beaucoup sur le site le mot classe. Distinction ne serait-il pas mieux ?
Nelly
3 novembre 2014 @ 14:19
Je ne sais pas si Charles Philippe est loin d’avoir la « classe » de Philippe de Wurtemberg
Mais une chose dont je peux témoigner, c’est que pour avoir rencontré le Prince Charles Philippe et avoir échangé quelques mots avec lui, lors d’une fête populaire dédiée à Jeanne d’Arc à laquelle il assistait , c’est un homme d’une simplicité et d’une gentillesse exceptionnelles. Tous ceux qui l’ont approché ce jour là, ont loué sa simplicité, et sa grande gentillesse. Il n’est absolument pas imbu de sa naissance princière, contrairement à certains de ses cousins. C’est vraiment un homme exquis
aggie
3 novembre 2014 @ 20:21
je confirme Nelly ; quand Charles Philippe s’est présenté aux élections législatives en tant que représentant les français vivant à l’étranger j’avais signalé par mail une grosse coquille dans son site web de présentation ; j’ai eu la surprise de recevoir un mail de remerciements très aimable signé de lui
Arielle
4 novembre 2014 @ 13:32
Je confirme aussi l’exceptionnelle gentillesse et l’immense simplicité du prince Charles-Philippe d’Orléans. Je l’ai expérimentée aussi, ayant reçu une réponse charmante de sa part, lorsque je l’ai félicité à l’occasion d’une émission de télévision, où il avait prouvé ses amples qualités humaines, sa générosité et son intelligence.