Qu’en est-il des relations entre belles-sœurs au sein des familles royales ? Sont-elles amies, rivales, complices ? Beaucoup de choses ont certes été écrites mais est-ce vraiment la réalité ? Que n’a-t-on pas écrit en son temps sur les relations entre la princesse de Galles et sa belle-sœur la princesse Anne. La presse assura en son temps que la princesse royale n’avait pas digéré de ne pas être choisie pour être l’une des marraines du prince William et ensuite du prince Harry.
Etait-ce conforme à la réalité ? Quoiqu’il en soit, la princesse Diana et la princesse Anne étaient tout simplement deux femmes aux personnalités et aux tempéraments très différents aussi en partie en raison de leur différence d’âge. Cela n’a cependant pas empêché les deux princesses d’entretenir de cordiales relations et de favoriser les liens entre leurs enfants respectifs. Après le décès de la princesse Diana, la princesse Anne se montra encore plus proche de ses neveux William et Harry.
Elles se connaissaient bien avant d’entrer au sein de la famille royale britannique. Le père de Sarah Ferguson était l’entraîneur de polo du prince Charles. Quasiment du même âge, la princesse Diana et Sarah Ferguson furent proches par la force des choses aussi. Elles étaient au milieu des années 80, un peu livrées à elles-mêmes au sein de la famille royale et aimaient donc se retrouver pour bavarder entre amies. Cependant le mode de vie mondain et les fréquentations de la duchesse d’York n’étaient pas les mêmes que le cercle d’amis de la princesse de Galles. La presse les mit en compétition, le furent-elles réellement entre elles ? On les vit lors d’un séjour au ski avec leurs époux se taquiner de manière un peu trop appuyée lors d’une séance de photos. Charles reprenant Diana par le bras pour lui éviter de tomber. Petit moment de relâchement sympathique ou surenchère entre elles ?
Août 1992, alors que Sarah et Andrew ont annoncé leur séparation depuis l’été, la duchesse d’York et ses filles sont conviées à Balmoral. C’est à ce moment que paraissent des clichés pris au téléobjectif montrant Sarah en compagnie de son conseiller financier John Bryan. Elles feront le tour du monde. Dans ses mémoires, Sarah Ferguson explique que ce soir-là, la princesse Diana vint lui tenir compagnie avant de gagner la salle à manger à l’ambiance glaciale…
Eté 1996, les deux jeunes femmes avec leurs enfants s’envolent pour le Sud de la France où elles se retrouvent après leurs divorces respectifs. L’une a parfaitement négocié cette sortie de la famille royale en tant que mère du futur roi d’Angleterre, l’autre est criblée de dettes et n’a pour ainsi dire rien obtenu quant à une garantie de stabilité financière future mais elles semblent heureuses de leur nouvelle vie. Pour renflouer ses caisses, Sarah doit se lancer dans la publicité, participe à des émissions de la télévision américaine et écrit ses mémoires. Dans ce récit, elle raconte de manière anecdotique mais l’on suppose aussi de manière réfléchie que Diana lui avait prêté une paire de souliers et que quelques jours plus tard, elle avait eu des verrues aux pieds… Il n’en faudra pas plus pour que la princesse de Galles la barre de sa liste d’amitiés. Sarah Ferguson essaya au fil des mois de se rabibocher sans succès. Lorsqu’elle apprend le matin du 31 août que la princesse Diana a eu un accident de voiture à Paris, la duchesse d’York laisse un message dans sur son répondeur en l’appelant par son petit surnom amical « Dutchy » (du chat « duchesse » des Aristochats)…La reine Elizabeth invitera Sarah à se joindre aux membres de la famille royale pour l’ultime adieu à Westminster.
Il est de notoriété publique que la princesse Anne a toujours été très proche d’Andrew Parker-Bowles qui épousa Camilla Shand. Cette dernière aurait du coup cultivé une grande méfiance à l’égard de la princesse royale. Lors d’une croisière en Ecosse, Camilla quitte rapidement le groupe royal. Mal de mer ou vives tensions avec la princesse Anne ? Là encore les supputations vont bon train. Lors de leurs apparitions publiques, les relations semblent correctes et cordiales mais sans plus. On ne verra évidemment pas la duchesse de Cornouailles et sa belle-sœur la princesse royale faire des emplettes ensemble… En revanche, la princesse Anne a continué à garder une amitié intacte avec Andrew Parker Bowles, veuf en secondes noces et cavalier attitré de la princesse lors des courses hippiques.
Lorsqu’elle épouse en mai 2004 le prince héritier Frederik de Danemark, Mary Donaldson n’a pas vraiment le temps de côtoyer au niveau familial la princesse Alexandra, épouse du prince Joachim. On l’ignore encore mais le couple princier est déjà au bord de la séparation qui sera annoncée officiellement après l’été. Depuis la princesse Mary a toujours des contacts ponctuels avec son éphémère ex-belle-sœur en raison surtout des liens avec les princes Nikolai et Félix.
Le duo de belles-sœur, c’est en fait Mary et Marie. Des prénoms similaires, une chevelure qui paraît l’autre, et deux jeunes femmes respectivement nées le 5 février 1972 et le 6 février 1976.
Dans un entretien, Marie de Danemark qui résidait alors la plupart de l’année au château de Schakenborg dans le Jutland, confiait regretter ne pas passer davantage de temps dans la capitale danoise qu’elle appréciait énormément mais aussi car cela ne lui permettait pas de voir autant qu’elle le souhaitait le prince héritier Frederik et la princesse héritière Mary avec qui elle déclarait avoir une excellente relation.
Il faut dire que les deux princesses ont chacune leurs domaines de prédilection et ne marchent pas sur les plates bandes médiatiques l’une de l’autre. La reine Margrethe et le prince consort Henrik ont toujours veille à cultiver un large esprit de famille, favorisant les retrouvailles du clan pendant les vacances à Graasten ou Marselisborg.
Lorsque ses fiançailles avec le prince des Asturies sont annoncées en novembre 2003, Letizia Ortiz peut compter sur le soutien indéfectible de sa future belle-mère la reine Sophie d’Espagne (qui voit en Felipe et Letizia le même couple amoureux que ses défunts parents le roi Paul et la reine Frederika de Grèce) mais aussi sur sa future belle-sœur l’infante Cristina qui a apporté tout son soutien à son frère dans cette décision. L’infante Elena est quant à elle plus mitigée et surtout plus réservée. Elle n’a rien contre le choix de cœur de son frère mais le fait que celui-ci puisse épouser une personne divorcée, la met quelque peu en ébullition. Depuis des mois, son union avec Jaime de Marichalar n’est plus que de façade mais au nom de la raison d’Etat, il n’est pas envisageable d’évoquer une séparation. Des proches de l’entourage royal racontent que l’infante aurait alors lâché « Si on ne voit pas d‘inconvénient à ce que le futur roi épouse une divorcée, on ne verra pas d’inconvénient à ce que la fille du roi divorce… ». On sait ce qu’il en est advenu…
L’infante Elena croise la princesse des Asturies lors des grands événements de la Cour mais sinon chacune mène sa vie familiale de son côté. Les cousins sont proches mais ces liens le sont davantage entre les enfants d’Elena et Cristina qu’avec les petites infantes plus jeunes aussi.
Lorsque la princesse des Asturies perd sa sœur Erika dans des circonstances dramatiques et étant enceinte de l’infante Sofia, on peut voir toute la compassion de l’infante Cristina envers sa belle-sœur. L’été, avec la reine Sophie, elles font du shopping dans les rues de Palma de Majorque. Mais la bonne entende a commencé à se détériorer en 2005 lors du baptême de la petite Irene Urdangarin. La princesse Letizia est alors enceinte de l’infante Leonor. Cristina et Inaki qui ont leur résidence à Barcelone, demandent si Felipe et Letizia pourraient héberger les parents d’Inaki et encore l’une ou l’autre personne l’espace de quelques jours dans la perspective du baptême au Palais de la Zarzuela. Refus de la part de Letizia qui souhaite avoir ses aises chez elle. Ce sera le début de la fin de la bonne entente. Elena et Cristina se rapprocheront encore davantage. L’affaire Noos dont Inaki est au centre, a terminé de distendre les liens familiaux du moins entre belles-sœurs.
La princesse Martha Louise de Norvège a toujours été très proche de son frère le prince héritier Haakon. Lorsque celui-ci décide d’épouser Mette-Marit Tjessem, mère d’un petit Marius, il peut compter sur le total soutien de ses parents le roi Harald et la reine Sonja mais aussi bien évidemment de sa sœur. Martha Louise et Mette Marit vont rapidement sympathiser et devenir également très proches.
La princesse héritière est sujette à la phobie de prendre l’avion. Elle a confié il y a quelques temps que c’est grâce aux techniques de relaxation vantées par la princesse Martha Louise qu’elle a progressivement réussi à surmonter cette peur.
Lorsqu’elle épouse en 1964 le roi Constantin de Grèce, Anne-Marie e Danemark n’a que 18 ans. Elle quitte son pays pour s’installer dans sa nouvelle patrie où elle n’a pas d’amis. Elle sera dès lors très proche de sa belle-sœur la princesse Irène et de sa belle-mère la reine Frederika. Sophie de Grèce s’est quant à elle mariée deux ans auparavant. Elle réside à Madrid mais fait de réguliers séjours à Athènes ce qui tisse ses liens d’amitié avec sa belle-sœur Anne-Marie. Plus tard, lors de l’exil, ces liens vont encore plus se resserrer. L’été, Sophie d’Espagne accueille son frère Constantin et sa belle-sœur Anne-Marie à Palma de Majorque. Ces dernières années, la reine d’Espagne passait presque tout son temps libre à Londres où vivaient alors Anne-Marie et Constantin.
Maxima, Mabel et Laurentien des Pays-Bas. Trois femmes à la personnalité très forte et qui men(èr)ent des carrières de haut niveau. Maxima travaillait pour la Deutsche Bank à un poste de direction à New York puis à Bruxelles, Mabel est reconnue pour son travail dans le droit humanitaire et les droits de l’homme et Laurentien a travaillé dans la communication pour de grandes firmes avant de monter sa propre société de consultance.
L’entente entre les fils de la princesse Béatrix a toujours été excellente et s’est logiquement transposée à leurs épouses. La mort brutale du prince Friso a encore si besoin soudé les liens familiaux. Bien qu’elles vivent aux Pays-Bas, à Bruxelles et à Londres, Maxima, Laurentien et Mabel se croisent lors des grands événements familiaux mais surtout chaque hiver pour les traditionnelles vacances au ski. L’occasion de voir que l’entente et l’harmonie règnent entre elles.
Chaque année, la duchesse de Wurtemberg, née princesse Diane de France entreprend des voyages le plus souvent lui permettant de voir sur le terrain des projets qu’elle soutient que ce soit au niveau de la scolarisation d’enfants en difficultés ou de l’artisanat local. Lors de ses déplacements, la duchesse convie régulièrement sa belle-sœur la princesse Marion, veuve du prince Thibaud. Diane de France a toujours veillé à conserver des liens étroits avec sa belle-sœur ainsi qu’avec son fils Robert, comte de La Marche. Il en est de même avec la duchesse de Montpensier, née duchesse Marie Thérèse de Wurtemberg. Sœur du duc Carl, époux de la princesse Diane, elle avait épouse le prince Henri, frère de Diane. Les relations étaient donc doublement étroites et le sont restées. La duchesse de Montpensier a toujours pu compter sur l’hospitalité mais aussi le soutien de sa belle-sœur et de son frère.
Que n’a-t-on pas écrit sur les relations entre la princesse Charlène et ses belles-sœurs la princesse Caroline et la princesse Stéphanie. Cette dernière qui a toujours été très proche de son frère le prince Albert d’autant plus après le décès de leurs parents, a toujours clamé haut et fort qu’elle s’entendait à merveille avec Charlène. Pour la princesse de Hanovre, on a souvent à tort prétendu que l’arrivée de Charlène avait été mal ressentie car éloignant du trône les enfants de Caroline. Il semble toutefois qu’on soit bien loin de la réalité. La princesse Caroline si elle a conservé des activités culturelles en Principauté, mène à présent une vie largement en marge de la Cour princière tout comme ses enfants qui n’assistent qu’aux grands événements du Rocher. Selon l’entourage princier, la princesse Caroline qui avait étroitement veillé à l’organisation du mariage de son frère, s’est toujours tenue à la disposition de sa belle-sœur en cas de questions mais la princesse Charlène aimant faire les choses comme elle le sent avec son propre style et sa manière, elle n’en a pas réellement eu besoin.
Ceci n’exclut pas que l’entente soit très bonne entre elles. Charlène de Monaco étant d’ailleurs devenue la marraine de Raphael, petit-fils de Caroline. Tout comme l’épouse du prince Albert, est très proche de la princesse Alexandra de Hanovre, fille cadette de Caroline. Après le mariage princier et les rumeurs qui avaient circulé sur une possible rupture avant les noces puis sur les nouvelles supputations tout au long de la première étape de la lune de miel en Afrique du Sud, les princesses Caroline et Stéphanie étaient toutes les deux présentes pour le Bal de la Croix-Rouge, le premier grand événement d’importance depuis le mariage. Toutes les deux entendaient montrer une image d’une famille qui fait bloc face aux calomnies.
C’est par l’intermédiaire de la princesse Shams que Soraya fut introduite au sein de la Cour impériale et que son mariage avec le Shah d’Iran se scella. Comme elle le raconte dans ses mémoires, Soraya fut invitée à rejoindre la princesse Shams à Paris. Elles sympathisèrent mais Soraya se rendit vite compte que la princesse entendait surtout introduire la jeune femme dans le sillage impérial et du coup en retirer prestige et influence auprès de son frère.
La princesse Shams ne se privait d’ailleurs jamais de critiquer sa sœur la princesse Ashraf. Cette dernière en faisait de même. Toutes les deux mettaient Soraya en garde de l’une et de l’autre. Une ambiance familiale des plus tendues, une Cour impériale faite d’intrigues, de rumeurs et de commérages… (Copyright photos : getty images, gamma, ap et DR)
marianne
8 septembre 2014 @ 05:32
Les belles-soeurs … et les belles-filles , il y a là matière à remplir une bibliothèque .
marielouise
8 septembre 2014 @ 12:55
Bien exact marianne et comme jul je trouve l’article plein de tact…….mais heureusement qu’Elena vit et pense comme son époque…….la raison d’Etat…..cela ne veut plus rien dire!
Juan Carlos et Sofia ne sont-ils pas séparés depuis longtemps et maintenant ne se voient plus……..mais ose-t-on divorcer dans la Ste Espagne???
jul
8 septembre 2014 @ 05:35
Un article très plaisant à lire !
J’apprécie le tact avec lequel vous évoquez certaines relations.
Je retiens la réaction de l’Infante Elena. Elle était prête à ne pas divorcer pour la raison d’Etat. Cela ne m’étonne pas.
baya
8 septembre 2014 @ 06:22
Article très complet, très interessant
chicarde
8 septembre 2014 @ 06:28
Un article très révélateur – merci beaucoup ! Et en tout cas, de très belles photos !
marielouise
8 septembre 2014 @ 06:32
Merci Régine pour ce reportage distrayant!
Les rapports entre belles-soeurs ne sont pas obligatoirement proches……j’en ai trois et suis très proche de celle qui a divorcé et ne fait plus partie de la famille…….suis très proche d’elle ,de son nouveau mari et de ses enfants !
Comme entre frères et soeurs les affinités ne sont pas systématiquement naturelles dans une même famille……!
Belle journée encore estivale à vous toutes!Profitez de cette journée lumineuse!
racyma
8 septembre 2014 @ 07:14
comme dans toutes les familles
Clara
8 septembre 2014 @ 07:33
Sujet très difficile, comment peut-on juger ? les relations humaines sont tellement complexes, et les apparences sont parfois trompeuses.
Au travers d’articles de presse opération de communication ou au contraire presse poubelle pour faire vendre.
Des photos, en fonction du choix de celles-ci pour un même événement on peut faire croire à des bonnes relations ou au contraire à des très mauvaises relations.
L’entourage, mais toujours sous couvert d’anonymat, qui s’épanche dans les médias.
Gibbs
8 septembre 2014 @ 10:56
Clara,
Accord complet.
marielouise
8 septembre 2014 @ 12:56
Oui Clara……je partage votre excellent commentaire!
Gibbs
8 septembre 2014 @ 08:22
Article plaisant à lire qui relate parfois subtilement certaines relations.
En cela, ils ne sont pas différents du citoyen lambda car celles et ceux qui ont le bonheur d’avoir une famille unie ont beaucoup de chance … les choses sont rarement très roses, hélas !
Severina
8 septembre 2014 @ 08:34
Merci Régine, très belles photos et article amusant. Je crois pourtant que la presse souligne toujours les présumés mésententes, plutôt que les relations sereines et équilibrées, ça semble plus passionant.
Kalistéa
8 septembre 2014 @ 09:03
En réalité les racontars naissent souvent d’après une simple photo…parce que ces personnes à la vie publique sont dressées à ne rien laisser paraitre de leurs véritables sentiments, sympathie ou antipathie.Elles jouent leur personnage de princesse idéale,en tout point parfaite, avec tout le monde et surtout avec la famille royale qui les a accueillies.
Marie de Cessy
8 septembre 2014 @ 10:37
Article intéressant !
lola
8 septembre 2014 @ 10:48
et les belles sœurs de belgique ????
Pierre-Yves
8 septembre 2014 @ 11:31
Sujet intéressant, un peu comme l’était celui des belles-mères et belles-filles.
Je sais que c’est l’angle choisi pour parler de ces sujets, mais à les lire, on pourrait croire que les relations eventuelllement délicates n’existent qu’entre les femmes.
Or il y a chez les hommes, entre frères ou entre père et fils, quelques cas compliqués et intéressants à développer. En France, par exemple.
Mais certains aiment trop appuyer sur ces dissensions, alors que d’autres sont exaspérés lorsqu’on le fait. Ce qui revient au même, d’ailleurs: c’est juste la preuve qu’on met trop de passion dans quelque chose qu’on devrait se borner à observer avec un peu de recul.
aubert
8 septembre 2014 @ 11:58
la première photo: » ma sœur que vous avez de grandes dents » « c’est pour mieux te croquer mon enfant ».
Francine du Canada
8 septembre 2014 @ 12:12
Merci Régine pour cet article sur les belles-sœurs du Gotha; les photos sont bien choisies et certaines sont vraiment touchantes. Par exemple, je trouve dommage que les relations entre Letizia et Cristina soient devenues ce qu’elles sont mais, dans les circonstances, je suppose qu’il était difficile de faire autrement. L’éloignement est souvent un facteur important; je pense à Maxima, Laurentian et Mabel ainsi que Martha-Louise et Mette-Marrit. FdC
Mayg
8 septembre 2014 @ 12:53
Merci pour ce très bel article qui fut plaisant à lire.
C’est un peu comme dans toutes les familles, les relations entre le belles sœurs se passent parfois très bien, parfois un peu moins.
Par contre, je suis un déçue de la réaction de Letizia lorsqu’on lui demanda d’accueillir les parents d’Inaki Urdangarin, juste le temps du baptême de la petite Irène…
Mayg
8 septembre 2014 @ 12:53
* un peu déçue
marianne
8 septembre 2014 @ 18:39
Moi aussi , je suis choquée , pourtant j’ aime bien Letizia .
Elle ne manquait tout de même pas de place chez-elle !
Maguelone
9 septembre 2014 @ 00:43
Oui moi aussi Mayg, d’autant plus que Letizia ne vit pas dans 120m2 et que cela aurait été plus chaleureux pour les parents d’Inaki que d’aller à l’hôtel ! Réaction égoiste de la part de Letizia.
Par contre, pourquoi le couple royal n’a-t-il pas accueilli les beaux parents de Cristina ?
Diana de Galles a été l’artisan de la rencontre entre Sarah Ferguson et le prince Andrew tout comme Laurentien des Pays Bas a présenté Mabel à Friso. Toutes deux avant de devenir belle-soeurs étaient déjà de très bonnes amies.
Les relations familiales ne sont pas exemptes de difficultés et de frictions mais une bonne dose de compréhension sont à mon avis la clé d’une bonne entente.
Gibbs
9 septembre 2014 @ 07:47
Mayg,
Curieuse réaction en effet à laquelle je n’adhère pas.
Mais avons-nous tous les éléments pour juger ?
Baia
11 septembre 2014 @ 13:09
Je défendrai Letizia car je pense que Cristina n’a jamais été logée dans un F4 … et la première personne qui devait loger ses beaux parents, c’est elle et elle seule.
Et pourquoi avoir demandé à Letizia et non Elena ?
Ceci dit, nous ne connaissons pas les vrais éléments, de la demande et du refus, pour se porter partie prenante.
flabemont8
8 septembre 2014 @ 12:55
Un reportage intéressant et révélateur ! La nature humaine reprend partout ses droits…
PEKI
8 septembre 2014 @ 14:21
Bonjour
Juste une réflexion : PARFAIT N’EXISTE PAS, chez les manants, comme chez les ROYAUX!!!!
Charles
8 septembre 2014 @ 19:25
Merci Régine pour ce sujet intéressant.
La Duchesse de Wurtemberg est de plus en plus proche de sa belle-sœur Marion, Comtesse de La Marche qui accompagne désormais le plus souvent possible princesse Diane dans ses voyages incessants à travers le monde.
corentine
8 septembre 2014 @ 20:09
sympathique article, merci Régine
jocelynede
8 septembre 2014 @ 21:35
Article très interessant
Caroline
8 septembre 2014 @ 22:21
Mme Régine,un grand merci pour votre article fort intéressant et profondémment réaliste sur les relations entre belles-soeurs!Les photos sont parfois trompeuses!
Je m’entends très bien avec mes belles-soeurs en faisant attention de ne pas les vexer!Par contre, je suis en froid avec l’unique soeur de mon mari parce qu’elle s’immiscait dans ma vie privée!
Peki,entièrement d’accord avec vous!
Shahmashah
9 septembre 2014 @ 02:14
L’ex-Shahnabou a certes été présentée au Shah par l’intermédiaire de sa belle-sœur. Mais lorsqu’il s’avéra qu’elle ne pouvait donner d’enfants, cette même belle sœur propose a son frère de la répudier et de se prendre une deuxième épouse. Rez a Pahlavi refusa tout net en raison de son amour pour Soraya. Mais petit a petit, il se laissa convaincre par ses sœurs et par le clergé de prendre une deuxième femme, sans pour autant divorcer de la première. Ce que bien sur la Shahnabou ne put accepter. Elle demanda donc le divorce et s’exila en France, en gardant le prédicat honorifique d’Altesse Impériale.
petillante
9 septembre 2014 @ 15:19
moi je comprends;ils pouvaient aller a l hotel