Citée en exemple du bon goût et du chic parisien, mannequin, égérie, créatrice, Inès de la Fressange, fille du marquis André de Seignard de la Fressange, est unique en son genre. Cette grande amie de la princesse Caroline de Monaco (qui est la marraine de sa fille Nine d’Urso) tient désormais un salon web chaque jeudi. Dans sa newsletter parisienne à souhait, elle distille ses coups de coeur, ses envies, fait partager ses bonnes adresses et répond à des questions aussi diverses que l’achat d’un abat-jour, le contact d’une voyante, le cannage d’une chaise ou le bon panier pour chien. Sans oublier des interrogations absolument essentielles: où trouve-t-on un cordonnier génial sachant réparer des Vivier ou des Louboutin? Qui fait les meilleurs calissons d’Aix? Où louer un palais digne de ce nom en Inde ? Pour en savoir plus, cliquez ici. (Merci à Bertrand Meyer)
marielouise
6 avril 2015 @ 07:58
La parisienne comme je les aime….
MEYER
6 avril 2015 @ 08:14
Très belle femme cultivée, élégante à souhait et surtout, elle irradie par son sourire chaleureux et son regard pétillant.
Francine du Canada
6 avril 2015 @ 11:10
Elle est vraiment superbe! Je partage vos goûts MEYER. Bonne journée, FdC
MEYER
6 avril 2015 @ 18:05
Il me semble que c’est une belle personne.
Bonne semaine Francine
Ontheroadagain
6 avril 2015 @ 08:27
Je me souviens (bien que j’aie 12 ans à l’époque) de ce qu’elle se trouvait justement avec la Princesse Caroline à Paris lorsqu’elle a appris le décès de son mari Stefano Casiraghi, mais les années suivantes, j’ai l’impression qu’elles se sont beaucoup moins fréquentées…
Tina Jean
6 avril 2015 @ 16:39
En plus d’être amies elles ont toutes deux le triste point commun d’avoir perdu leur mari très tôt et de se retrouver seules pour élever leurs enfants.
Ontheroadagain
7 avril 2015 @ 08:28
Oui, ironie du sort, par la suite Inès de la Fressange s’est retrouvée veuve à son tour quelques années + tard…
JULIA
7 avril 2015 @ 11:13
Je me souviens qu’à l’époque, elles arboraient fièrement un tee-shirt où était inscrit : « j’ai épousé un italien…! »
Philibert
7 avril 2015 @ 19:08
« se retrouver seules pour élever leurs enfants » : pas tellement, puisqu’Inès, depuis 2009, est en couple avec Denis Olivennes, patron d’Europe 1 et divorcé d’Angélique Bérès.
Les deux filles d’Inès sont nées en 1994 et 1999. Apparemment, il semble que Denis Olivennes n’ait pas d’enfant.
Corsica
7 avril 2015 @ 22:52
Denis Olivennes a trois fils .
doriane
7 avril 2015 @ 07:32
I. reprochait à C. d’avoir séduit et fait divorcer E.A….
Ornithorynx
6 avril 2015 @ 08:43
Madame de la Fressange est l’une des femmes les plus élégantes de notre époque ainsi qu’une ambassadrice de charme de la mode française.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:04
Cela n’engage que moi, mais, on peut dire d’Inès de La Fressange qu’elle a un style chic qui lui est propre, mais l’élégance je la réserve à la Comtesse de Ribes, née Jacqueline Bonnin de La Bonninière de Beaumont.
Ornithorynx
7 avril 2015 @ 15:11
Je partage votre avis. Madame la comtesse de Ribes était une égérie des mondanités parisiennes.
Cosmo
6 avril 2015 @ 08:43
Quel chic ! Quelle princesse peut égaler la belle Inès ? Aucune.
aubert
6 avril 2015 @ 21:25
elles ne font pas le même métier.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:07
Il me semble que certaines comme, Tatiana de Grèce, Yasmine d’Iran, puis pour tout vous dire Marie-Chantal de Grèce aussi !
Valerie
6 avril 2015 @ 09:04
Elle est mieux maintenant qu a l’époque ou elle était mannequin chez Chanel
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:09
Sauf qu’elle était mieux habillée à cette époque.
JOSEPHINE
6 avril 2015 @ 10:04
Je crains que ses adresses ne soient trop chères pour moi ! Et je n’ai pas de Louboutin à réparer !
clementine1
6 avril 2015 @ 11:19
rassurez-vous Joséphine, vous n’êtes pas la seule à ne pas jouer dans la cour des grands.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:11
On peut se contenter des calissons, ceux du Roy René me vont très bien.
Laure-Marie Sabre
7 avril 2015 @ 18:51
Dans son livre La Parisienne, elle citait pas mal d’adresses bon marché, pas seulement des grandes marques, loin s’en faut. Elle ne critiquait réellement qu’une seule chose, les copies, qu’elle considérait comme le summum du mauvais goût. J’aime bien sa façon de penser que le plus beau bijou pour une femme est son alliance…
Philippe gain d'enquin
6 avril 2015 @ 10:05
Une femme magnifique qui conjugue intelligence et charme : l’idéal féminin ! Gloria, prend garde à toi… PGE
Marie de Cessy
6 avril 2015 @ 10:17
On va aller regarder ce blog !
J’aime beaucoup Ines de la Fressange, incarnation du chic et de l’élégance à la française.
Zeugma
6 avril 2015 @ 10:17
Il semble que les Seignard de La Fressange soient nobles.
Un ancêtre aurait été page des Petites écuries du roi, ce qui constitue normalement une preuve.
Cela dit, ils ne sont pas répertoriés à l’ANF et je ne les trouve pas sur mon Bottin.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:12
On en connait d’autres…
Laure-Marie Sabre
7 avril 2015 @ 19:07
Ils sont nobles en effet et descendent d’Antoine de Sanhard (http://www.bernard-guinard.com/Genealogie/fiches/fiche9318.htm#f9318.), dont l’un des descendants épouse Claudine Allier de La Fressange (http://www.bernard-guinard.com/Genealogie/fiches/fiche9137.htm#f9137), pour en arriver à la génération du père d’Inès (http://www.bernard-guinard.com/Genealogie/fiches/fiche9412.htm#f9412). A noter que sa seule tante paternelle était résistante, que l’aîné de ses oncles est mort pour la France en 1944 et que le plus jeune est moine.
COLETTE C.
6 avril 2015 @ 11:00
Super chic en violet,la classe !
petillante
6 avril 2015 @ 11:35
Elle est une grande top et incarne à sao paulo la parisienne ravissante et raffinee
BAYA
6 avril 2015 @ 12:33
Inès a le même âge que Caroline de Monaco, mais a beaucoup mieux vieilli, elle est toujours magnifique comparé à son amie, c’est flagrant !
monica
6 avril 2015 @ 18:29
Baya, oui peut être aussi avec l’aide de chirurgie.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:16
2 enfants (crevettes) pour Inès mais 4 pour Caroline, ça plus le soleil du Sud qui abime la peau et pour ne pas le dire la cigarette… Ne cherchons pas plus loin.
Camille Gilbert
7 avril 2015 @ 16:42
Que signifie « 2 enfants (crevettes) pour Inès, mais 4 pour Caroline »? Inès a donné le jour à des crevettes? Oui, je connais l’expression, mais je ne la comprends pas dans ce contexte.
Laure-Marie Sabre
7 avril 2015 @ 18:50
Si, on peut chercher plus loin : l’une, bien qu’ayant eu une vie difficile avec la mort d’un mari et des dettes à payer, s’est retroussé les manches et remise à travailler sérieusement pour élever ses filles, et a retrouvé l’amour, le vrai, dans une relation discrète mais manifestement profonde. L’autre a privilégié une relation avec un alcoolique certes richissime mais très mal élevé et n’a jamais travaillé de sa vie. J’ai plus d’admiration pour Inès de La Fressange que pour Caroline de Monaco, même si je la plains car je pense qu’elle formait un couple très réussi avec Stefano Casiraghi et que sa mort a dû l’abattre à tout jamais, quoi qu’elle ait fait après.
Corsica
7 avril 2015 @ 23:05
Luigi d’Urso, divorcé et père de deux filles, était lui aussi alcoolique. C’est pour cette raison qu’Inès de la Fressanges s’était séparée de lui .
JULIA
7 avril 2015 @ 11:26
Et Inès a de très jolis bras…je ne pense pas que ce soit dû à la chirurgie mais à de la gym étudiée pour les bras…vie plus saine aussi pour Inès (pas de tabac, soleil et alcool) ou extrêmement peu.
Zeugma
6 avril 2015 @ 12:47
En mars 1953, la grand mère d’Inès, Simone Lazard (1899-1991), fille du banquier André Lazard et veuve du marquis de La Fressange avait épousé Louis Jacquinot (1898-1993), un homme politique français qui voulait se faire élire président de la République.
A l’époque, il était impensable qu’un président de la République fût un célibataire endurci, autrement dit un homme qui préférait ostensiblement les garçons.
Malgré ce mariage (qui ne trompait personne) avec la marquise de La Fressange , Louis Jacquinot ne fut pas élu et c’est René Coty qui devint le dernier président de la IVe République.
L’histoire ne dit pas comment se déroula la vie conjugale de ce couple de circonstance. Il furent peut-être heureux. En tout cas, espérons le.
aubert
6 avril 2015 @ 21:20
Que de souvenirs vous évoquez là. Joseph Laniel fut le grand favori de cette élection mais ne réussit pas. Dans Paris-Match on le montrait avec toute sa famille prêt à entrer à l’Elysée.
13 tours furent nécessaires pour porter René Coty à la présidence et en effet à partir du 8° tour Louis Jacquinot réussi à obtenir quelques %.
Après l’élection madame Coty fit son entrée. Bonne mèmère pour succéder à la brillante madame Auriol. Après un peu de déception les français l’apprécièrent et à son décès la pleurèrent.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:24
Un homme qui aime les hommes et les femmes ferait en tous cas un bon slogan !
Corsica
7 avril 2015 @ 22:29
En 2009, dans le Figaro Madame, voilà ce que disait Inès de la Fressanges de sa famille : « J’ai longtemps eu honte d’avouer que j’avais bénéficié d’une enfance très dorée. Aujourd’hui, j’assume. Même si mes parents se sont retrouvés ruinés. Coup de bol, d’ailleurs, sinon je serais peut-être restée une jeune fille de bonne famille oisive et futile. Mon arrière-grand-mère habitait avenue de Messine, un quartier proustien, dans un immense appartement bordeaux. Chez elle, j’ai vu des cachemires, des taffetas, des vigognes. Chez elle, j’ai compris la sophistication française. Ma grand-mère avait deux chauffeurs, deux maîtres d’hôtel, une teinturière, deux dames de compagnie. Son père vaquait en costume le matin et en queue-de-pie l’après-midi. Elle ne sortait jamais sans son chaperon. Mais c’était aussi une suffragette qui militait pour le vote des femmes. »
jocelynede
6 avril 2015 @ 13:07
Elle vieillit bien
carole D
6 avril 2015 @ 13:32
J’aime son côté chic et son beau sourire. J’aime Paris et il est vrai qu’elle incarne très bien « la parisienne » … un mélange de légèreté, de classe, quelque chose d’intemporel. Dès qu’il y a quelque chose à lire la concernant, je me précipite !
DENIS
6 avril 2015 @ 14:28
Je suis stupéfié d’apprendre que les chaussures Louboutin ont parfois besoin d’être réparées; comme de vulgaires Bata ! C’est un réel problème pour les ménagères de moins de 50 ans qui vont être ravies de savoir qu’il existe des artisans susceptibles de répondre à ce cruel problème…
Bernard Hivert
6 avril 2015 @ 17:58
Chez Bata,ils vont être ravis de votre commentaire,Denis!
DENIS
7 avril 2015 @ 00:22
Je pense qu’il savent quelle est la qualité de ce qu’ils fabriquent , chez Bata ! alors ils ne s’en offusqueront pas … comme disait Mme Yourcenar : » Il ne faut pas avoir peur des mots quand on a a consenti aux choses » !
monica
6 avril 2015 @ 18:25
Denis et Bris Hug, vous avez raison
Missannie
6 avril 2015 @ 19:21
Et oui, Denis. C’est un réel problème. Même pour les ménagères de plus de 50 ans. Maintenant je sais comment résoudre tout cela. Je revis …
Laurent F
7 avril 2015 @ 08:33
les Bata ça ne se répare pas, ça se jette !
val
7 avril 2015 @ 15:16
Denis,
Sauf mon cher qu’il y a plus de ménagères de 50 ans comme vous dite qui vont chez Bata !!! moi je trouve que Louboutin c’est très vulgaire avec les semelles rouges et les talons démesurés vraiment et puis c’est devenu très commun !!!!!!!!!!!!!!!!
Bris-Hug
6 avril 2015 @ 14:31
Bon , elle a les moyens , et elle sait parfaitement en user = nous pouvons dire qu’elle ne connait pas du tout le goût de l’échec , ce qui est très réjouissant . Allez ! Tant mieux pour elle !
Cosmo
6 avril 2015 @ 19:03
Ce n’est pas juste de dire cela car Inès de la Fressange a eu des déboires avec Karl Lagerfeld et après avoir créé sa propre marque, elle a perdu le droit à son nom commercial qui est resté la propriété de la société dont elle faisait partie lorsqu’elle l’a quittée. Elle a eu de gros problèmes financiers. Je ne sais où elle en est aujourd’hui mais j’imagine qu’elle a su rebondir car elle est intelligente et volontaire, sans parler de sa classe naturelle.
Cordialement
Cosmo
laure2
7 avril 2015 @ 06:20
Elle a enfin pu récuperer sa marque .
C’est une femme amusante très chic sans aucun doute intelligente mais assez snob tout de même. Ou du moins qui en joue beaucoup .
Arielle
6 avril 2015 @ 14:44
Jolie, élégante, décontractée, rayonnante, Inès de la Fressange est objectivement et, pour toutes ces raisons, une icône. Curieusement, je lui trouve une pointe d’arrogance et une vaste dose de superficialité. Pourquoi ? Sans doute parce qu’elle se pense l’arbitre des élégance parisiennes, sinon aucune idée, je suis la voix discordante et j’assume !
Arielle
6 avril 2015 @ 14:45
« des élégances », rétablir le pluriel. Sorry !
Bernard Hivert
6 avril 2015 @ 18:00
Je suis de votre avis,Arielle! Je n’aime pa
Bernard Hivert
6 avril 2015 @ 18:07
Je suis de votre avis,Arielle! Je n’aime pas les gens qui jouent de leur image, de leur apparence! » « La vérité d’un homme , c’est d’abord ce qu’il cache »!André Malraux.
Philippe gain d'enquin
7 avril 2015 @ 07:57
Alors pourquoi se cacher derrière Malraux ?
Bernard Hivert
7 avril 2015 @ 13:59
Je n’ai pas besoin de me cacher, Philippe Gain d’Enquin,ni derrière Malraux,ni derrière qui que ce soit! Je cite toujours mes sources,n’étant pas toujours à même de dire les choses aussi bien!
Laure-Marie Sabre
7 avril 2015 @ 18:54
Je suis assez d’accord moi aussi : elle est délicieusement superficielle mais sans la connaître, j’ai le sentiment que c’est quelqu’un qui rend heureux son entourage et qui doit être fidèle en amitié, avec des principes assez solides.
Arielle de T
6 avril 2015 @ 22:44
Bizarrement en dehors de nos prénoms nous avons aussi des avis qui se rapprochent. Plus clairement, elle a trouvé le bon filon et en profite en laissant croire que certaines femmes françaises, aisées, qui habitent rive gauche, dans le 6ème ou le 7ème (pas rive droite même dans le 16ème, j’y vis et aucune femme ne ressemble à ça ici) représentent les milliers de femmes qui vivent à Paris, alors qu’il n’y a qu’à prendre le métro ou au moins le bus pour comprendre que c’est faux.
Mais bon, il faut bien gagner sa vie…
marielouise
13 avril 2015 @ 20:49
En effet ce sont dans ces arrondissements que l’on rencontre le plus la vraie parisienne à l’image d’ Ines!!!
l'Alsacienne
6 avril 2015 @ 18:52
Je rejoins votre commentaire concernant la superficialité. Le métier de mannequin appelle au rêve, ne reflète pas le quotidien de la plupart des femmes.
Inès profite de son succès, de sa notoriété et exploite le filon : une reconversion lucrative de son métier de mannequin.
Cosmo
6 avril 2015 @ 19:05
Arielle,
Vous n’êtes pas juste avec Inès de la Fressange qui est tout sauf arrogante et superficielle. Bien au contraire ! C’est une femme de tête qui connait la vie et les gens. Elle a de l’allure et du chic, sans aucun snobisme.
Cordialement
Cosmo
Nana
6 avril 2015 @ 14:50
Génial, ce site web ! Je pense aussi le consulter pour savoir comment faire réparer mes chaussures de La Halle, acheter du caviar au meilleur prix, trouver une voyante qui me prédira que je vais gagner au loto : fini l’angoisse des fins de mois, non mais allo quoi !
Bernard Hivert
6 avril 2015 @ 18:12
Votre réponse,Nana, me fait penser à une réflexion du patron de ma femme,il y a une trentaine d’années…. »Vous vous rendez compte,Monsieur,même les employés ont une voiture,maintenant »!
val
7 avril 2015 @ 15:21
Bernard Hivert,
Et moi le mien m’ avais fait une reflexion parceque j’avais acheté un ensemble
pantalon et veste saharien en vogue a l’époque , le matin je suis arrivee il m’a demandé si je m’habillais au stock Américain pfff mal embouché il était !!!!!
monica
6 avril 2015 @ 18:26
Nana, vs m’ôtez les mots de la bouche.
Danielle
6 avril 2015 @ 15:17
Une femme toujours très élégante ; je crois que sa fille cadette marche sur ses pas de mannequinat.
Milena K
6 avril 2015 @ 16:22
Elle incarne,c’est vrai,LA Parisienne avec un certain snobisme fait de fausse simplicité,à mon sens.Mais c’est vrai qu’elle est beaucoup mieux maintenant.
Cosmo
6 avril 2015 @ 19:06
Et si cette apparence de snobisme était du second degré ?
Cordialement
Cosmo
Arielle
6 avril 2015 @ 21:24
« un certain snobisme fait de fausse simplicité » : vous avez bien formulé la chose, Milena K. Bravo.
Milena K
7 avril 2015 @ 03:22
Arielle,merci.Cosmo,c’est tout simplement mon ressenti quand je vois des photos de cette dame.Sa tenue « basique » c’est un jean,une chemise et des ballerines et je suis certaine qu’aucune de ces « pièces » ne vient s’une boutique « discount ».C’est du »simple » haut-de-gamme,j’en suis persuadée.
Princesse Alberta
7 avril 2015 @ 11:05
Erreur Milena…Inès est fan de Monoprix et Zara. Dans son guide « La Parisienne », elle explique comment mixer des jolies petites pièces pas chères avec d’autres plus onéreuses…C’est une femme qui a pointé au chômage quand elle a perdu le droit d’exploiter son nom en tant que marque commerciale et qui est repartie de zéro. Elle est drôle, non exempte de défauts comme tout le monde mais j’aime son style, son chic, ses astuces…
bianca
6 avril 2015 @ 17:54
J’ai un flash pour la robe qu’elle porte dans la couleur « quetsche » que j’adore ! c’est sûr elle la porte bien mieux que moi ! Ah la jeunesse quel privilège !
JULIA
7 avril 2015 @ 11:20
Sans indiscrêtion…mais un peu quand même quel avez-vous Bianca ?
bianca
7 avril 2015 @ 13:35
J’ai l’âge qui ne me permet plus d’avoir le « privilège de la jeunesse » et je sais que bientôt il faudra s’accrocher pour le reste du temps … Cependant j’aime la jeunesse et je suis toujours indulgente à leur égard car leur vie sera certainement encore plus difficile que la mienne vu l’état de notre société !
Bien à vous Julia ! Bonne semaine, le soleil est là !!!
JULIA
7 avril 2015 @ 18:44
Merci de m’avoir répondu Bianca. J’espère ne pas vous avoir offensé car nous avons peut-être le même âge…Moi : 59 ! Je pense de même concernant la jeunesse… Bonne semaine à vous également.
Camille Gilbert
6 avril 2015 @ 17:55
Inès de la Fressange est toujours parfaite, saine, pétillante, et de bonne humeur. Il est facile de voir pourquoi elle et la princesse Caroline étaient devenues de grandes amies. Je me souviens du petit scandale (parisien, bien sûr) lorsqu’elle avait claqué la porte de chez Chanel, disant qu’elle en avait assez de jouer les bonnes à tout faire, ce à quoi Lagerfeld répondit que les bonnes à tout faire n’étaient pas payées le salaire qu’elle recevait. C’était l’époque où les mannequins jouaient les divas. Je ne sais plus quel autre mannequin avait déclaré qu’elle ne se levait jamais pour moins de $100.000 par jour. Lagerfeld ou Inès ont-ils sommé Caroline de choisir? En tout cas, tous se sont reconciliés. Quand on voit Stella Tennant à côté, y’a pas photo, on sait laquelle nous choisirions comme modèle de vie. Merci Régine et Bertrand Meyer de nous signaler le site web d’Inès de la Fressange.
JULIA
7 avril 2015 @ 11:23
Oui Camille Gilbert, je me souviens très bien de « l’incident » Karl/Inès. Là, elle jouait pas la simple.
Et suis également d’accord avec une internaute qui dit que ses tenues « simples » sont haut de gamme.
Cependant, elle vieillit bien, c’est vrai a toujours de l’allure pour son âge. je la lis, je l’écoute et…je fais ce que je veux de ses conseils !
Nicky
7 avril 2015 @ 12:09
Il me semble que, concernant les 100 000 dollars par jour, il s’agissait de Linda Evangelista.
Camille Gilbert
11 avril 2015 @ 16:06
Mieux vaut tard que jamais, merci pour la précision!
LaLouQC
6 avril 2015 @ 19:43
elle est impeccable.
aggie
7 avril 2015 @ 07:33
rien a ajouter sinon que je fais partie du clan des « fans »
limaya
7 avril 2015 @ 07:55
Allez donc Madame faire vos preuves à l’association des ‘ blouses roses ‘ ou autre par exemple , ensuite nous reparlerons de vos bonnes adresses de dépannage…
Baia
7 avril 2015 @ 14:08
Inès de la Fressange est, entre autre, très active au sein de l’association « Mécénat Chirurgie Cardiaque ».
agnes ro
7 avril 2015 @ 09:53
lorsque le mari de cette dame est décédé,
contrairement à Caroline de Monaco, le couple
était séparé
Baia
7 avril 2015 @ 14:09
Faux !
Corsica
7 avril 2015 @ 23:00
Baia, non ce n’est pas faux . Je me rappelle d’une interview où Inès de la Fressanges expliquait que, malgré l’amour qu’elle éprouvait, elle s’était séparée de Luigi d’Urso en raison de certains démons, dont l’alcoolisme . Ce qui ne l’a pas empêché d’avoir énormément de chagrin à sa mort .
Baia
9 avril 2015 @ 14:51
Bon, si vous le dites Corsica !
marielouise
13 avril 2015 @ 20:51
Très exact Corsica!
Blouin
7 avril 2015 @ 09:54
Bernard Hivert : j’ai connu un lointain cousin de la princesse de Lamballe, qui était habillé comme un sdf et qui me disait « vous vous rendez compte, les paysans se font maintenant appeler « monsieur » !
Bernard Hivert
7 avril 2015 @ 13:54
Merci,Blouin,de cette anecdote,témoin d’une certaine réalité!
Cosmo
7 avril 2015 @ 21:54
Un lointain cousin de la princesse de Lamballe ? C’est-à-dire la moitié des membres des familles royales, princières, ducales, comtales actuelles tant en France qu’en Italie, en Belgique, en Allemagne ou en Autriche…
Cosmo
Kaiserin
7 avril 2015 @ 13:36
Une « fille de famille »
Sans diplôme, sans rien ………
JULIA
7 avril 2015 @ 18:51
Kaiserin : Ben oui cela existe et l’inverse aussi…!
Azilis
8 avril 2015 @ 14:05
elle a eu son bac très jeune (à 15-16 ans) et a étudié à l’Ecole du Louvre tout en devenant mannequin. Le succès arrivant, elle n’a pas continué les études, mais elle avait de reelles capacités.
J’aime beaucoup Ines. C’est une femme très instruite et sincère.
Azilis
chicarde
7 avril 2015 @ 18:59
Très belle et charmante femme portant très jolie robe : classe, élégance, chic et un beau brin de luxe !
Zeugma
8 avril 2015 @ 16:20
Bertrand Meyer évoque le « marquis André de Seignard de la Fressange ».
Je croyais que le titre de « marquis » n’était jamais suivi d’un prénom.
Mais ça n’a aucune importance.
Kamila
9 avril 2015 @ 14:52
Je trouve qu’elle est dotée d’une réelle beauté » latina » probablement héritée de sa maman argentine. Mais dans la catégorie » représentante parisienne » , je préfère les Parisiennes de Kiraz.