L’épouse de l’aubergiste Pojarski avait acquis au fil du temps une solide réputation dans le monde culinaire russe. Le tsar Nicolas Ier raffolait de ces boulettes à base de bœuf. Un jour, le souverain se présenta à l’improviste. La cuisinière ne disposait pas de bœuf et se mit alors à hacher ce qu’elle avait en gros de disponible à savoir du veau. Il en sortit le plat « côtelettes Pojarski » qui se présente sous forme de boulettes panées.
Leonor
4 mars 2016 @ 10:00
Il arrive souvent que les chefs d’oeuvre naissent de la nécessité.
Philippe Gain d'Enquin
4 mars 2016 @ 12:08
Miam, miam…
Caroline
4 mars 2016 @ 13:22
Philippe Gain d’Enquin,
Je vous répéte comme un perroquet ‘miam,miam…,lol!
Il existe des centaines de variétés de boulettes de viande, de veau et de volaille dans le monde entier!
Bon appétit!
Carole 007
4 mars 2016 @ 21:28
On dirait qu’il y a des girolles.
Ogier le Danois
5 mars 2016 @ 22:02
L’empereur Nicolas I aurait aimé les restos d’Ikea et ses boulettes de viande suédoises.
Philippe Gain d'Enquin
7 mars 2016 @ 15:29
les restos et « LEURS »; ils sont plusieurs…
Ogier le Danois
8 mars 2016 @ 22:53
Merci, cher prof ! :-)
Mary
6 mars 2016 @ 23:21
Moi,je les fais au poulet et je leur donne une forme ovale et légèrement aplatie.