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Le 14 janvier 1858 à Paris, l’empereur Napoléon III et l’impératrice Eugénie échappèrent à un attentat à la bombe sur la route de l’Opéra de Paris.
Leur voiture blindée leu sauva la vie. Felice Orsini, l’auteur de l’attentat, fut condamné et exécuté le 13 mars 1858.
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Le Musée de l’Impératrice du château de Compiègne conserve dans ses collections le corsage et le mantelet portés par l’impératrice Eugénie ce soir-là. (Copyright photos :GrandPalaisRmn (Domaine de Compiègne) / René-Gabriel Ojeda)
16 janvier 2025 @ 07:35
De belles pièces de confection et historiquement marquées.
16 janvier 2025 @ 09:04
Au moins à cette époque-là la question de la condamnation et de l’exécution était vite réglée. Point d’accumulations de dossier, de visites par un psy pour savoir si l’auteur de l’attentat avait ou non toute sa capacité mentale, etc…
16 janvier 2025 @ 10:09
L’Opéra situé au 12, de la rue Le Peletier, s’appelait, alors, « Académie impériale de musique ». Il avait succédé à la Salle Montansier de la rue de Richelieu, rasée par Louis XVIII, en 1820, après l’assassinat du duc de Berry. On comprend pourquoi Napoléon III décida, alors, de faire construire un nouvel Opéra, dans un emplacement dégagé et disposant d’une entrée protégée, l’Opéra Garnier.
Lors de cet attentat, quelque 156 personnes (dont 21 femmes, 13 lanciers, 11 gardes de Paris, 31 agents de la préfecture de Police) furent blessées dont 8 décèdent des suites de leurs blessures. Le couple impérial assista, cependant, à la représentation et quitta le théâtre à minuit pour rassurer immédiatement l’opinion publique sur leur état de santé.
Orsini avait déclaré à Napoléon III avant de monter à l’échafaud : « Que votre Majesté se rappelle que les Italiens, au milieu desquels était mon père, ont versé leur sang pour Napoléon le Grand, partout où il lui plut de les conduire ; qu’elle se rappelle que, tant que l’Italie ne sera pas indépendante, la tranquillité de l’Europe et celle de votre Majesté ne seront qu’une chimère ». Eut-il une influence sur la politique extérieure de Napoléon III ?
16 janvier 2025 @ 22:29
Une curiosité, la rotonde de l’Empereur. Les pierres y sont nues puisqu’il n’y avait plus de souverain en France à l’inauguration. Ils auraient pu la décorer pour les soirées officielles.
16 janvier 2025 @ 10:33
Laid et glauque…
16 janvier 2025 @ 14:32
Oui, c’est du fétichisme de très mauvais goût
18 janvier 2025 @ 13:07
Glauque mais pas laid . C’est le travail de dentelle et de broderie qui en font des pièces de musée
16 janvier 2025 @ 13:55
Bigre, elle ne devait pas avoir très chaud….
18 janvier 2025 @ 08:04
La cape semble bordée d’hermine.