Ah ! Comme tu me connais bien , adorable Marc Antoine . . .si tu étais un humain, sûr que toi tu irais me chercher tous ces joyaux ! Ton papa est d’un naturel beaucoup plus prudent ! Pour la saint Valentin , Phil , regardez cette bague en avatar qui vous tend les bras !
Les croquer , non , vraiment pas , mes dents ne tiendraient pas le coup ! Mais les admirer , et peut-être les arborer , oh oui ! Mais j’ai besoin d’une spécialiste qui m’aide à bien choisir , et là , je ne vois que vous , Baboula ! Une petite association Cib and Babs ?
La troisième république vendit les joyaux aux enchères en 1887 dispersant ainsi ce patrimoine. Petit à petit le musée a reconstitué une partie de cette collection, ainsi le diamant « le Sancy » fut racheté en 1976 grâce à un crédit exceptionnel attribué au musée par le président Giscard d’Estaing. On peut aussi y admirer la parure de l’impératrice Marie-Louise, seconde épouse de Napoléon Ier, composée d’un collier et de boucles d’oreilles. Elle est remarquable par la qualité de ses émeraudes.
Au Musée de Minéralogie de Paris, sont exposées dans plusieurs vitrines des pierres taillées provenant des Joyaux de la Couronne de France : un collier de boules d’émeraudes (saisies révolutionnaires), des topazes roses et des améthystes extraites des parures de l’Impératrice Marie-Louise, une suite d’émeraudes de la Couronne impériale de Sacre de Napoléon III. 900 perles ont été vendues en 1903 sur ordre du ministre de l’Industrie sous prétexte qu’elles ne présentent pas d’intérêt minéralogique. Seulement quelques miettes, en effet…
Et bien j’ai toujours trouvé triste de voir tous ces bijoux inertes claquemurés derrière de froides vitrines.
Je les préfère parant de belles Dames, mais ce n’est pas facile à porter ! Et c’est vrai aussi nous pouvons les admirer.
13 février 2021 @ 07:45
Il faudra surveiller Ciboulette, si elle se présente un jour pour la visite…..😎
13 février 2021 @ 10:12
Et Baboula 😁
13 février 2021 @ 11:41
Il faut se méfier de cette croqueuse de diamants .
13 février 2021 @ 17:20
Ah ! Comme tu me connais bien , adorable Marc Antoine . . .si tu étais un humain, sûr que toi tu irais me chercher tous ces joyaux ! Ton papa est d’un naturel beaucoup plus prudent ! Pour la saint Valentin , Phil , regardez cette bague en avatar qui vous tend les bras !
14 février 2021 @ 15:21
Croqueuse de diamants ! Je donne la recette pour faire pousser les diamants dans l’article sur la princesse Anne ,qui elle ,pousse les filles à oser .
14 février 2021 @ 15:39
Les croquer , non , vraiment pas , mes dents ne tiendraient pas le coup ! Mais les admirer , et peut-être les arborer , oh oui ! Mais j’ai besoin d’une spécialiste qui m’aide à bien choisir , et là , je ne vois que vous , Baboula ! Une petite association Cib and Babs ?
13 février 2021 @ 21:27
Pour Ciboulette, le sosie de Marie Pervenche en rouge, des rubis…
14 février 2021 @ 15:40
Pourquoi Marie – Pervenche ? Je sais que c’était un feuilleton télévisé , mais je ne ressemble pas à l’actrice .
15 février 2021 @ 14:08
Oh! si. Suivant votre précédente photo, chapeau vissé sur la tête, toute de rouge vêtue.
13 février 2021 @ 21:40
Pas qu’elle seule à mon avis…
14 février 2021 @ 10:42
Bon anniversaire cher Phil.😗😗😗
13 février 2021 @ 08:59
La troisième république vendit les joyaux aux enchères en 1887 dispersant ainsi ce patrimoine. Petit à petit le musée a reconstitué une partie de cette collection, ainsi le diamant « le Sancy » fut racheté en 1976 grâce à un crédit exceptionnel attribué au musée par le président Giscard d’Estaing. On peut aussi y admirer la parure de l’impératrice Marie-Louise, seconde épouse de Napoléon Ier, composée d’un collier et de boucles d’oreilles. Elle est remarquable par la qualité de ses émeraudes.
13 février 2021 @ 10:15
La parure que le comte de Paris ( Henri l’Ancien) voulait emmener en Suisse y est elle ?
14 février 2021 @ 11:56
Oui…
14 février 2021 @ 12:29
Oui elle y est !
13 février 2021 @ 13:21
Cette galerie est superbe, vivement que les musées réouvrent.
13 février 2021 @ 16:21
Salle qui malheureusement ne présente que de superbes miettes de ce qu’étaient les bijoux de la Couronne, hâtivement bradés par la République en 1887
14 février 2021 @ 20:09
Au Musée de Minéralogie de Paris, sont exposées dans plusieurs vitrines des pierres taillées provenant des Joyaux de la Couronne de France : un collier de boules d’émeraudes (saisies révolutionnaires), des topazes roses et des améthystes extraites des parures de l’Impératrice Marie-Louise, une suite d’émeraudes de la Couronne impériale de Sacre de Napoléon III. 900 perles ont été vendues en 1903 sur ordre du ministre de l’Industrie sous prétexte qu’elles ne présentent pas d’intérêt minéralogique. Seulement quelques miettes, en effet…
13 février 2021 @ 17:36
Des joyaux dans un joyau.
14 février 2021 @ 01:16
Heureusement, il n’ y a pas de ‘ tapis roulant ‘ pour admirer ces joyaux de près ! 😉
14 février 2021 @ 13:01
Et bien j’ai toujours trouvé triste de voir tous ces bijoux inertes claquemurés derrière de froides vitrines.
Je les préfère parant de belles Dames, mais ce n’est pas facile à porter ! Et c’est vrai aussi nous pouvons les admirer.
14 février 2021 @ 20:49
Alors c est des vrais ?