Le saviez-vous ? Les pommes « dauphine » composées d’un mélange de pâte à choux et de purée de pommes de terre seraient apparues dans la gastronomie française en 1864 en référence à la Dauphine, épouse du Dauphin, héritier du trône.
En Dauphine,c’est absolument délicieux,oh Pomme de Terre,fruit de la terre et du travail de l’homme,tu es bénie!…Saint Parmentier,gardez-la nous,toujours! ^^….Oui,c’est mon petit coup de folie du matin,là… ;-)
Suis-je la seule à penser que la pomme de terre est une bénédiction,quelque soit la manière de l’accommoder et ses mille façons de le faire? ;-))
Oh j’entends d’ici Baia me dire: »Allez Lisabé,arrête ton délire! »
Vous reprendrez bien une petite portion de hachis,ma mie? ;-)
Eh ! C’est raté Lisabé ! Vous m’avez prêté de mauvaises intentions … Je vous rassure, je suis comme vous fan de la pomme de terre sous toutes ses formes !
…Et pourtant,chère Baia,pour du délire dans l’expression,c’en était bien,là,et j’aurais trouvé cela très légitime! ;-))
Non,ma Mie,je ne vous prête aucune mauvaise intention,et je vous souhaite une très belle et heureuse journée!
Ben tu m’étonnes…Flabemont,elle aime tout ce qui est bon! ;-))
Bonne journée à vous,petit chat…Salade de pommes de terre vinaigrette,avec oignons,aïl et ciboulette hachés,bien rafraîchie au frigo,repas idéal pour temps de canicule! ;-))
Vrai,ma mie Francine,et pas seulement les prisonniers,mais « alcool du pauvre » en général,à l’Est…cela produit même,par distillation alambiquée(!),une espèce de »vodka » de basse qualité…appelée en Allemagne »Kartoffelschnaps ».
Ah ma mie, P.E.I. est le plus grand producteur de pommes de terre du monde entier; je m’étonne qu’Actarus ne soit pas venu la vanter la patate de l’Ile du Prince Édouard ;-)) FdC
Actarus est en fait un grand timide,ma Mie Francine ^^…C’est la seule explication possible! ;-)))
flabemont8
1 juillet 2015 @
08:41
Une colle : qui étaient le dauphin et la dauphine en 1864 ? Il n’y aurait pas une erreur de date ? Pardon de mon ignorance , mais vraiment , je ne vois pas ! Merci à celui ou celle qui éclairera ma lanterne !
C’est bon, mais le faire soit même équivaut à un exercice physique soutenu pour obtenir d’abord une bonne pâte à choux .Mais quand c’est réussi la dégustation des pommes dauphines est un véritable délice pour les amateurs.
Pas si difficile que cela à faire, concernant la pâte à choux, prendre la peine de bien tourner la pâte après l’ajout de chaque œuf entier pour bien l’aérer avant de l’incorporer peu à peu à la purée de pommes de terre. Elles sont toujours bien réussies !
Bianca,tout à fait!
Au début,j’ai cru ne jamais réussir à confectionner mes choux à la crème.Je suis finalement devenue ‘rapide’ avec cette opération culinaire!
Bon appétit!
Disons que c’est assez « costaud » comme mixture! Disons qu’au début, j’ai dû casser une ou deux spatules hahaha! mais je réussi ça sans problème! Bon w-e amie Bianca; je croise votre route assez souvent et je vous lis toujours avec grand plaisir. Amitiés, FdC
Excellent comme entraînement pour garder de beaux bras musclés !!!
C’est toujours agréable de se retrouver sur les routes de la sympathie
Francine et, au prochain croisement !
Je vous souhaite aussi un excellent week-end !
(Ici à 50 kms de Paris il fait très chaud mais ce matin je suis allée me promener dans le parc du château près de mon domicile, calme,
ombrages, sérénité absolue !)
Bonjour Bianca, j’ai entendu parler des canicules en France (partout : NPDC, les Vosges, chez vous mais aussi au sud-est). Chez nous, c’est ensoleillé et frais mais… on sent que ça s’en vient! Je suis triste car des écureuils ont ravagé mon jardin (mangé tous les boutons de roses, 5/12 marguerites géantes, tous les lys japonais, snif, snif!). Bon dimanche, FdC
Un Dauphin ? Un Prince Impérial ? et patate « i » et patate « a », et dire que tout à l’heure, à souper sonnant nous ne serons pas encore en « robe de champs » à tant gloser ! Eh « purée », quoi, décidez-vous il y a tant de « mousselines » à faire voler quand par hasard l’on a la frite !!A vous départager, Signé, Flo d’Or , la spécialiste des repas fins et very « chips », à l’arrière « des Dauphines »…
J’ai bien aimé votre commentaire et la discrète allusion à la chanson du regretté Alain Bashung.
Et oui, joli avatar, bien que je ne reconnaisse pas ce personnage. Qui est-il donc?
Et Lisabé, si c’est vous, c’est très courageux par les temps qui courent de mettre votre photo! Mais ravie de faire votre connaissance. Actarus fut un précurseur, il avait aussi mis la sienne. (Je parle bien de la vraie).
Bonjour,chère Claude-Patricia! Heureuse de vous recroiser là!
Je regrette de ne pas avoir connu le vrai minois d’Actarus…Pouvoir mettre un visage sur ses actarusades m’aurait été grande joie !…Ce qui nous met d’emblée sur un pied d’inégalité,lui et moi…Pas bien,cela!…
Enfin,lui peut superposer mes traits à mes lisabilles,qui n’égaleront jamais ses traits d’esprit,tant il est vrai que d’un mot,il habille…ou déshabille! ;-))
Bon week-end à vous,chère Claude-Patricia.
Humm…Décidément,vu le sujet initial,tout cela nous met…en appétit,ma Mie Francine!
Car j’aime les pommes rôties,et…les personnes d’esprit !
;-))
Lady Chatturlante
2 juillet 2015 @
12:15
C’est bien l’année 1864. En 1684, Parmentier n’était pas encore né et n’avait donc pas ramené la pomme de terre d’Amérique.
Peut-être cet hommage fut-il donné sur ordre de l’impératrice qui était légitimiste.
En France comme en Angleterre, il y a toujours un roi, même s’il ne règne pas. Dans ce cas, il est roi « de jure », et s’il a un héritier, celui-ci est donc le Dauphin « de jure ». En 1864, le « roi de jure » était , je pense, déjà le comte de Chambord qui, refusant abandonner le drapeau blanc de la monarchie au profit du drapeau tricolore, ne put remonter sur le trône dans les années 1880, alors que les chambres y étaient particulièrement favorables. Perdre un trône pour un mouchoir, quel c..
J’ai oublie de préciser : le comte de Chambord était le « Roi de jure » des Bourbons, descendant du roi Charles X, frère de Louis XVI et Louis XVIII.
Il devait donc en même temps y avoir de « roi de jure » Orléans, descendant du roi des Français Louis-Philippe (pas facile de s’y retrouver…)
Il eut un règne des plus rapide et éphémère pour n’être plus qu’un souverain sans trône ; le terme de roi convient sans les qualités de « De Jure » ou/et « De facto ». Il avait des droits pour une royauté Trés Chrétienne n’existant plus, personne ne peut le nier; ils sont morts avec lui. Les princes de la Maison de France n’ayant pas régné sont « rois de droit » avant de l’être très, très hypothétiquement de fait, s’il plait aux circonstances, au désir du Peuple Français en qui réside toute souveraineté, et avec le soutien éclairé de Dieu s’il lui plait de les épauler…
L’expression « pommes dauphines » se trouverait dès 1692 selon le Robert et serait une contraction de « à la dauphine » comme on dit « à la royale ». En 1692 Louis, le dauphin, était veuf depuis 1690.
La pomme de terre était connue en France avant Parmentier et cultivée au Jardin royal de Paris vers 1660. Cependant elle était encore exceptionnelle.
L’explication traditionnelle selon laquelle le dauphin serait arrivé en retard à un dîner et que le cuisinier aurait dû se remettre à l’ouvrage avec ses pommes déjà cuites paraît un peu improbable. D’abord je ne sais pas si l’on apprêtait déjà les quelques malheureuses pommes de terre qu’on avait du temps de Louis XIV pour des dîners avec un dauphin ou si on les laissait aux cochons. Sinon cela nous amène à l’époque de Charles X. Mais surtout j’imagine mal un cuisinier préparant à l’avance la cuisson de pommes de terre alors que l’hôte principal n’est toujours pas arrivé. Si le dauphin n’est pas encore arrivé c’est certainement que tout le monde est en avance… et c’est ce qui convient.
Et puis cette histoire rappelle un peu trop celle bien connue des pommes soufflées.
On rapporte que le 24 août 1837, la reine Marie-Amélie était attendue au restaurant du débarcadère du Pecq (près de Saint-Germain-en-Laye) pour la
« pré-inauguration » de l’ouverture de la ligne de chemin de fer reliant Paris à Saint-Germain. Le chef, qui était alors celui du restaurant du Pavillon Henri IV à Saint-Germain, Monsieur Collinet, avait prévu des escalopes grillées et des pommes de terre frites (la véritable inauguration eut lieu le 25). La légende raconte qu’apprenant que le train de la reine aurait du retard, Collinet retira ses frites à moitié cuites de la friture, et les replongea à l’arrivée de la reine. Il fut surpris de constater que ses pommes de terre prenaient une forme particulière… celle des pommes soufflées car elles avaient gonflé comme des balles.
Il semble cependant que l’histoire soit légendaire, que le train n’ait pas pris de retard, que la halte avant le retour à Paris n’ait duré qu’une demi-heure, ce qui était un temps insuffisant pour un repas mais qui suffisait à une simple collation servie dans la vaisselle d’or et d’argent du baron James de Rothschild.
Le Pavillon Henri IV était l’ancien pavillon de l’Oratoire du roi du Château-Neuf de Saint-Germain où naquit Louis XIV. Louis XVI l’avait donné au comte d’Artois qui souhaitait le reconstruire car le bâtiment était délabré, et ce qui en restait fut sous la Révolution vendu comme bien national.
Ce pavillon restauré et agrandi par Barthélémy Planté sous la Restauration fut cédé à la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest et bientôt loué à Jean-Louis-François Collinet qui le transforma en un restaurant rapidement célèbre par l’inventivité de son chef qui aurait également trouvé par hasard la recette de la source béarnaise.
Étonnant ce que vous nous dites Gérard; les patates aux cochons (et les maïs en épi aux vaches d’après ce qu’on m’a dit?) mais… ils mangeaient quoi les français?
Et puis les frites? Il me semble que les belges savent, eux, que les frites exigent deux cuissons… pour être dorées et croustillantes? ;-))) FdC
Zeugma
1 juillet 2015 @ 08:14
L’information est amusante et intéressante mais nous aimerions en savoir plus. Qui était cette « dauphine » ?
Lisabé
1 juillet 2015 @ 08:19
En Dauphine,c’est absolument délicieux,oh Pomme de Terre,fruit de la terre et du travail de l’homme,tu es bénie!…Saint Parmentier,gardez-la nous,toujours! ^^….Oui,c’est mon petit coup de folie du matin,là… ;-)
Suis-je la seule à penser que la pomme de terre est une bénédiction,quelque soit la manière de l’accommoder et ses mille façons de le faire? ;-))
Oh j’entends d’ici Baia me dire: »Allez Lisabé,arrête ton délire! »
Vous reprendrez bien une petite portion de hachis,ma mie? ;-)
Baia
1 juillet 2015 @ 17:47
Eh ! C’est raté Lisabé ! Vous m’avez prêté de mauvaises intentions … Je vous rassure, je suis comme vous fan de la pomme de terre sous toutes ses formes !
Lisabé
2 juillet 2015 @ 08:06
…Et pourtant,chère Baia,pour du délire dans l’expression,c’en était bien,là,et j’aurais trouvé cela très légitime! ;-))
Non,ma Mie,je ne vous prête aucune mauvaise intention,et je vous souhaite une très belle et heureuse journée!
flabemont8
1 juillet 2015 @ 18:31
Moi aussi, j’adore la pomme de terre !
Gustave de Montréal
2 juillet 2015 @ 00:50
Vive la patate !
Lisabé
2 juillet 2015 @ 08:06
Ouiii,Gustave!…Ah tiens,vous me donnez la patate,ce matin! ;-)) ^^
Lisabé
2 juillet 2015 @ 08:09
Ben tu m’étonnes…Flabemont,elle aime tout ce qui est bon! ;-))
Bonne journée à vous,petit chat…Salade de pommes de terre vinaigrette,avec oignons,aïl et ciboulette hachés,bien rafraîchie au frigo,repas idéal pour temps de canicule! ;-))
Trianon
1 juillet 2015 @ 21:37
Moi aussi, fan de patate!!
Il y a tellement de façons de la cuisiner…
Francine du Canada
1 juillet 2015 @ 23:00
Raté; je fais ce que je veux avec la « patate »; un féculent par excellence et les prisonniers en font même de « l’eau de vie »??? FdC
Lisabé
2 juillet 2015 @ 08:03
Vrai,ma mie Francine,et pas seulement les prisonniers,mais « alcool du pauvre » en général,à l’Est…cela produit même,par distillation alambiquée(!),une espèce de »vodka » de basse qualité…appelée en Allemagne »Kartoffelschnaps ».
Francine du Canada
3 juillet 2015 @ 03:56
Ah ma mie, P.E.I. est le plus grand producteur de pommes de terre du monde entier; je m’étonne qu’Actarus ne soit pas venu la vanter la patate de l’Ile du Prince Édouard ;-)) FdC
Lisabé
3 juillet 2015 @ 08:36
Actarus est en fait un grand timide,ma Mie Francine ^^…C’est la seule explication possible! ;-)))
flabemont8
1 juillet 2015 @ 08:41
Une colle : qui étaient le dauphin et la dauphine en 1864 ? Il n’y aurait pas une erreur de date ? Pardon de mon ignorance , mais vraiment , je ne vois pas ! Merci à celui ou celle qui éclairera ma lanterne !
Cosmo
1 juillet 2015 @ 09:04
Un Dauphin en 1864 ?
Cela aurait été plutôt « Pomme Prince Impérial ».
Gualbert
1 juillet 2015 @ 09:08
1684 plutôt que 1864, je pense, Régine :-) !
gaelle
1 juillet 2015 @ 09:46
Merci pour cette croustillante anecdote !
Ontheroadagain
1 juillet 2015 @ 09:49
J’adore !!!
Danielle
1 juillet 2015 @ 11:07
J’aime beaucoup les pommes dauphine.
Caroline
1 juillet 2015 @ 11:40
Merci pour cet article surprenant!
Je croyais que c’est une spécialité du Dauphiné,une des régions françaises!lol!
Claudia
1 juillet 2015 @ 19:18
moi aussi, comme le gratin dauphinois !
Lili.M
1 juillet 2015 @ 15:20
C’est bon, mais le faire soit même équivaut à un exercice physique soutenu pour obtenir d’abord une bonne pâte à choux .Mais quand c’est réussi la dégustation des pommes dauphines est un véritable délice pour les amateurs.
bianca
1 juillet 2015 @ 20:56
Pas si difficile que cela à faire, concernant la pâte à choux, prendre la peine de bien tourner la pâte après l’ajout de chaque œuf entier pour bien l’aérer avant de l’incorporer peu à peu à la purée de pommes de terre. Elles sont toujours bien réussies !
Caroline
2 juillet 2015 @ 11:03
Bianca,tout à fait!
Au début,j’ai cru ne jamais réussir à confectionner mes choux à la crème.Je suis finalement devenue ‘rapide’ avec cette opération culinaire!
Bon appétit!
bianca
2 juillet 2015 @ 16:27
Merci Caroline…Par ces temps de canicule…Bonne fin de semaine !
Francine du Canada
3 juillet 2015 @ 04:07
Disons que c’est assez « costaud » comme mixture! Disons qu’au début, j’ai dû casser une ou deux spatules hahaha! mais je réussi ça sans problème! Bon w-e amie Bianca; je croise votre route assez souvent et je vous lis toujours avec grand plaisir. Amitiés, FdC
bianca
3 juillet 2015 @ 12:32
Excellent comme entraînement pour garder de beaux bras musclés !!!
C’est toujours agréable de se retrouver sur les routes de la sympathie
Francine et, au prochain croisement !
Je vous souhaite aussi un excellent week-end !
(Ici à 50 kms de Paris il fait très chaud mais ce matin je suis allée me promener dans le parc du château près de mon domicile, calme,
ombrages, sérénité absolue !)
Francine du Canada
5 juillet 2015 @ 01:41
Bonjour Bianca, j’ai entendu parler des canicules en France (partout : NPDC, les Vosges, chez vous mais aussi au sud-est). Chez nous, c’est ensoleillé et frais mais… on sent que ça s’en vient! Je suis triste car des écureuils ont ravagé mon jardin (mangé tous les boutons de roses, 5/12 marguerites géantes, tous les lys japonais, snif, snif!). Bon dimanche, FdC
chevau léger
1 juillet 2015 @ 16:23
Un dauphin en 1864 ? IL Y A ERREUR DE DATE !
Claude-Patricia
1 juillet 2015 @ 16:51
Bonjour à tous,
Qu’est ce que c’est bon! (Avec un rôti de boeuf?)
Actarus
1 juillet 2015 @ 17:19
Il y avait bien un Dauphin en 1864.
Même que son prénom était Louis ! ;-)
Actarus
1 juillet 2015 @ 17:23
Et en 1684, il se prénommait… Charles !
Véridique. ;-)
Philippe gain d'enquin
1 juillet 2015 @ 19:34
Un Dauphin ? Un Prince Impérial ? et patate « i » et patate « a », et dire que tout à l’heure, à souper sonnant nous ne serons pas encore en « robe de champs » à tant gloser ! Eh « purée », quoi, décidez-vous il y a tant de « mousselines » à faire voler quand par hasard l’on a la frite !!A vous départager, Signé, Flo d’Or , la spécialiste des repas fins et very « chips », à l’arrière « des Dauphines »…
Lisabé
2 juillet 2015 @ 08:13
Oh,le bel avatar de retour…Je l’adore,celui-là!…Bravo,PGE!!
Philippe gain d'enquin
2 juillet 2015 @ 17:00
PGE is back… (lol)
Lisabé
3 juillet 2015 @ 08:39
Chic alors!!…De qui,déjà,le beau et ténébreux détail de ce tableau,cher PGE?
Delacroix?
Gaëlle
2 juillet 2015 @ 08:49
vous m’avez régalé !
Claude-Patricia
2 juillet 2015 @ 16:51
Bonjour à tous,
Cher Philippe,
J’ai bien aimé votre commentaire et la discrète allusion à la chanson du regretté Alain Bashung.
Et oui, joli avatar, bien que je ne reconnaisse pas ce personnage. Qui est-il donc?
Et Lisabé, si c’est vous, c’est très courageux par les temps qui courent de mettre votre photo! Mais ravie de faire votre connaissance. Actarus fut un précurseur, il avait aussi mis la sienne. (Je parle bien de la vraie).
Philippe gain d'enquin
2 juillet 2015 @ 20:41
Le peintre allemand Anselme Feuerbach (1829/1880)
Francine du Canada
3 juillet 2015 @ 04:14
Ouf! Heureuse que vous en fassiez mention PGE; je me sentais tellement coupable d’avoir vendu la mèche avec « Anselme »! FdC
Lisabé
3 juillet 2015 @ 08:41
Ah merci,j’avais répondu trop vite…Comme d’habitude!
Bon week-end à vous,cher PGE!
Lisabé
3 juillet 2015 @ 08:56
Bonjour,chère Claude-Patricia! Heureuse de vous recroiser là!
Je regrette de ne pas avoir connu le vrai minois d’Actarus…Pouvoir mettre un visage sur ses actarusades m’aurait été grande joie !…Ce qui nous met d’emblée sur un pied d’inégalité,lui et moi…Pas bien,cela!…
Enfin,lui peut superposer mes traits à mes lisabilles,qui n’égaleront jamais ses traits d’esprit,tant il est vrai que d’un mot,il habille…ou déshabille! ;-))
Bon week-end à vous,chère Claude-Patricia.
Francine du Canada
5 juillet 2015 @ 02:47
Pas de soucis Lisabé; il ne vous fera pas de procès lui… Actarus est drôle, il a beaucoup d’esprit, il aime rire et il est très agréable. FdC
Lisabé
5 juillet 2015 @ 09:09
Humm…Décidément,vu le sujet initial,tout cela nous met…en appétit,ma Mie Francine!
Car j’aime les pommes rôties,et…les personnes d’esprit !
;-))
Lady Chatturlante
2 juillet 2015 @ 12:15
C’est bien l’année 1864. En 1684, Parmentier n’était pas encore né et n’avait donc pas ramené la pomme de terre d’Amérique.
Peut-être cet hommage fut-il donné sur ordre de l’impératrice qui était légitimiste.
Claude MARON
2 juillet 2015 @ 13:59
En France comme en Angleterre, il y a toujours un roi, même s’il ne règne pas. Dans ce cas, il est roi « de jure », et s’il a un héritier, celui-ci est donc le Dauphin « de jure ». En 1864, le « roi de jure » était , je pense, déjà le comte de Chambord qui, refusant abandonner le drapeau blanc de la monarchie au profit du drapeau tricolore, ne put remonter sur le trône dans les années 1880, alors que les chambres y étaient particulièrement favorables. Perdre un trône pour un mouchoir, quel c..
Claude MARON
2 juillet 2015 @ 14:05
J’ai oublie de préciser : le comte de Chambord était le « Roi de jure » des Bourbons, descendant du roi Charles X, frère de Louis XVI et Louis XVIII.
Il devait donc en même temps y avoir de « roi de jure » Orléans, descendant du roi des Français Louis-Philippe (pas facile de s’y retrouver…)
Philippe gain d'enquin
2 juillet 2015 @ 20:51
Il eut un règne des plus rapide et éphémère pour n’être plus qu’un souverain sans trône ; le terme de roi convient sans les qualités de « De Jure » ou/et « De facto ». Il avait des droits pour une royauté Trés Chrétienne n’existant plus, personne ne peut le nier; ils sont morts avec lui. Les princes de la Maison de France n’ayant pas régné sont « rois de droit » avant de l’être très, très hypothétiquement de fait, s’il plait aux circonstances, au désir du Peuple Français en qui réside toute souveraineté, et avec le soutien éclairé de Dieu s’il lui plait de les épauler…
Gérard
3 juillet 2015 @ 09:41
L’expression « pommes dauphines » se trouverait dès 1692 selon le Robert et serait une contraction de « à la dauphine » comme on dit « à la royale ». En 1692 Louis, le dauphin, était veuf depuis 1690.
La pomme de terre était connue en France avant Parmentier et cultivée au Jardin royal de Paris vers 1660. Cependant elle était encore exceptionnelle.
Gérard
3 juillet 2015 @ 18:15
L’explication traditionnelle selon laquelle le dauphin serait arrivé en retard à un dîner et que le cuisinier aurait dû se remettre à l’ouvrage avec ses pommes déjà cuites paraît un peu improbable. D’abord je ne sais pas si l’on apprêtait déjà les quelques malheureuses pommes de terre qu’on avait du temps de Louis XIV pour des dîners avec un dauphin ou si on les laissait aux cochons. Sinon cela nous amène à l’époque de Charles X. Mais surtout j’imagine mal un cuisinier préparant à l’avance la cuisson de pommes de terre alors que l’hôte principal n’est toujours pas arrivé. Si le dauphin n’est pas encore arrivé c’est certainement que tout le monde est en avance… et c’est ce qui convient.
Et puis cette histoire rappelle un peu trop celle bien connue des pommes soufflées.
On rapporte que le 24 août 1837, la reine Marie-Amélie était attendue au restaurant du débarcadère du Pecq (près de Saint-Germain-en-Laye) pour la
« pré-inauguration » de l’ouverture de la ligne de chemin de fer reliant Paris à Saint-Germain. Le chef, qui était alors celui du restaurant du Pavillon Henri IV à Saint-Germain, Monsieur Collinet, avait prévu des escalopes grillées et des pommes de terre frites (la véritable inauguration eut lieu le 25). La légende raconte qu’apprenant que le train de la reine aurait du retard, Collinet retira ses frites à moitié cuites de la friture, et les replongea à l’arrivée de la reine. Il fut surpris de constater que ses pommes de terre prenaient une forme particulière… celle des pommes soufflées car elles avaient gonflé comme des balles.
Il semble cependant que l’histoire soit légendaire, que le train n’ait pas pris de retard, que la halte avant le retour à Paris n’ait duré qu’une demi-heure, ce qui était un temps insuffisant pour un repas mais qui suffisait à une simple collation servie dans la vaisselle d’or et d’argent du baron James de Rothschild.
Le Pavillon Henri IV était l’ancien pavillon de l’Oratoire du roi du Château-Neuf de Saint-Germain où naquit Louis XIV. Louis XVI l’avait donné au comte d’Artois qui souhaitait le reconstruire car le bâtiment était délabré, et ce qui en restait fut sous la Révolution vendu comme bien national.
Ce pavillon restauré et agrandi par Barthélémy Planté sous la Restauration fut cédé à la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest et bientôt loué à Jean-Louis-François Collinet qui le transforma en un restaurant rapidement célèbre par l’inventivité de son chef qui aurait également trouvé par hasard la recette de la source béarnaise.
Francine du Canada
5 juillet 2015 @ 02:54
Étonnant ce que vous nous dites Gérard; les patates aux cochons (et les maïs en épi aux vaches d’après ce qu’on m’a dit?) mais… ils mangeaient quoi les français?
Et puis les frites? Il me semble que les belges savent, eux, que les frites exigent deux cuissons… pour être dorées et croustillantes? ;-))) FdC