En 1837, le roi Louis-Philippe et la reine Marie Amélie viennent inaugurer la ligne de chemin de fer Paris-Saint-Germain. C’est en raison de leur retard que le cuisinier qui a préparé le repas officiel, doit retirer ses pommes de terres de l’huile. Il les y replonge ensuite, ce qui leur donne alors un aspect de beignets, c’est ainsi que vit le jour la recette des « pommes soufflées ».
framboiz 07
30 juin 2016 @ 08:03
Encore une invention , due à un problème !
C’est sur cette ligne, que moururent Dumont D’Urville & son épouse : On lui doit la Terre Adélie , la Vénus de Milo .Il convoya Charles X , vers l’exil anglais .
Véronick
30 juin 2016 @ 08:20
Ainsi, on pourrait dire que le Roi Louis-Philippe et son épouse la Reine Marie- Amélie sont à l’initiative de cette recette…..!
Sans leur retard, on ne connaitrait donc pas les pommes soufflées………!!!!
Véronick
Muscate
30 juin 2016 @ 08:56
La pomme de terre dans tous ces états,j’adoore!!…on continue de constater que de nombreuses recettes « accidentelles » sont devenues des succès!
sonia
30 juin 2016 @ 10:06
C’est très bon mais pas si facile à faire…
JOSEPHINE
30 juin 2016 @ 10:42
J’adore ça ! et ça me donne faim à cette heure !
Caroline
30 juin 2016 @ 13:30
On aurait dù nommer ces pommes de terre ‘ Pommes de terres Collinet ‘ accidentiellement préparées par lui-mème!
Ce n’est qu’une légende sur l’ arrivée du train d’après la lecture intéressante de cet article chez Tonton Google ‘ Pommes soufflées-Wikipédia’!
Mary
30 juin 2016 @ 13:43
Bonjour la ligne William Saurin !
clement
30 juin 2016 @ 14:10
tout cela est bien appétissant !
Myriam
30 juin 2016 @ 14:52
Ca me semble très appétissant!
*Gustave de Montréal
30 juin 2016 @ 16:06
c’est un délice
Corsica
30 juin 2016 @ 16:29
Je suis toujours amusée de voir que des hasards, des contretemps, des erreurs sont souvent à l’origine de nouveautés ou de grandes découvertes. C’est le cas de ces pommes soufflées mais aussi de la tarte tatin ou de la pénicilline. En effet, en 1928, à son retour de vacances, Fleming constate que les boîtes de Pétri dans lesquelles il a laissé ses staphylocoques sont recouvertes d’une sorte de coton. Elles ont été contaminées par un champignon (penicillium notatum) présents dans d’autres boîtes. Fleming, qui n’est pas chercheur pour rien, constate qu’autour du champignon les bactéries ont disparu. Il en déduit que ce champignon secrète une substance antibactérienne qu’il nomme la pénicilline. Il écrit un article et continue ses recherches sans réaliser qu’il vient de découvrir ce qui deviendra une dizaine d’années plus a tard le premier antibiotique. Il faudra attendre l’été 1940 pour que Florey et son équipe lance la machine qui sauvera des millions de vies. L’ antibiothérapie, qui a révolutionné la médecine, était née.
Cosmo
30 juin 2016 @ 17:46
Merci, chère Corsica, pour cette explication !
framboiz 07
30 juin 2016 @ 19:50
Vous avez raison :C’est l’exemple même de l’invention due à une erreur ou à un oubli, contretemps.
Après la guerre , les troupes américaines avaient des antibiotiques , qui ont permis de sauver des malades, sur leur trajet de libérateurs .Dans ma ville , où résida Eisenhower , les gens racontent encore le miracle , que fut ce nouveau médicament .
Caroline
1 juillet 2016 @ 10:35
Corsica,
Pourrait-on se rappeler que les yaourts sont inventés à partir de la pénicilline par un certain Carasso originaire de Turquie avec sa première entreprise Danone à Barcelone en Espagne en 1919? Est-ce exact?
Merci d’avance!
Corsica
3 juillet 2016 @ 00:27
Caroline, on ne peut pas dire que le yaourt a été « inventé » par Carosso car les laits spontanément fermentés existent depuis la nuit des temps et ont toujours été consommés par certaines populations, tout particulièrement celles des Balkans et de l’empire Ottoman. Le mérite de Carosso, c’est d’avoir fabriqué en atelier ce qui se faisait avant naturellement. Mais cela n’a été possible que parce qu’à la fin du XIXe siècle, un chercheur a identifié dans les yaourts bulgares ce qui donnait l’acidité. Sans cette découverte, il n’y aurait pas eu d’industrialisation des yaourts. Carosso , qui appelait son fils Daniel, « Danon », décida de nommer ses yaourts Danone. Et c’est ce fils qui, plus tard, à Paris, construisit une usine qu’il nomma Danone. Un futur empire était né. Bon dimanche.
Dagobert 1er
30 juin 2016 @ 16:45
J’imagine ici que les opposants au roi/félon/traître/fils de régicide etc. vont encore trouver à redire sur cette recette louis-philipparde!
En espérant que l’aspect humoristique de ce post soit perçu!!
framboiz 07
30 juin 2016 @ 19:51
La politesse, exactitude des rois , sauf Louis-Philippe , ce jour-là !