Après avoir célèbré le 500ème anniversaire de la mort de Léonard de Vinci à Amboise, Emmanuel Macron et son homologue Italien Sergio Mattarella ont rencontré 500 jeunes français et italiens venus participer à des ateliers au château de Chambord.
On reconnaît sur cette photo à gauche le comte Jean d’Haussonville, Directeur général du domaine national de Chambord, au côté des chefs d’États italien et français venus célébrer à Chambord la culture européenne et l’amitié franco-ialienne retrouvée. (Merci à Charles – Photo DR)
Rose
3 mai 2019 @ 07:17
On cherche en vain la moindre présence féminine parmi les officiels… elle sera longue la route vers la parité.
Belle journée
Rose
chiche claudette
3 mai 2019 @ 07:40
Le Président ferait mieux de s’occuper de la France qui va mal
Leonor
4 mai 2019 @ 19:27
En s’occupant de l’international , et ici , de l’Italie en particulier, le Président s’occupe de la France, et bien.
Il faudrait un peu enlever vos oeillères franco-françaises. Le monde est vaste.
Kardaillac
3 mai 2019 @ 07:42
La séquence est un peu ratée pour le comte de Paris venu en famille de Dreux pour donner l’illusion d’être chez lui à Amboise.
Dès le départ il se laisse placer en bout de ligne pour les présentations (c’est la place de la domesticité quand un domaine reçoit un VIP) alors qu’il aurait dû être le premier accueillant ses invités dans son rôle de maître de céans (le château est une propriété privée). Il pouvait insister auprès du protocole.
Puis il semble avoir été évacué de la promenade officielle de découverte de « son » château. Il faut dire qu’on ne cadre pas la marmaille dans les caméras du pouvoir.
Mais ce n’est pas son château, il appartient à la Fondation Saint-Louis présidée par M. François Voss, il n’y habite pas, et les services de l’Elysée savent tout cela.
Sur les ondes, il est passé inaperçu sauf sur FR3 qui a coupé avant la poignée de main. Sur toutes les chaînes la star du jour avait cinq cents ans et était italienne.
Le prétendant a besoin d’un coach professionnel.
Bernadette
3 mai 2019 @ 21:08
Il s’agit ici de Chambord, Kardaillac, et non d’Amboise….ne voyez donc pas Jean partout !
Gérard
6 mai 2019 @ 00:11
D’autant plus que la vedette c’était évidemment Léonard de Vinci.
Laurent F
3 mai 2019 @ 08:44
Mais ou est passé Jean ? Suis-je bête, il fallait tout ranger à Amboise -:))
Glumuke
3 mai 2019 @ 09:08
Comment? Ces messieurs augmenteraient-ils le domaine sans la compagnie du Roy? Étrange…..
Glumuke
3 mai 2019 @ 09:09
Arpenteraient-ils? ( bien-sûr)…
Menthe
3 mai 2019 @ 09:53
Même pas sûr que les Vendôme y étaient !!
Gatienne
3 mai 2019 @ 10:03
On revient ici à un commentaire plus approprié aux circonstances que lors des précédentes présentations de ces événements ;-)
Mary
3 mai 2019 @ 10:05
Exit le comte de Paris ?
Charlotte
3 mai 2019 @ 10:30
Alors là, il me semble que l’on peut parler « d’accueil » des chefs d’Etat par le comte d’Haussonville en sa qualité de Directeur général du Domaine National de Chambord.
Il en fut tout autrement, pardonnez moi en ce qui concerne la visite à Amboise.
Le comte et la comtesse de Paris ont été présentés au président de la République et les enfants lui ont été présentés.
Pour avoir vu les photos de l’hommage rendu à Léonard de Vinci à l’intérieur de la Chapelle, je n’y ai vu que les deux présidents, point de comte de Paris qui pourtant à lire certains commentaires recevait chez lui.
Comme il a été dit par d’autres ici, l’ordre républicain prévalait, qu’on le veuille ou pas.
Finalement tout cela est un peu triste, triste parce qu’à avoir voulu prêter au comte de Paris une importance qu’il n’avait pas en la matière, « entretiens avec la Présidence concernant l’organisation de la cérémonie » etc force est de constater qu’il n’en n’est rien.
A trop vouloir le mettre en avant, on obtient le résultat inverse à savoir réaliser qu’il ne représente que lui-même.
Je ne remets pas en cause ici sa filiation, ni sa place dans l’histoire de tous les monarques qui ont fait la France, sa position d’héritier, simplement je ne le vois pas comme porteur d’un avenir.
Je ne mets pas non plus en doute ses qualités personnelles, de fils, de frère, d’époux, de père.
Non, mais c’est tout. Il manque un souffle !
HRC
4 mai 2019 @ 08:11
Tout bon, Charlotte, mais je mettrais réalisme à la place de souffle. Ou avant.
Muscate-Valeska de Lisabé
4 mai 2019 @ 19:54
Comme souvent,chère Charlie,nous sommes entièrement d’accord ici.
Ça peut être considéré comme triste…ou tout son contraire.En résumé,les Vendôme
ont rencontré publiquement le président, à l’occasion d’un événement…comme tant de gens.
Je vous embrasse♡.
Gérard
7 mai 2019 @ 22:05
Vous êtes vraiment mauvaises joueuses Mesdames.
Muscate-Valeska de Lisabé
8 mai 2019 @ 15:38
…Et vous un peu tricheur,cher Gérard ;-).
Gérard
9 mai 2019 @ 18:28
Je ne vois pas en l’espèce chère Muscate quelle tricherie j’aurais voulu ou pu commettre.
Gérard
7 mai 2019 @ 21:59
Charlotte le président de la République connaissait déjà le prince Jean et son épouse. Il ne s’agissait pas d’une présentation de l’un à l’autre. Aujourd’hui beaucoup de châteaux appartiennent à une fondation ou à une SCI mais il est beaucoup plus agréable d’être reçu par la famille quel que soit le statut du châtelain. Et les Italiens aiment les familles. Et puis c’était une visite à caractère historique alors être reçu par le chef de la maison de France le descendant de François Ier, c’était quand même pas mal dans une rencontre familiale franco-italienne autour de Léonard notre grand Léonard commun.
Et que voulez-vous ça ne pouvait pas être chez Louis de Bourbon, il n’a pas de domicile en France, ses ancêtres ont décroché depuis 300 ans. Et je sais bien que vous allez me répondre comme tout le monde que vous ne roulez pas pour Louis de Bourbon.
Huguet
3 mai 2019 @ 10:52
Chambord 1er étage inaccessible
Pierre-Yves
3 mai 2019 @ 10:59
L’amitié franco-italienne n’aurait pas dangeureusement tangué s’il n’y avait que le Président Matarella. C’est le gouvernement de Salvini (qui n’en est d’ailleurs pas le chef, mais il semble faire la pluie et le beau temps en Italie) qui est l’ennemi, ou en tout cas l’opposant, d’Emmanuel Macron.
Jean Pierre
3 mai 2019 @ 11:08
Le comte de Chambord n’accueille pas ?
Muscate-Valeska de Lisabé
4 mai 2019 @ 19:55
Hahaha! …VdM….;’).
septentrion
3 mai 2019 @ 11:13
Concernant le château de Chambord, RMC Story a diffusé un intéressant documentaire que l’on peut encore visionner en replay jusqu’au jeudi 9 mai à 00 : 00 h.
COLETTE C.
3 mai 2019 @ 11:38
Il n’y a pas les épouses ?
mariejeanne
5 mai 2019 @ 13:50
Colette C, Brigitte avait emmené la fille…du président italien (veuf) se rafraichir !
aubert
3 mai 2019 @ 12:04
Ici c’est bel et bien Monsieur d’Haussonville qui, directeur général du domaine de Chambord, accueille les présidents.
Haut fonctionnaire chargé par la République française de la gestion d’un élément du patrimoine national, monsieur d’Haussonville remplit, à l’inverse de son-beau-frère simple particulier, un rôle officiel.
Point question de bluff ou de chimère.
Mary
3 mai 2019 @ 20:39
C’est son moment de gloire, à Mr d’ Haussonville !
Au fait, est-il ou n’est-il pas « comte » ?
Messieurs les spécialistes, à l’aide !
Gérard
8 mai 2019 @ 22:38
En ce qui concerne les d’Andlau d’Haussonville ils sont agnatiquement des d’Andlau. Il s’agit d’une famille originaire d’Alsace et spécialement d’Andlau près de Sélestat et que l’on trouve depuis les années 1144, 1163, 1179 et 1180. Ils sont d’extraction chevaleresque, de noblesse immémoriale, et sont cités depuis l’empereur Othon III en 1001 comme premier des quatre chevaliers héréditaires du Saint-Empire. Le titre immatriculé en 1547 est renouvelé par Charles Quint le 31 décembre 1550. L’empereur Léopold confère le titre de baron du Saint-Empire à Vienne le 16 mars 1676. La branche d’Andlau Hombourg est élevée au titre de comte autrichien par l’empereur François Ier d’Autriche à Vienne le 2 juin 1817.
Le titre de baron est porté alors par tous les membres masculins de la famille.
François Éléonor, lieutenant général, est fait comte par lettres patentes de Louis XV en 1750. Le titre de baron français est reconnu à tous les membres de la famille par ordonnance du même roi à Compiègne le 6 août 1773. La famille est admise aux honneurs de la cour en 1738, 1764, 1773 et 1787. Napoléon Ier donne le titre de baron d’Empire à Hardouin Gustave d’Andlau le 6 octobre 1810 et celui de comte à son frère Félix le 14 avril 1810. Félix le 5 novembre 1827 accède à la paierie héréditaire sous le roi Charles X. Il est confirmé baron par lettres patentes du 15 novembre 1828. La branche des comtes d’Empire est éteinte dans les mâles depuis 1892. La branche d’Andlau Hombourg est élevée au titre de comte autrichien par François Ier empereur d’Autriche à Vienne le 2 juin 1817. Leur noblesse est reconnue dans le grand-duché de Bade.
Tous les garçons de la famille peuvent donc porter le titre de comte selon les règles du Saint Empire. En France ils peuvent légitimement porter également le titre de baron qui a été reconnu à tous.
La branche qui nous intéresse a relevé le nom de Clairon d’Haussonville par décret du 3 février 1955.
Cette famille est originaire d’Ornans en Franche-Comté et d’extraction chevaleresque et elle a été trois fois admise au XVIIIe siècle en 1756, 1770 et 1789 aux honneurs de la cour et reçut le titre de comte et pair pour l’aîné le 31 août 1817 avec confirmation le 30 avril 1822.
Cette famille constituait l’un des petits chevaux de Lorraine et elle s’est éteinte à Paris le 1er septembre 1924. Elle s’est éteinte avec un académicien français et en ligne féminine en 1972 avec sa fille Elisabeth comtesse Le Marois qui habitait le château de Coppet, le célèbre château de son ancêtre Madame de Staël en Suisse qui est aujourd’hui la propriété de sa descendance de la famille d’Andlau de Clairon ou Cleron d’Haussonville. L’académicien était Othenin de Clairon, comte d’Haussonville, député, neveu du duc de Broglie et qui fut chef du bureau politique du Comte de Paris Philippe VII et n’eut pas de fils de son mariage avec Mademoiselle Pauline d’Harcourt.
Mais cette branche s’est donc éteinte dans la famille d’Andlau et là le titre ne peut être qu’un titre de courtoisie puisque la famille est éteinte dans les mâles.
Muscate-Valeska de Lisabé
4 mai 2019 @ 20:15
Bizarre comme certains êtres inspirent d’emblée les meilleurs sentiments,rien qu’en apparaissant,tandis que d’autres nous laissent indifférents,même en s’agitant.C’est bien le cas de ces deux Jean.
Bernadette
6 mai 2019 @ 16:01
Indifférents ???? Jean d’Orléans ? Vous plaisantez….! D’après ce qu’on peut lire, il est loin de provoquer l’indifférence ! Un tel déchaînement d’antipathie n’a rien à voir avec l ‘indifférence ! Nous n’avons pas la même lecture des commentaires !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 mai 2019 @ 19:57
Je parle de MON ressenti devant Jean,teinté d’une pointe d’antipathie.Bref,un sentiment instinctif plus négatif que positif.
Gérard
7 mai 2019 @ 22:12
Mais quand on connaît le prince Jean on ne peut que l’aimer.
Gérard
7 mai 2019 @ 22:10
Ah je vois que vous parlez maintenant comme les rois Muscate à la première personne du pluriel.
Muscate-Valeska de Lisabé
8 mai 2019 @ 15:43
Gérard, je me sens en effet la parfaite égale de votre cher comte,mon Ami,et ce sans aucun complexe,car je n’ai pas de mal à l’être.
Gérard
7 mai 2019 @ 22:08
Oui un simple particulier qui est chef de la maison de France et je me demande même si ce n’est pas pour ça qu’on en parle ici.
Caroline
3 mai 2019 @ 12:31
Au point de vue artisanal, la classe française s’ accorde toujours avec le goût italien.
Y- aurait-il des expositions sur la culture franco-italienne au château de Chambord?
Hadrien-Marie
3 mai 2019 @ 12:53
Et beau frère du Comte de Paris. Leurs deux charmantes épouses sont sœurs.
Karabakh
3 mai 2019 @ 18:21
La République n’en a cure, désolé de devoir vous l’apprendre.
Gatienne
5 mai 2019 @ 12:38
Qui ne le sait pas en tant que lecteur fidèle de ce site ?
De toute façon, cette rencontre n’était pas d’ordre familial et encore moins placée sous le patronage de ces dames : la photo publiée devrait être suffisamment explicite !
Esquiline
3 mai 2019 @ 12:54
Et deux jours auparavant …
https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/04/26/le-ministre-de-l-education-nationale-prepare-l-asphyxie-de-l-enseignement-de-l-italien_5455483_3232.html
No comment, meglio
Menthe
4 mai 2019 @ 07:07
Voilà qui est regrettable, Esquiline !!
beji
3 mai 2019 @ 13:05
Brigitte Macron toujours perchée sur des chaussures à talons hauts,alors qu’elle ne tient pas l’équilibre,n’a pas dû être à la fête sur les pavés.
Brigitte - Anne
3 mai 2019 @ 19:33
Kardaillac, je ne cesse de le répéter. Il est très mal conseillé. Et puis surtout au lieu d entretenir des chimères, qu il fasse faire un sondage pour avoir une petite idée de la réalité sur l avenir que le peuple français lui accorderait. Je le pense bon mari, bon père, excellent ami ou collaborateur. Mais aucune envergure comme prétendant au » trône de France ». Qu il aille prendre des cours, auprès du général Pierre de Villiers pour avoir une petite idée de ce qu est un Chef.
HRC
5 mai 2019 @ 10:20
Hélas, Brigitte-Anne, il suit plutôt Philippe que Pierre de Villiers, lequel a écrit aussi sur l’Etat, et je pense comme vous qu’il se trompe.
Gérard
7 mai 2019 @ 22:17
C’est parfaitement ridicule de vouloir faire passer le comte de Paris pour un benêt. C’est tout à fait le contraire de ce qu’il est. Mais quand on ne connaît pas les gens et qu’on ne cherche pas à les connaître c’est tellement plus facile d’en dire du mal.
Brigitte - Anne
3 mai 2019 @ 19:35
Charlotte, complètement d accord avec vous. Brigitte Anne
Nemausus
3 mai 2019 @ 22:38
En fait si le chargé de com de Jean, connu de tous, n’avait pas fait des pied et des mains pour que des journaux et blog parlent du soi-disant accueil des présidents français et italien par Jean d’Orléans, inventant une importance de son poulain qui n’existe que dans son espérance enfumée, on peut légitimement se demander si seulement un article concernant une rencontre de chefs d’état républicains aurait eu sa place sur N&R en temps normal!
Mais voilà, avec la propagande « idolâtre » à marché forcée, voulu par le chargé de com orléaniste, on a eu droit, non pas à 1 mais à 6 articles sur N&R depuis le 11 avril pour tenter vainement de faire passer la désinformation orléaniste, qui, finalement, devant une telle évidente tromperie, se retourne contre le prétendant emmêlé, peut être contre son gré, dans ces fake news !
Mayg
5 mai 2019 @ 10:30
+ 100
Mayg
4 mai 2019 @ 00:47
Jean d’Haussonville à un autre style que son beau frère d’Orléans, et lui au moins participé à la visite, il n’est pas simple figurant…
Gérard
7 mai 2019 @ 22:01
Ben oui le comte de Paris n’est pas un conservateur de musée.
Charlotte
8 mai 2019 @ 12:42
C’est un peu méchant pour le beau-frère de Jean d’Orléans !
Et puis vous savez il vaut mieux parfois être conservateur de musée, que conservateur tout court…
Gérard
9 mai 2019 @ 18:34
Tout dépend de ce que l’on conserve, ce qui est bon, il vaut mieux le conserver. Il ne faut pas vouloir changer pour le plaisir de changer.
Ghislaine-Perrynn
5 mai 2019 @ 13:42
Ah oui Mayg j’ai pu constater le style de Jean d’Haussonville bras ballants alors que sa jeune épouse essaie de lui donner le bras et de le retenir vers elle car il marche devant .
(Lors des obsèques du Comte de Paris )
Il est des paysans , surtout sur les bords de Loire qui sont peut être manants de définition mais aristodrates dans leurs manières.