Le roi et la reine des Belges étaient en visite au DVI, le service d’identification des victimes de la police fédérale. (Copyright photos : Palais royal)
La DVI a 30 ans.
Sa première grosse intervention s’est déroulée lors du naufrage du ferry « herald of free enterprise », où 193 personnes se sont noyées au large de Zeebrugge.
La DVI travaille en Belgique ( ex attentats de 2016) mais aussi à l’étranger ( ex tsunami de l’océan indien en 2004) et identifie aussi des corps inconnus .
Sur la photo, on voit le secrétaire général d’interpol Jürgen Stock et la commissaire générale de la police fédérale Catherine De Bolle.
Cette tenue avec une taille haute n’avantage pas vraiment Mathilde.. Une jupe crayon ainsi qu’un haut dans un tissu plus léger auraient été plus chic..!
Je trouve très étonnante la présence de la reine dans une administration de cette nature. N’ayant aucune reconnaissance ou rôle constitutionnels, il faut que les belges aient confiance en elle.
Même si elle n’est pas Madame tout le Monde, il me semble que tout ce qui touche à l’armée ou à la police ne peut être communiqué à des personnes non dépositaires d’une parcelle du pouvoir.
Hum, hum, hum… Le service d’identification des victimes. Pas drôle, ça. Ou alors très drôle.
J’aime bien les anthropologues, les légistes et autres fadas du nonosse. Ce sont des fouille-merde de génie, qui ne laissent passer aucun détail, qui font jusqu’au fond des choses. Ils en connaissent un rayon non seulement sur les tibias, mais aussi sur l’âme humaine.
Et ils déploient un humour désopilant. De quoi s’accrocher aux branches.
Il fut un temps où nous nous fréquentions beaucoup.
Il faut saluer le travail de ces équipes qui en mettant un nom sur des corps ou des lambeaux de corps, que ce soit dans leurs pays ou à l’international, permettent aux familles de victimes d’attentats, de meurtres ou de catastrophes naturelles de connaître la vérité pour tenter de l’apprivoiser et si possible amorcer un travail de deuil.
Belle jupe et beau chemisier, mais mal portés par Mathilde qui a le buste trop court pour ce genre de tenue. Elle ne devrait pas porter de chemisier rentré dans la jupe, plutôt un joli haut assez long dans une belle maille, ou une veste qui allongerait la silhouette.
Je suis tout à fait de votre avis Lisie. Mathilde est :TRÈS,TRES,TRES MAL CONSEILLEE .
Je me pose souvent la question et je ne suis pas la seule, ses conseillers baissent ils les bras où ils n’ont plus d’inspiration ou serait ce de la moquerie ?Je trouve cela désolant. Quitte à le répéter .
Andrea.
« Le service d’identification des victimes de la police fédérale (DVI) fête ses 30 ans: « Nous avons besoin de rester soudés pour traverser les épreuves psychiques que nous rencontrons »
Publié le 23 novembre 2017 à 14h52
Le service d’identification des victimes de la police fédérale (DVI) fête ses 30 ans:
Le DVI de la police fédérale fête ses 30 ans. Son travail est reconnu tant en Belgique qu’à l’étranger, où il est souvent sollicité pour des formations ou un soutien logistique. Reportage de Céline Gransard et Éric Poncelet.
Le roi et la reine, venus célébrés les 30 ans du DVI, unité su service fédérale spécialisé dans l’identification des victimes. Elle a été créé en 1987 juste après le naufrage du Herald of Free Enterprise à Zeebrugge. Depuis l’équipe est régulièrement mobilisée sur des catastrophes en Belgique ou à l’étranger. Des membres du DVI ont notamment été envoyés en Asie du sud-est suite au Tsunami de 2004, mission qui restera gravée dans leur mémoire.
« Nous sommes conscients de l’importance de notre travail qui vise à donner aux familles ayant perdu plusieurs de leur proches l’occasion de faire leur deuil. Je suis entouré de collègues de grande qualité qui sont toujours prêts à s’entraider. Nous avons besoin de rester soudés pour traverser les épreuves psychiques que nous rencontrons et nous parlons beaucoup les uns avec mes autres, surtout après nos journées de travail », déclare Bernard Libbrecht, membre du DVI.
L’expertise du DVI belge reconnue sur la scène internationale
Leur mission consiste à recueillir des données sur les dépouilles des victimes mais aussi collecter des informations d’identification auprès des familles. Les membres du DVI sont régulièrement sollicités à l’étranger, notamment pour donner des formations.
« Il faut savoir que le DVI est une des seules unités en Europe qui a une équipe permanente », indique Dany Lesciauskas. « Le travail quotidien fait que, au fur et à mesure, on perfectionne les techniques d’identification. Il y a un partenariat qui se fait avec les collègues étrangers qui enrichit notre expérience et nous permet d’être reconnus au niveau international », explique-t-il.
Le DVI belge est composé de 7 permanents appelables 24 heures sur 24 et de 120 personnes formées spécialement pour les épauler. Des hommes et des femmes qui depuis trente ans œuvrent pour restituer les corps des victimes à leurs proches pour permettre à ceux-ci d’entamer leur processus de deuil. »
ml
25 novembre 2017 @ 06:01
Voilà une élégante Mathilde, ici!
J’aime beaucoup sa tenue!
ml
Vassili
25 novembre 2017 @ 06:03
Programme chargé pour le roi: deux présidents et une visite dans une journée!
DEB
25 novembre 2017 @ 08:04
La DVI a 30 ans.
Sa première grosse intervention s’est déroulée lors du naufrage du ferry « herald of free enterprise », où 193 personnes se sont noyées au large de Zeebrugge.
La DVI travaille en Belgique ( ex attentats de 2016) mais aussi à l’étranger ( ex tsunami de l’océan indien en 2004) et identifie aussi des corps inconnus .
Sur la photo, on voit le secrétaire général d’interpol Jürgen Stock et la commissaire générale de la police fédérale Catherine De Bolle.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 novembre 2017 @ 10:02
Chemise d’inspiration militaire bien choisie par Mathilde pour cette sortie.
Alinéas
25 novembre 2017 @ 10:26
Cette tenue avec une taille haute n’avantage pas vraiment Mathilde.. Une jupe crayon ainsi qu’un haut dans un tissu plus léger auraient été plus chic..!
Jean Pierre
25 novembre 2017 @ 11:28
Je trouve très étonnante la présence de la reine dans une administration de cette nature. N’ayant aucune reconnaissance ou rôle constitutionnels, il faut que les belges aient confiance en elle.
Même si elle n’est pas Madame tout le Monde, il me semble que tout ce qui touche à l’armée ou à la police ne peut être communiqué à des personnes non dépositaires d’une parcelle du pouvoir.
Gibbs ??
26 novembre 2017 @ 11:11
Jean Pierre,
Bonne interrogation…
Leonor
25 novembre 2017 @ 15:58
Hum, hum, hum… Le service d’identification des victimes. Pas drôle, ça. Ou alors très drôle.
J’aime bien les anthropologues, les légistes et autres fadas du nonosse. Ce sont des fouille-merde de génie, qui ne laissent passer aucun détail, qui font jusqu’au fond des choses. Ils en connaissent un rayon non seulement sur les tibias, mais aussi sur l’âme humaine.
Et ils déploient un humour désopilant. De quoi s’accrocher aux branches.
Il fut un temps où nous nous fréquentions beaucoup.
Vitabel
25 novembre 2017 @ 16:30
Les poches sur la poitrine n’ont pas lieu d’être et la couleur est fadasse.
monica
25 novembre 2017 @ 19:43
Très jolie tenue de Mathilde, même si le beige donne mauvaise mine
Corsica
25 novembre 2017 @ 19:57
Il faut saluer le travail de ces équipes qui en mettant un nom sur des corps ou des lambeaux de corps, que ce soit dans leurs pays ou à l’international, permettent aux familles de victimes d’attentats, de meurtres ou de catastrophes naturelles de connaître la vérité pour tenter de l’apprivoiser et si possible amorcer un travail de deuil.
Lisie
25 novembre 2017 @ 22:30
Belle jupe et beau chemisier, mais mal portés par Mathilde qui a le buste trop court pour ce genre de tenue. Elle ne devrait pas porter de chemisier rentré dans la jupe, plutôt un joli haut assez long dans une belle maille, ou une veste qui allongerait la silhouette.
granny
26 novembre 2017 @ 09:13
La blouse dans la jupe ne l’avantage pas !
Andrea
26 novembre 2017 @ 14:32
Je suis tout à fait de votre avis Lisie. Mathilde est :TRÈS,TRES,TRES MAL CONSEILLEE .
Je me pose souvent la question et je ne suis pas la seule, ses conseillers baissent ils les bras où ils n’ont plus d’inspiration ou serait ce de la moquerie ?Je trouve cela désolant. Quitte à le répéter .
Andrea.
dradomir_toujours aussi bête
26 novembre 2017 @ 17:26
Qui est le « Monsieur » à côté de la reine ?
……………………………….
Teresa 2424
27 novembre 2017 @ 03:27
D’accord : »ml »;
Gibbs ??
27 novembre 2017 @ 09:54
Avec la permission de Régine.
Source : RTBF
« Le service d’identification des victimes de la police fédérale (DVI) fête ses 30 ans: « Nous avons besoin de rester soudés pour traverser les épreuves psychiques que nous rencontrons »
Publié le 23 novembre 2017 à 14h52
Le service d’identification des victimes de la police fédérale (DVI) fête ses 30 ans:
Le DVI de la police fédérale fête ses 30 ans. Son travail est reconnu tant en Belgique qu’à l’étranger, où il est souvent sollicité pour des formations ou un soutien logistique. Reportage de Céline Gransard et Éric Poncelet.
Le roi et la reine, venus célébrés les 30 ans du DVI, unité su service fédérale spécialisé dans l’identification des victimes. Elle a été créé en 1987 juste après le naufrage du Herald of Free Enterprise à Zeebrugge. Depuis l’équipe est régulièrement mobilisée sur des catastrophes en Belgique ou à l’étranger. Des membres du DVI ont notamment été envoyés en Asie du sud-est suite au Tsunami de 2004, mission qui restera gravée dans leur mémoire.
« Nous sommes conscients de l’importance de notre travail qui vise à donner aux familles ayant perdu plusieurs de leur proches l’occasion de faire leur deuil. Je suis entouré de collègues de grande qualité qui sont toujours prêts à s’entraider. Nous avons besoin de rester soudés pour traverser les épreuves psychiques que nous rencontrons et nous parlons beaucoup les uns avec mes autres, surtout après nos journées de travail », déclare Bernard Libbrecht, membre du DVI.
L’expertise du DVI belge reconnue sur la scène internationale
Leur mission consiste à recueillir des données sur les dépouilles des victimes mais aussi collecter des informations d’identification auprès des familles. Les membres du DVI sont régulièrement sollicités à l’étranger, notamment pour donner des formations.
« Il faut savoir que le DVI est une des seules unités en Europe qui a une équipe permanente », indique Dany Lesciauskas. « Le travail quotidien fait que, au fur et à mesure, on perfectionne les techniques d’identification. Il y a un partenariat qui se fait avec les collègues étrangers qui enrichit notre expérience et nous permet d’être reconnus au niveau international », explique-t-il.
Le DVI belge est composé de 7 permanents appelables 24 heures sur 24 et de 120 personnes formées spécialement pour les épauler. Des hommes et des femmes qui depuis trente ans œuvrent pour restituer les corps des victimes à leurs proches pour permettre à ceux-ci d’entamer leur processus de deuil. »