La presse belge dit que « le Roi Philippe, seul roi à Davos, prépare sa prochaine visite d’état en Chine , et aura une série de rencontres avec des ONG, actives en particulier dans les secteurs de la jeunesse et de l’emploi des jeunes non qualifiés . »
Quant au programme de la Reine, il n’est pas précisé .
Il n’y a aucun voyage d’Etat programmé pour l’instant. Le couple royal a entrepris uniquement une série de visites officielles de courtoisie d’une seule journée aux 6 pays fondateurs de l’Union Européenne.
Ce qui est bizarre, c’est que tous les journaux ont repris ce texte, à la virgule près. Ils ont donc reçu un communiqué, soit du palais royal, soit de l’agence Belga.
Je profite de l’occasion pour vous féliciter pour votre blog, très intéressant.
Je le lis et l’apprécie.
Merci pour votre commentaire pour mon blog. Je ne sais pas d’où vient l’erreur, mais certains assimilent aussi la tournée des 6 pays fondateurs de l’Union Européenne à des voyages d’Etat, alors que ce n’est pas le cas.
De tout cœur avec vous Gibbs, Mathilde n’en rate pas une pour se mettre en avant et se faire valoir… Mais qu’attend donc Philippe pour y mettre de l’ordre, c’est lui le chef de meute non!!!! donc en première ligne puis Mathilde à deux pas derrière.
Belle après midi à tous,
Guy Martin
Il est étonnant que monsieur Martin, n’ait pas pensé que les souverains belges sont à Davos pour recevoir des conseils de la part de financiers distingués afin de placer au mieux la succession de tante Fabiola.
C’est bien, mais concrètement, ils en retirent quoi ?
Des contacts importants ? des éléments de réflexion ? des idées ou des initiatives dont peuvent s’inspirer les associations ou les pouvoirs publics ?
Si j’étais Belge, j’aimerais bien qu’on me le précise.
Forum de Davos: les grands se réunissent pour «remodeler le monde»
Vue aérienne du Centre des congrès de Davos qui accueille le Forum économique mondial.
Vue aérienne du Centre des congrès de Davos qui accueille le Forum économique mondial.
EUTERS/Ruben Sprich
Par RFI
Le Forum économique mondial, rendez-vous prisé des grands patrons et des principaux dirigeants de la planète, ouvre ses portes ce mercredi 22 janvier à Davos, petite station de sport d’hiver des Alpes suisses. Plus de 1 500 dirigeants d’entreprises et une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont le Britannique David Cameron, la Brésilienne Dilma Rousseff, le Nigérian Goodluck Jonathan ou encore l’Iranien Hassan Rohani sont attendus pour quatre jours de débats sur les moyens de « remodeler le monde », un monde qui se remet lentement d’une crise sans précédent.
Avec notre envoyée spéciale, Mounia Daoudi
Un vent d’optimisme souffle cette année sur Davos et son 44e forum. L’économie mondiale commence enfin à se relever des crises qui se sont succédé depuis la faillite, en 2008, de la banque américaine Lehmann Brothers.
Un optimisme prudent toutefois car, si le pire semble derrière nous, les préoccupations sont nombreuses. Les économies émergentes, qui ont longtemps tiré la croissance mondiale, sont aujourd’hui fragilisées. En Europe, la reprise est molle, le chômage galopant et le risque de déflation bien réel. La fin programmée de la très accommandante politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (FED) inquiète, et au Japon, l’absence de réformes structurelles ne laisse présager rien de bon.
Autant de sujets de débats pour les quelque 2500 participants attendus à Davos. Ce forum acquis au libéralisme se penchera également – et c’est une première – sur l’accroissement des inégalités de richesses, perçu comme un facteur de risque majeur. Les révolutions arabes sont là pour le rappeler si nécessaire.
L’ONG Oxfam a ainsi calculé que les 85 personnes les plus riches de la planète détiennent autant de richesse que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, soit trois milliards et demi de personnes.
L’Afrique, « une économie prometteuse »
L’Afrique sera bien représentée cette année encore, et notamment l’Afrique du Sud, principale puissance économique du continent. Jabulano Moleketi est le président de la Banque de développement de cet Etat. C’est son premier Davos.
« Je viens d’Afrique. Nous faisons partie de ces énonomies émergentes, avec de nombreux défis à relever. Parmi ces défis, il y a le problème de la stabilité des marchés financiers. Quant un grand pays comme les Etats-Unis, décide de changer sa politique monétaire, cela a des implications, particulièrement en Afrique du Sud, qui a longtemps bénéficié d’importants flux de capitaux et d’argent pas cher », constate Jabulano Moleketi.
« Les économies développées doivent elles aussi s’interroger sur l’environnement financier et faire des projections à moyen terme, prévient l’économiste. C’est ce que j’attends de ce forum. Je suis ici pour l’Afrique bien sûr. C’est une économie à croissance, sans doute la plus prometteuse de ce XXIe siècle. Et nous sommes ici pour comprendre ce que les gens disent de l’Afrique, et nous sommes aussi ici pour leur raconter des succès, et leur montrer qu’il y a des opportunités d’investissement s
c’est le cas depuis toute ses apparition de janvier , visiblement elle a compris que depuis 14 ans, des nouvelles tenues 3a 4 fois semaines , ben elle a de quoi voir venir pour au moins 30 ans !!!!!! c’est pas trop tot qu’elle commence a recyclé, Maxima le fait beaucoup plus régulièrement qu’elle !!! et vu qu’elle veut tout copie sur les PB, ben elle s’est aussi mise au recyclage!!! mais si elle copie tellement elle devrait prendre exemple sur la simplicité de Maxima ce qui n’est pas son point fort !!! au moins Maxima sait qu’elle doit etre derrière le Roi et non devant lui comme c’est le cas ici !!! il faudrait expliqué à Mathilde que c’est Philippe le chef de l’état et non elle …
Philippe est le roi des Belges mais pas le chef de l’Etat.
En Belgique, le roi règne mais ne gouverne pas.
C’est le gouvernement qui prend les décisions et tout ce qu’il dit, fait ou écrit doit avoir l’aval du premier ministre.
Voyez d’autres monarchies protocolaires (ce n’est pas encore la cas en Belgique mais on en parle souvent), où le souverain ou la souveraine doit obtenir l’aval du gouvernement pour le mariage de leurs enfants.
Et je ne suis pas certaine que cela ne se passe que dans les monarchies protocolaires. Friso avait dû renoncer à son droit à la succession pour épouser Mabel.
En Belgique, le roi des Belges est le chef de l’État. Ayant des prérogatives quoique mineures, les monarques belges partagent toutefois le pouvoir exécutif avec le gouvernement fédéral à l’échelon national, mais aussi avec celui des échelons régionaux, communautaires et provinciaux.
la suite …
Gibbs
23 janvier 2014 @
13:34
La Belgique étant une monarchie constitutionnelle, les pouvoirs du roi sont définis par la Constitution belge. Le premier paragraphe de l’article 33 de la Constitution dispose que « tous les pouvoirs émanent de la nation », ce qui au xixe siècle contrastait fortement avec les monarchies parlementaires des pays voisins (Pays-Bas, Royaume-Uni…) où les monarques détenaient le pouvoir Dei gratia. Ce faisant, le roi n’est pas couronné et ne porte aucun attribut habituellement associés aux rois. Néanmoins cela n’empêche pas de parler de « Couronne de Belgique » (avec une majuscule à « Couronne ») pour désigner l’État belge, comme il apparaît dans l’« Ordre de la Couronne ».
La Constitution, dans ce qu’elle dit du roi, est restée depuis 1831 jusqu’à aujourd’hui pratiquement inchangée. Mais derrière cette stabilité des textes, la pratique a énormément évolué. En effet, on distingue traditionnellement les pouvoirs constitutionnels du roi : certains sont personnels au roi et d’autres sont de facto exercés par le gouvernement fédéral. Il reste que tout acte gouvernemental doit porter la signature royale en sus de celle d’un ministre au moins. Tout au long de l’histoire de la Belgique, l’autorité des actes gouvernementaux a crû au détriment de l’autorité royale. Néanmoins, le roi des Belges demeure un des souverains ayant conservé le plus de pouvoirs par rapport notamment aux souverains du Royaume-Uni et de Suède. Il conserve notamment l’initiative de s’adresser à la Nation, du choix des sujets traités et de la composition de ses discours, mais sous le contreseing ministériel, alors que le discours du trône lu par Élisabeth II a été totalement rédigé, à la virgule près, par son premier ministre.
Le principe fondamental de la monarchie belge est qu’aucun acte du roi n’est suivi d’effet sans le contreseing d’un ministre. Les ministres étant responsables devant la Chambre des représentants, l’action du roi est contrôlée indirectement par le Parlement.
ML
23 janvier 2014 @
13:29
La reine des PB n’est pas toujours derrière son époux ,beaucoup s’en faut .Quant à ses tenues ,elle en a autant et quitte à vous contredire ,j’estime qu’elle a tendance à éclipser le roi .
Je trouve étonnant de voir des personnages aussi importants porter des badges, comme si le service d’ordre n’était pas à même de les reconnaître ou s’ils arrivaient en catimini.
La présence à Davos de souverains, dont l’action et la décision politique est pratiquement nulle sur le plan international, surprend. A moins qu’il ne s’agisse d’une opération de communication après accession au trône. Avec un voyage on en rencontre une centaine de personnes…
Peut-être ces rencontres de Davos ne sont elles pas des lieux de prises de décision au sens propre mais plutôt des « fêtes de persépolis » sans les défilés. On se rencontre entre soi, on mange ensemble, on s’influence. On se rassure en voyant que l’on fait partie des « happy few » qui mènent le monde qui avec sa guitare, ses voitures, son gouvernement ou sa couronne comme l’épouse badgée du roi des belges.
agnes
22 janvier 2014 @ 09:12
Une de mes robes préférées de Mathilde.
D E B
22 janvier 2014 @ 09:24
La presse belge dit que « le Roi Philippe, seul roi à Davos, prépare sa prochaine visite d’état en Chine , et aura une série de rencontres avec des ONG, actives en particulier dans les secteurs de la jeunesse et de l’emploi des jeunes non qualifiés . »
Quant au programme de la Reine, il n’est pas précisé .
Un petit Belge
22 janvier 2014 @ 18:41
Il n’y a aucun voyage d’Etat programmé pour l’instant. Le couple royal a entrepris uniquement une série de visites officielles de courtoisie d’une seule journée aux 6 pays fondateurs de l’Union Européenne.
D E B
23 janvier 2014 @ 08:06
Ce qui est bizarre, c’est que tous les journaux ont repris ce texte, à la virgule près. Ils ont donc reçu un communiqué, soit du palais royal, soit de l’agence Belga.
Je profite de l’occasion pour vous féliciter pour votre blog, très intéressant.
Je le lis et l’apprécie.
Un petit Belge
23 janvier 2014 @ 17:50
Merci pour votre commentaire pour mon blog. Je ne sais pas d’où vient l’erreur, mais certains assimilent aussi la tournée des 6 pays fondateurs de l’Union Européenne à des voyages d’Etat, alors que ce n’est pas le cas.
Gibbs
23 janvier 2014 @ 11:59
Un petit Belge,
Au tout début, il y avait 3 pays fondateurs : BENELUX mais vous devez connaître.
Gibbs
22 janvier 2014 @ 10:02
Comme à l’accoutumée, la majesté est en première ligne.
Je pense, très sérieusement, qu’il ne manque pas d’éminents économistes pour ce genre de forum, domaine que ne doit pas maîtriser Mathilde.
Guy Martin
22 janvier 2014 @ 15:15
De tout cœur avec vous Gibbs, Mathilde n’en rate pas une pour se mettre en avant et se faire valoir… Mais qu’attend donc Philippe pour y mettre de l’ordre, c’est lui le chef de meute non!!!! donc en première ligne puis Mathilde à deux pas derrière.
Belle après midi à tous,
Guy Martin
ML
22 janvier 2014 @ 16:48
les consorts ne sont pas toujours trois pas derrière leur conjoint ! Heureusement d’ailleurs !
Gibbs
22 janvier 2014 @ 17:58
Cher Guy Martin,
Hélas, ne rêvons pas …
Je n’y ai jamais cru … c’est elle qui porte le pantalon.
Amitiés
silvia.2
22 janvier 2014 @ 20:58
La on est à la limite du machisme! Enfin elle est superbe votre Reine, et vous devriez en être fiers. A moins que vous préfériez une 1ère Dame…2….3
aubert
22 janvier 2014 @ 21:40
Il est étonnant que monsieur Martin, n’ait pas pensé que les souverains belges sont à Davos pour recevoir des conseils de la part de financiers distingués afin de placer au mieux la succession de tante Fabiola.
Serait-je plus belge que monsieur Martin ?
aubert
22 janvier 2014 @ 21:42
serais-je
Gibbs
24 janvier 2014 @ 11:40
aubert,
Madame Fabiola comme vous la nommez est dans la panade; obligée de licencier son personnel pour cause de réduction de dotation.
Gibbs
24 janvier 2014 @ 11:41
Sorry « tante » et pas madame
kitalol
22 janvier 2014 @ 22:35
ah bon moi je vois le roi et la reine côte à côte qu’y a t’il de surprenant ?
Pierre-Yves
22 janvier 2014 @ 11:05
C’est bien, mais concrètement, ils en retirent quoi ?
Des contacts importants ? des éléments de réflexion ? des idées ou des initiatives dont peuvent s’inspirer les associations ou les pouvoirs publics ?
Si j’étais Belge, j’aimerais bien qu’on me le précise.
Gibbs
22 janvier 2014 @ 17:55
Pierre-Yves,
Excellente question !
AnMa
22 janvier 2014 @ 18:32
En tant que belge je préfère voir la Reine Mathilde à Davos plutôt qu’à un quelconque défilé de mode bling bling.
A chacun son opinion.
Pierre-Yves
23 janvier 2014 @ 15:10
Moi, je n’en ai pas, d’opinion. Je pose juste une question. Je cherche seulement à comprendre.
Gibbs
22 janvier 2014 @ 11:49
Pour info
SOURCE RFI
Forum de Davos: les grands se réunissent pour «remodeler le monde»
Vue aérienne du Centre des congrès de Davos qui accueille le Forum économique mondial.
Vue aérienne du Centre des congrès de Davos qui accueille le Forum économique mondial.
EUTERS/Ruben Sprich
Par RFI
Le Forum économique mondial, rendez-vous prisé des grands patrons et des principaux dirigeants de la planète, ouvre ses portes ce mercredi 22 janvier à Davos, petite station de sport d’hiver des Alpes suisses. Plus de 1 500 dirigeants d’entreprises et une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont le Britannique David Cameron, la Brésilienne Dilma Rousseff, le Nigérian Goodluck Jonathan ou encore l’Iranien Hassan Rohani sont attendus pour quatre jours de débats sur les moyens de « remodeler le monde », un monde qui se remet lentement d’une crise sans précédent.
Avec notre envoyée spéciale, Mounia Daoudi
Un vent d’optimisme souffle cette année sur Davos et son 44e forum. L’économie mondiale commence enfin à se relever des crises qui se sont succédé depuis la faillite, en 2008, de la banque américaine Lehmann Brothers.
Un optimisme prudent toutefois car, si le pire semble derrière nous, les préoccupations sont nombreuses. Les économies émergentes, qui ont longtemps tiré la croissance mondiale, sont aujourd’hui fragilisées. En Europe, la reprise est molle, le chômage galopant et le risque de déflation bien réel. La fin programmée de la très accommandante politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (FED) inquiète, et au Japon, l’absence de réformes structurelles ne laisse présager rien de bon.
Autant de sujets de débats pour les quelque 2500 participants attendus à Davos. Ce forum acquis au libéralisme se penchera également – et c’est une première – sur l’accroissement des inégalités de richesses, perçu comme un facteur de risque majeur. Les révolutions arabes sont là pour le rappeler si nécessaire.
L’ONG Oxfam a ainsi calculé que les 85 personnes les plus riches de la planète détiennent autant de richesse que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, soit trois milliards et demi de personnes.
L’Afrique, « une économie prometteuse »
L’Afrique sera bien représentée cette année encore, et notamment l’Afrique du Sud, principale puissance économique du continent. Jabulano Moleketi est le président de la Banque de développement de cet Etat. C’est son premier Davos.
« Je viens d’Afrique. Nous faisons partie de ces énonomies émergentes, avec de nombreux défis à relever. Parmi ces défis, il y a le problème de la stabilité des marchés financiers. Quant un grand pays comme les Etats-Unis, décide de changer sa politique monétaire, cela a des implications, particulièrement en Afrique du Sud, qui a longtemps bénéficié d’importants flux de capitaux et d’argent pas cher », constate Jabulano Moleketi.
« Les économies développées doivent elles aussi s’interroger sur l’environnement financier et faire des projections à moyen terme, prévient l’économiste. C’est ce que j’attends de ce forum. Je suis ici pour l’Afrique bien sûr. C’est une économie à croissance, sans doute la plus prometteuse de ce XXIe siècle. Et nous sommes ici pour comprendre ce que les gens disent de l’Afrique, et nous sommes aussi ici pour leur raconter des succès, et leur montrer qu’il y a des opportunités d’investissement s
Gibbs
22 janvier 2014 @ 11:50
Un bon point : elle recycle.
caro
22 janvier 2014 @ 16:55
c’est le cas depuis toute ses apparition de janvier , visiblement elle a compris que depuis 14 ans, des nouvelles tenues 3a 4 fois semaines , ben elle a de quoi voir venir pour au moins 30 ans !!!!!! c’est pas trop tot qu’elle commence a recyclé, Maxima le fait beaucoup plus régulièrement qu’elle !!! et vu qu’elle veut tout copie sur les PB, ben elle s’est aussi mise au recyclage!!! mais si elle copie tellement elle devrait prendre exemple sur la simplicité de Maxima ce qui n’est pas son point fort !!! au moins Maxima sait qu’elle doit etre derrière le Roi et non devant lui comme c’est le cas ici !!! il faudrait expliqué à Mathilde que c’est Philippe le chef de l’état et non elle …
Gibbs
23 janvier 2014 @ 12:10
Caro,
Si je me trompe que l’on me corrige.
Philippe est le roi des Belges mais pas le chef de l’Etat.
En Belgique, le roi règne mais ne gouverne pas.
C’est le gouvernement qui prend les décisions et tout ce qu’il dit, fait ou écrit doit avoir l’aval du premier ministre.
Voyez d’autres monarchies protocolaires (ce n’est pas encore la cas en Belgique mais on en parle souvent), où le souverain ou la souveraine doit obtenir l’aval du gouvernement pour le mariage de leurs enfants.
Et je ne suis pas certaine que cela ne se passe que dans les monarchies protocolaires. Friso avait dû renoncer à son droit à la succession pour épouser Mabel.
Gibbs
23 janvier 2014 @ 13:28
S’il est considéré comme « chef d’Etat », il n’a pas beaucoup à dire …
Gibbs
23 janvier 2014 @ 13:31
En Belgique, le roi des Belges est le chef de l’État. Ayant des prérogatives quoique mineures, les monarques belges partagent toutefois le pouvoir exécutif avec le gouvernement fédéral à l’échelon national, mais aussi avec celui des échelons régionaux, communautaires et provinciaux.
la suite …
Gibbs
23 janvier 2014 @ 13:34
La Belgique étant une monarchie constitutionnelle, les pouvoirs du roi sont définis par la Constitution belge. Le premier paragraphe de l’article 33 de la Constitution dispose que « tous les pouvoirs émanent de la nation », ce qui au xixe siècle contrastait fortement avec les monarchies parlementaires des pays voisins (Pays-Bas, Royaume-Uni…) où les monarques détenaient le pouvoir Dei gratia. Ce faisant, le roi n’est pas couronné et ne porte aucun attribut habituellement associés aux rois. Néanmoins cela n’empêche pas de parler de « Couronne de Belgique » (avec une majuscule à « Couronne ») pour désigner l’État belge, comme il apparaît dans l’« Ordre de la Couronne ».
La Constitution, dans ce qu’elle dit du roi, est restée depuis 1831 jusqu’à aujourd’hui pratiquement inchangée. Mais derrière cette stabilité des textes, la pratique a énormément évolué. En effet, on distingue traditionnellement les pouvoirs constitutionnels du roi : certains sont personnels au roi et d’autres sont de facto exercés par le gouvernement fédéral. Il reste que tout acte gouvernemental doit porter la signature royale en sus de celle d’un ministre au moins. Tout au long de l’histoire de la Belgique, l’autorité des actes gouvernementaux a crû au détriment de l’autorité royale. Néanmoins, le roi des Belges demeure un des souverains ayant conservé le plus de pouvoirs par rapport notamment aux souverains du Royaume-Uni et de Suède. Il conserve notamment l’initiative de s’adresser à la Nation, du choix des sujets traités et de la composition de ses discours, mais sous le contreseing ministériel, alors que le discours du trône lu par Élisabeth II a été totalement rédigé, à la virgule près, par son premier ministre.
Le principe fondamental de la monarchie belge est qu’aucun acte du roi n’est suivi d’effet sans le contreseing d’un ministre. Les ministres étant responsables devant la Chambre des représentants, l’action du roi est contrôlée indirectement par le Parlement.
ML
23 janvier 2014 @ 13:29
La reine des PB n’est pas toujours derrière son époux ,beaucoup s’en faut .Quant à ses tenues ,elle en a autant et quitte à vous contredire ,j’estime qu’elle a tendance à éclipser le roi .
Caroline
22 janvier 2014 @ 17:41
Gibbs,bravo pour votre remarque positive envers la reine Mathilde de Belgique!
Alors,un bon point pour vous!lool!
Gibbs
23 janvier 2014 @ 12:03
Caroline,
Vous vous moquez, je suppose ??
Gibbs
23 janvier 2014 @ 12:12
Caroline,
Il s’agit du « recyclage » !
Merci
Je fais quelques efforts.
Finalement, elle ne peut pas avoir tous les défauts.
Caroline
23 janvier 2014 @ 14:19
Ma chère Gibbs,
Au contraire,j’ai réellement apprécié votre bonne remarque!
Bonne journée!
Gibbs
23 janvier 2014 @ 18:23
Chère Caroline,
Merci à vous.
Cela me touche beaucoup.
Bonne soirée
PhilParis
22 janvier 2014 @ 12:04
Le premier ministre a assorti son nœud papillon à la rouble de la reine
Philibert
22 janvier 2014 @ 22:23
« à la rouble de la reine » : pourriez-vous préciser votre pensée ?
COLETTE C.
22 janvier 2014 @ 12:40
Depuis qu’elle est reine, je trouve que Mathilde a des tenues plus sages.
Cosmo
22 janvier 2014 @ 14:49
Je trouve étonnant de voir des personnages aussi importants porter des badges, comme si le service d’ordre n’était pas à même de les reconnaître ou s’ils arrivaient en catimini.
La présence à Davos de souverains, dont l’action et la décision politique est pratiquement nulle sur le plan international, surprend. A moins qu’il ne s’agisse d’une opération de communication après accession au trône. Avec un voyage on en rencontre une centaine de personnes…
Jean Pierre
22 janvier 2014 @ 16:38
Peut-être ces rencontres de Davos ne sont elles pas des lieux de prises de décision au sens propre mais plutôt des « fêtes de persépolis » sans les défilés. On se rencontre entre soi, on mange ensemble, on s’influence. On se rassure en voyant que l’on fait partie des « happy few » qui mènent le monde qui avec sa guitare, ses voitures, son gouvernement ou sa couronne comme l’épouse badgée du roi des belges.
Gibbs
22 janvier 2014 @ 18:04
Dear Cosmo,
Environ 2500 personnes sont attendues à ce forum.
Ce type de badge est d’usage dans tous les meetings de ce genre utilisé par couleurs différentes, en fonction de la « qualité des personnes ».
Avez-vous lu, récemment, la « mésaventure » arrivée à Madeleine de Suède, arrêtée pour excès de vitesse et que le policier n’avait pas reconnue.
Elle n’était pas contente du tout !
Cordialement
Gibbs
Un petit Belge
22 janvier 2014 @ 18:43
Le Roi et la Reine y vont chaque année, donc cela n’a rien à voir avec leur accession au trône.
Marcello de Souza
23 janvier 2014 @ 02:18
Ils sont vraiment roi e reine de belges ou des ambassadeurs de l’Union Européenne?