Ces derniers jours, le roi Philippe et la reine Mathilde ont pris part à différentes vidéoconférences avec des experts sur l’impact de la deuxième vague de la pandémie sur la psychologie des enfants et des jeunes.
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miloumilou
21 novembre 2020 @ 07:38
Intéressant et vrai!
Benoite
21 novembre 2020 @ 08:07
Toujours beaucoup d’empathie pour les souverains Belges, pendant cette pandémie. Ils s’intéressent aux efforts sanitaires, et moyens mis en oeuvre pour contenir ce virus. Ils ont beaucoup de sensibilité, on le voit bien.
Anne-Charlotte
21 novembre 2020 @ 08:22
Comme ils sont mignons tous les deux à prendre des notes ! Je les adore …
DEB
21 novembre 2020 @ 08:34
Je pense souvent aux enfants et ados qui sont en train de se forger une personnalité et qui se trouvent confrontés à la situation sanitaire actuelle et ses frustrations.
Pas évident du tout à cet âge !
Même nous, adultes, constatons qu’il y a des changements dans notre humeur, alors eux !
ciboulette
21 novembre 2020 @ 14:34
En fait , les personnes les plus fragiles à l’une et l’autre extrémité de la vie .
Les enfants et les adolescents , qui vont bien sûr être marqués .
Les personnes âgées , qui sont de plus en plus persuadées qu’on les a sacrifiées et qu’on les sacrifie encore .
C’est le drame des sociétés occidentales : ce qui est vieux et inutile est bon à jeter . Inspirons -nous des sociétés africaines par exemple , où les personnes âgées sont la mémoire du peuple et la sagesse que l’on respecte et que l’on consulte . Et elles restent près de leur famille .
DEB
23 novembre 2020 @ 14:39
Je suis d’accord avec vous, Ciboulette.
LORDBHJ
26 novembre 2020 @ 15:50
Ceci me fait penser aux différents récits des deux dernières guerres.
Pour les deux pour mes quatre grands-parents et pour la seconde pour mes parents qui étaient bien jeunes à l’époque…
Le monde entier a aussi subi des traumatismes même s’ils ne sont pas du même ordre.
Zulma
21 novembre 2020 @ 09:35
Bravo !
Il est temps de se pencher sur cette question
Olivier Kell
21 novembre 2020 @ 10:03
Ce sont de bons élèves :-)
giseleT
21 novembre 2020 @ 10:40
Depuis la pandémie ils ont été très prêt de leurs sujets , masques pendant les sorties comme le roi et la reine d’Espagne
Greg van N
21 novembre 2020 @ 11:06
La majorité immergée de l’iceberg. La vraie vulnérabilité…
Sérieusement, comment peut-on construire un monde où on justifie toutes ces mesures extrêmes pour essayer de barrer la route à une maladie dont la moyenne d’âge de décès est à 86 ans, soit plus élevé que l’espérance de vie des femmes dans nos pays, et dont le taux de létalité est à 0,2 % ??? Je ne comprends pas.
Les vraies victimes, en plus des indépendants, des intermittents du spectacle, tous les gens en rapport avec la culture, ce sont bien les enfants & les ados!!! A commencer par les nourrissons pour qui le premier contact visuel maternel est avec un masque. Ensuite les bébés à la crèche sont privés de phonèmes et d’expressions faciales car ils voient des masques toute la journée, et ensuite, là je parle pour la France, à 6 ans en CP (1ère primaire), ils doivent tenter d’apprendre à lire masqués!!!! Et ça ne choque personne. Ces bébés, enfants etc sont en train de manquer des fenêtres d’apprentissage énormes dont on ne peut encore mesurer les conséquences, mais ça risque d’être comique.. Je suis atterré de voir comment il est si facile d’imposer des mesures aussi drastiques, qui ne sont même pas prouvées d’ailleurs (sinon pourquoi ne porte-t-on pas de masques dans certains pays? Et plus généralement si le masque stoppait la transmission du virus, alors pourquoi a-t-on besoin d’un confinement??!!), sans que les gens ne réagissent, pire avec leur bénédiction pour certains. (« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes. » N. Machiavel). On sacrifie ces vulnérables sur l’autel de « il faut que le virus arrête de circuler ». Criminel. Je n’aimerais pas avoir des enfants en bas âge en France aujourd’hui… Et je compatis avec les lecteurs ici qui en ont. Courage.
Bref, autrement merci à Philippe & Mathilde de s’intéresser à cela mais il faudrait plus que de l’intérêt, il faudrait qu’il s’en alarment…
🍄🍁 MIKA 😷
21 novembre 2020 @ 13:34
Il est vrai que ce deuxième confinement d’hiver ou en tout cas privation d’une vie normale, est pesant.
Beaucoup de personnes, jeunes et moins jeunes en pâtissent.
Teresa2424
21 novembre 2020 @ 17:29
Tema importantisimo:que pasará y cómo afectará esta anormalidad en las vidas de niños/as y adolescentes …me alegra ver ambos reyes preocupados y prevean ayuda
Muscate-Valeska de Lisabé
22 novembre 2020 @ 18:00
Je suis souvent étonnée par la valeur psychologique qu’on accorde de nos jours aux enfants,êtres essentiellement en devenir…quand j’étais petite et même ado,ma vie était résolument orientée vers la seule volonté de mes parents,je ressentais ce qu’ils projettaient sur moi,je devais les contenter,je n’avais pas de personnalité affirmée propre et encore moins définie…je me laissais guider quels que soient les évènements,avec confiance,en fait…je m’adaptais à tout.Je n’en ai pas souffert.Les choses étaient ce que mes parents en faisaient,en disaient,point.
J’en ai gardé l’idée qu’un enfant doit suivre le mouvement parental sans trop se poser des questions. Ce n’est pas de son âge,les préoccupations.C’est le moment de l’insouciance. Covid ou pas,je ne suis pas certaine qu’il faille accorder tant d’importance individuelle à la psychologie des petits.
Ils font comme les grands,comme tout être vivant :Ils s’adaptent.
Esquiline
23 novembre 2020 @ 14:38
Vos propos seront peut-être taxés de réactionnaires mais j’y adhère pleinement.
Menthe
23 novembre 2020 @ 17:24
Ma Muscate, mon avis est plus proche du vôtre que de celui de Greg.
LORDBHJ
26 novembre 2020 @ 16:50
@ Muscate,
J’écris « heureusement que vous n’avez pas d’enfant » !
Un enfant, être en devenir, ne doit en rien devenir le clone de ses parents sans se poser de questions, sans se remettre en question.
Ne pas toujours « faire plaisir » à papa/maman. »
Il doit s’éveiller à tout ce qui l’entoure, se construire avec des modèles certes mais surtout et avant tout : ETRE LUI/ELLE.