Au monastère de Leyre en Navarre, le roi et la reine d’Espagne ont assisté à la remise du prix « Prince de Viana ». (Copyright photos : www.ppe-agency.com)
Il n’y a plus de roi de Navarre.
Il y a un roi d’Espagne, Felipe VI. Il y a aussi des prétendants au trône, dont l’actuel est Alice de Bourbon-Parme, née en 1917, mère de Charles de Bourbon-Siciles (prétendant au trône des Deux-Siciles), descendante de Louis XIV (10e génération)
Aujourd’hui comme ses prédécesseurs le roi Philippe VI porte le titre de roi de Navarre. Mais c’est par droit de conquête essentiellement. Car le royaume de Navarre comme chacun sait était celui d’Henri IV et de ses descendants par héritage de sa mère Jeanne d’Albret. Cette dynastie se rattachait à la première dynastie de Navarre à travers divers mariages. Seulement en 1512 Ferdinand le Catholique, roi d’Aragon, envahit la Navarre et conquiert la Haute-Navarre et une partie de la Basse. Le roi Henri II essaie de reconquérir son royaume, remporte quelques succès provisoires mais doit se replier à Saint-Palais de l’autre côté des Pyrénées. Il est encore menacé jusqu’à ce que Charles Quint abandonne l’idée de conquérir la Basse-Navarre. Cependant Charles fait reconnaître par les États de Navarre son fils Philippe comme roi de Navarre.
En 1451-1461 la Navarre avait connu en effet une guerre civile. Charles III était mort sans postérité mâle en 1425 et sa fille Blanche de Navarre était mariée à l’héritier du trône d’Aragon Jean. Le contrat de mariage prévoyait que les deux royaumes ne fusionneraient pas et que le premier fils issu de ce mariage hériterait de la Navarre. À la mort de Blanche en 1441, Jean d’Aragon conserva la Navarre, spoliant son fils Charles de Viane. Ferdinand le Catholique était lui issu du deuxième mariage de Jean II, lequel avait donc usurpé le royaume de Navarre au détriment des enfants nés de son premier mariage avec Blanche.
À l’occasion de leur déplacement le 10 juin au monastère bénédictin de Leyre, dans lequel ils étaient venus pour leur dernier voyage princier, le roi et la reine ont rendu le traditionnel hommage aux rois de Navarre après avoir remis le prix du Prince de Viane de la culture 2015 à l’essayiste un essayiste, historien, érudit, musicien et musicologue, écrivain et poète Ramón Andrés González-Cobo, né à Pampelune le 27 décembre 1955, qu’ils ont félicité au nom de leur fille Leonor, princesse de Viana (Viane).
Le roi, précédé par les trois hérauts du royaume de Navarre en tabard, a déposé une grande gerbe de fleurs rouges devant les sarcophages royaux qui ont été ensuite bénits par l’abbé mitré de Leyre, fr. Juan Manuel Apesteguía OSB, à l’issue de l’office qui avait été célébré sous la présidence de l’archevêque de Pampelune et évêque de Tudela, Mgr Francisco Pérez González. L’archevêque a prié pour le roi, la reine et la famille royale, pour les âmes des anciens rois et princes de Navarre et pour les institutions de la Navarre et pour ses dirigeants demandant « à Dieu de les guider dans leur décisions en vue de la paix, de la justice et de la liberté et afin de promouvoir la coexistence entre les citoyens ».
Au cours de la cérémonie Yolanda Barcina Angulo, présidente de Navarre, a remis à l’abbé de Leyre un plateau sur lequel était posée l’une des urnes d’argent jadis utilisées pour les votes dans l’ancien Parlement de Navarre et ici contenant le don symbolique des institutions pour le maintien du culte au monastère.
Ensuite, le roi et la reine, accompagnés par la présidente et par l’abbé, se sont rendus devant une chapelle du côté nord de la nef, la chapelle des saintes Nunilo et Alodia aussi appelée le Panthéon, où se trouve derrière une grille et surmonté par le Christ de Leyre un sarcophage en bois néo-gothique décoré avec des ornements en métal inauguré le 8 juillet 1915 qui contient les restes des premiers rois du royaume de Pampelune, précurseur du royaume de Navarre : le vascon Iñigo Arista (c. 770-851), fils d’Íñigo Ximenes Arista († 781) comte de Bigorre, celui qui combattit Roland, il fut comte de Bigorre à son tour et premier roi de Pampelune entre 810/820 et 851, et il est considéré comme l’auteur de la dynastíe Íñiga ou Iñiguez ou Arista ; García Ier Iñíguez, (c. 810-870), son fils, qui fut régent à partir de la paralysie de son père vers 842, sans doute à la suite de batailles, puis qui lui succéda ; son fils Fortún ou Fortún Garcés (830-906), dit el Tuerto (le Borgne) ou el Monje (le Moine), troisième roi de Navarre et le dernier de la dynastie des Íñiguez de 870 à son abdication en 905.
On sait qu’ont également été enterrés au monastère San Salvador de Leyre notamment : Jimena, épouse d’Íñigo Arista, le roi Jimeno Iñiguez, et son fils Inigo Jimenez, Sancho I Garces (865?-925), roi de Pampelune entre 905 et 925, García Sánchez Ier , roi de Pampelune (925-970) et comte d’Aragon (943-970), Sancho Garcés II Abarca , roi de Pampelune (970-994) et comte d’Aragon (943-994). En 1863 le monastère qui avait été fermé fut profané et les tombes saccagées. La même année le maire et le curé de Yesa, le village voisin, purent recueillir les ossements et les transporter à l’église paroissiale. Ils furent plus tard placés dans la cathédrale de Pampelune avant de retourner à Leyre où ils ont trouvé leur place définitive en 1982. Selon ce qu’on avait pu voir il y avait aussi parmi les tombeaux profanés ceux de Fortuno VIII, Ramiro XIII, de sept reines et des princes Andrés et Martín Phoebo.
La cérémonie de mercredi se termina par la bénédiction finale et l’hymne de Navarre.
Létizia est vraiment,vraiment belle (troisième photo)…Bluffante de beauté…
…Constamment…Et plus encore sur ce cliché particulier.Le bonheur et la sérénité se lisent sur son visage.Elle est bien,elle est heureuse et a tout pour l’être…ça se voit,et ça lui va si bien.A moi aussi,de la voir ainsi,ça me fait du bien! ;-))
C’est vrai,Anny,la Reine Létizia a aidé la Nature,mais c’est vraiment réussi,et ne peuvent pas en dire autant toutes celles qui ont eû recours au bistouri…
Gustave,vous m’avez fait rire,mais aux aspirines,je préfère les pastilles Vichy…pas le même usage,mais ça rafraîchit! ;-))
Bonne journée à vous deux!
Je suis désespérément fidèle à N&R,Monica,mais merci de votre suggestion…
Peut-être que je donne une autre impression,mais je ne suis pas passionnée à ce point-là.Le site de Dame Régine en ce domaine couvre toutes mes attentes.
ils ont du se lever tôt pour avoir l’air si renfrognés! Il faut reconnaitre que ce n’est pas leur habitude.Mais quel boulot peu amusant …si c’est ça être roi et reine de nos jours…Et même pas la satisfaction d’une belle cérémonie de couronnement qui resterait dans les annales!
Comme vous avez raison kalistéa. A-t-elle seulement autant d’influence que la journaliste qu’elle était avant son mariage ?
Les rois sont aussi appelés monarque ou souverain ce qu’aujourd’hui, en Europe en tous cas, ils ne sont plus. Il n’y a plus guère que les habitués du site pour s ‘illusionner sur leur pouvoir et leur utilité.
Et bien vous n’êtes pas la seule à être ringarde ! Que voulez-vous certains sifflent l’hymne national du pays qui les héberge d’autres sont d’autant plus respectueux quand c’est l’hymne de leur pays ; ce qui est triste c’est de ne pas se révolter contre l’attitude des premiers mais de s’étonner de celle des seconds…
ML, vous au moins vous avez compris la photo ! Les postures du roi et de la reine prouvent qu’ils sont devant un hymne, bien vu et bravo pour votre sens de l’observation. Je n’en dirais pas autant pour d’autres…
L’hymne de Navarre trouve son origine au XVIIIe siècle dans la Marche pour l’entrée du Royaume, qui était joué dans le cloître de la cathédrale de Pampelune pour le passage du Parlement de Navarre lorsqu’il se réunissait. C’est ce qu’on appelle un pasaclaustro qui est donc une marche lente et solennelle adaptée à une procession dans un cloître. Cette marche a été utilisée au XIXe siècle dans les principales cérémonies de sorte qu’elle a fini par devenir l’hymne de Navarre dont le statut officiel a été approuvé en 1986 par acte régional et dont l’harmonisation a été approuvée en 1993 par le Parlement de Navarre avec des paroles de 1971 de Manuel Iribarren traduites en basque par José María Azpíroz. La loi régionale de 2003 prévoit qu’il est joué obligatoirement dans les actes officiels. L’hymne commence par ces mots : Navarre, terre brave et noble, toujours fidèle…
Lisabé
12 juin 2015 @
08:23
Commentaire raisonnable et des plus sensés,ML…Il faut aussi y voir de la solennité.
Ce que mêmes les joueurs de foot appliquent lors de leur hymne nationale…à plus forte raison un couple royal…
Bonne journée à vous.
Elle fait parfois » mémère » et c’est le cas ici: tailleur fade, digne de sa royale belle-maman! Cela dit, le bistouri a fait des miracles….on est en Espagne , tout s’explique… et je la préfère nettement à sa consoeur danoise au menton pointu si avide des photographes! Mais des goûts et …
La reine d’Espagne, n’a qu’une « consœur danoise », la reine Margrethe . Pourtant il ne me semble pas la reconnaître dans votre description :):). La seule de la famille qui a un menton pointu et peu harmonieux, c’est la princesse Marie ce qui ne l’empêche pas d’être sympathique et mignonne .
Adriana,vous lire me fait toujours un grand plaisir…Votre bienveillance est tellement saine.
Une oasis dans le désert : Ca change… ;-)) MERCI !
Bon Vendredi à vous aussi!
Merci Régine; belle représentation des souverains d’Espagne. Certains ne croient pas au pouvoir et à l’utilité des royaux d’Europe… on se demande bien pourquoi ils viennent sur N&R? Peut-être ont-ils la prétention de nous éduquer? Qui veut être éduqué à l’anarchie, aux éternelles promesses des républicains… qui changent de couleur à chaque élection présidentielle; on peut se poser la question? Certainement pas nous qui sommes dans une démocratie constitutionnelle ;-)))
Jean Pierre
11 juin 2015 @ 07:35
Qui est roi de Navarre aujourd’hui ?
MOI
11 juin 2015 @ 17:21
Il n’y a plus de roi de Navarre.
Il y a un roi d’Espagne, Felipe VI. Il y a aussi des prétendants au trône, dont l’actuel est Alice de Bourbon-Parme, née en 1917, mère de Charles de Bourbon-Siciles (prétendant au trône des Deux-Siciles), descendante de Louis XIV (10e génération)
Gérard
12 juin 2015 @ 15:38
Aujourd’hui comme ses prédécesseurs le roi Philippe VI porte le titre de roi de Navarre. Mais c’est par droit de conquête essentiellement. Car le royaume de Navarre comme chacun sait était celui d’Henri IV et de ses descendants par héritage de sa mère Jeanne d’Albret. Cette dynastie se rattachait à la première dynastie de Navarre à travers divers mariages. Seulement en 1512 Ferdinand le Catholique, roi d’Aragon, envahit la Navarre et conquiert la Haute-Navarre et une partie de la Basse. Le roi Henri II essaie de reconquérir son royaume, remporte quelques succès provisoires mais doit se replier à Saint-Palais de l’autre côté des Pyrénées. Il est encore menacé jusqu’à ce que Charles Quint abandonne l’idée de conquérir la Basse-Navarre. Cependant Charles fait reconnaître par les États de Navarre son fils Philippe comme roi de Navarre.
En 1451-1461 la Navarre avait connu en effet une guerre civile. Charles III était mort sans postérité mâle en 1425 et sa fille Blanche de Navarre était mariée à l’héritier du trône d’Aragon Jean. Le contrat de mariage prévoyait que les deux royaumes ne fusionneraient pas et que le premier fils issu de ce mariage hériterait de la Navarre. À la mort de Blanche en 1441, Jean d’Aragon conserva la Navarre, spoliant son fils Charles de Viane. Ferdinand le Catholique était lui issu du deuxième mariage de Jean II, lequel avait donc usurpé le royaume de Navarre au détriment des enfants nés de son premier mariage avec Blanche.
À l’occasion de leur déplacement le 10 juin au monastère bénédictin de Leyre, dans lequel ils étaient venus pour leur dernier voyage princier, le roi et la reine ont rendu le traditionnel hommage aux rois de Navarre après avoir remis le prix du Prince de Viane de la culture 2015 à l’essayiste un essayiste, historien, érudit, musicien et musicologue, écrivain et poète Ramón Andrés González-Cobo, né à Pampelune le 27 décembre 1955, qu’ils ont félicité au nom de leur fille Leonor, princesse de Viana (Viane).
Le roi, précédé par les trois hérauts du royaume de Navarre en tabard, a déposé une grande gerbe de fleurs rouges devant les sarcophages royaux qui ont été ensuite bénits par l’abbé mitré de Leyre, fr. Juan Manuel Apesteguía OSB, à l’issue de l’office qui avait été célébré sous la présidence de l’archevêque de Pampelune et évêque de Tudela, Mgr Francisco Pérez González. L’archevêque a prié pour le roi, la reine et la famille royale, pour les âmes des anciens rois et princes de Navarre et pour les institutions de la Navarre et pour ses dirigeants demandant « à Dieu de les guider dans leur décisions en vue de la paix, de la justice et de la liberté et afin de promouvoir la coexistence entre les citoyens ».
Au cours de la cérémonie Yolanda Barcina Angulo, présidente de Navarre, a remis à l’abbé de Leyre un plateau sur lequel était posée l’une des urnes d’argent jadis utilisées pour les votes dans l’ancien Parlement de Navarre et ici contenant le don symbolique des institutions pour le maintien du culte au monastère.
Ensuite, le roi et la reine, accompagnés par la présidente et par l’abbé, se sont rendus devant une chapelle du côté nord de la nef, la chapelle des saintes Nunilo et Alodia aussi appelée le Panthéon, où se trouve derrière une grille et surmonté par le Christ de Leyre un sarcophage en bois néo-gothique décoré avec des ornements en métal inauguré le 8 juillet 1915 qui contient les restes des premiers rois du royaume de Pampelune, précurseur du royaume de Navarre : le vascon Iñigo Arista (c. 770-851), fils d’Íñigo Ximenes Arista († 781) comte de Bigorre, celui qui combattit Roland, il fut comte de Bigorre à son tour et premier roi de Pampelune entre 810/820 et 851, et il est considéré comme l’auteur de la dynastíe Íñiga ou Iñiguez ou Arista ; García Ier Iñíguez, (c. 810-870), son fils, qui fut régent à partir de la paralysie de son père vers 842, sans doute à la suite de batailles, puis qui lui succéda ; son fils Fortún ou Fortún Garcés (830-906), dit el Tuerto (le Borgne) ou el Monje (le Moine), troisième roi de Navarre et le dernier de la dynastie des Íñiguez de 870 à son abdication en 905.
On sait qu’ont également été enterrés au monastère San Salvador de Leyre notamment : Jimena, épouse d’Íñigo Arista, le roi Jimeno Iñiguez, et son fils Inigo Jimenez, Sancho I Garces (865?-925), roi de Pampelune entre 905 et 925, García Sánchez Ier , roi de Pampelune (925-970) et comte d’Aragon (943-970), Sancho Garcés II Abarca , roi de Pampelune (970-994) et comte d’Aragon (943-994). En 1863 le monastère qui avait été fermé fut profané et les tombes saccagées. La même année le maire et le curé de Yesa, le village voisin, purent recueillir les ossements et les transporter à l’église paroissiale. Ils furent plus tard placés dans la cathédrale de Pampelune avant de retourner à Leyre où ils ont trouvé leur place définitive en 1982. Selon ce qu’on avait pu voir il y avait aussi parmi les tombeaux profanés ceux de Fortuno VIII, Ramiro XIII, de sept reines et des princes Andrés et Martín Phoebo.
La cérémonie de mercredi se termina par la bénédiction finale et l’hymne de Navarre.
Lisabé
11 juin 2015 @ 07:38
Létizia est vraiment,vraiment belle (troisième photo)…Bluffante de beauté…
…Constamment…Et plus encore sur ce cliché particulier.Le bonheur et la sérénité se lisent sur son visage.Elle est bien,elle est heureuse et a tout pour l’être…ça se voit,et ça lui va si bien.A moi aussi,de la voir ainsi,ça me fait du bien! ;-))
Gustave de Montréal
11 juin 2015 @ 11:38
bien, ça remplace les aspirines
limaya
11 juin 2015 @ 15:32
Gustave vous me voyez effondrée de rire .Grand merci j’en avais besoin
Maguelone
12 juin 2015 @ 19:07
:) :)
anny
11 juin 2015 @ 14:49
Elle est belle oui mais merci bistouri!!!
loulou
11 juin 2015 @ 20:14
Vous lui avez demandée si elle avait eu recours aux bistouris?
Lisabé
12 juin 2015 @ 08:20
C’est vrai,Anny,la Reine Létizia a aidé la Nature,mais c’est vraiment réussi,et ne peuvent pas en dire autant toutes celles qui ont eû recours au bistouri…
Gustave,vous m’avez fait rire,mais aux aspirines,je préfère les pastilles Vichy…pas le même usage,mais ça rafraîchit! ;-))
Bonne journée à vous deux!
monica
11 juin 2015 @ 19:08
Lisabé, regardez les photos sur myroyals et vous penserez autrement…..
Lisabé
13 juin 2015 @ 08:48
Je suis désespérément fidèle à N&R,Monica,mais merci de votre suggestion…
Peut-être que je donne une autre impression,mais je ne suis pas passionnée à ce point-là.Le site de Dame Régine en ce domaine couvre toutes mes attentes.
kalistéa
11 juin 2015 @ 07:56
ils ont du se lever tôt pour avoir l’air si renfrognés! Il faut reconnaitre que ce n’est pas leur habitude.Mais quel boulot peu amusant …si c’est ça être roi et reine de nos jours…Et même pas la satisfaction d’une belle cérémonie de couronnement qui resterait dans les annales!
aubert
11 juin 2015 @ 11:57
Comme vous avez raison kalistéa. A-t-elle seulement autant d’influence que la journaliste qu’elle était avant son mariage ?
Les rois sont aussi appelés monarque ou souverain ce qu’aujourd’hui, en Europe en tous cas, ils ne sont plus. Il n’y a plus guère que les habitués du site pour s ‘illusionner sur leur pouvoir et leur utilité.
ML
11 juin 2015 @ 13:20
Je suis certainement ringarde mais quand on écoute un hymne national ,il me parait normal de ne pas afficher un sourire béat
Lucie B.
11 juin 2015 @ 18:02
Et bien vous n’êtes pas la seule à être ringarde ! Que voulez-vous certains sifflent l’hymne national du pays qui les héberge d’autres sont d’autant plus respectueux quand c’est l’hymne de leur pays ; ce qui est triste c’est de ne pas se révolter contre l’attitude des premiers mais de s’étonner de celle des seconds…
Auberi
11 juin 2015 @ 21:39
ML, vous au moins vous avez compris la photo ! Les postures du roi et de la reine prouvent qu’ils sont devant un hymne, bien vu et bravo pour votre sens de l’observation. Je n’en dirais pas autant pour d’autres…
Gérard
13 juin 2015 @ 03:39
L’hymne de Navarre.
Gérard
13 juin 2015 @ 10:00
L’hymne de Navarre trouve son origine au XVIIIe siècle dans la Marche pour l’entrée du Royaume, qui était joué dans le cloître de la cathédrale de Pampelune pour le passage du Parlement de Navarre lorsqu’il se réunissait. C’est ce qu’on appelle un pasaclaustro qui est donc une marche lente et solennelle adaptée à une procession dans un cloître. Cette marche a été utilisée au XIXe siècle dans les principales cérémonies de sorte qu’elle a fini par devenir l’hymne de Navarre dont le statut officiel a été approuvé en 1986 par acte régional et dont l’harmonisation a été approuvée en 1993 par le Parlement de Navarre avec des paroles de 1971 de Manuel Iribarren traduites en basque par José María Azpíroz. La loi régionale de 2003 prévoit qu’il est joué obligatoirement dans les actes officiels. L’hymne commence par ces mots : Navarre, terre brave et noble, toujours fidèle…
Lisabé
12 juin 2015 @ 08:23
Commentaire raisonnable et des plus sensés,ML…Il faut aussi y voir de la solennité.
Ce que mêmes les joueurs de foot appliquent lors de leur hymne nationale…à plus forte raison un couple royal…
Bonne journée à vous.
patricio
12 juin 2015 @ 16:50
avec vous ML
amitiés
patricio
Baia
11 juin 2015 @ 14:04
… !!!
Louise
11 juin 2015 @ 08:18
Elle est encore plus belle depuis qu’elle est reine!
adriana
11 juin 2015 @ 09:59
quelle est jolie la reine !!! élégante, glamour.;;;
un beau couple de souverains. bon jeudi à tous
Korobaze
11 juin 2015 @ 18:31
Elle fait parfois » mémère » et c’est le cas ici: tailleur fade, digne de sa royale belle-maman! Cela dit, le bistouri a fait des miracles….on est en Espagne , tout s’explique… et je la préfère nettement à sa consoeur danoise au menton pointu si avide des photographes! Mais des goûts et …
patricio
12 juin 2015 @ 16:51
« on est en Espagne , tout s’explique… »
Pourriez vous m’expliquer ?
amitiés
patricio
Corsica
12 juin 2015 @ 22:40
La reine d’Espagne, n’a qu’une « consœur danoise », la reine Margrethe . Pourtant il ne me semble pas la reconnaître dans votre description :):). La seule de la famille qui a un menton pointu et peu harmonieux, c’est la princesse Marie ce qui ne l’empêche pas d’être sympathique et mignonne .
Lisabé
12 juin 2015 @ 08:27
Adriana,vous lire me fait toujours un grand plaisir…Votre bienveillance est tellement saine.
Une oasis dans le désert : Ca change… ;-)) MERCI !
Bon Vendredi à vous aussi!
Danielle
11 juin 2015 @ 10:23
Cette remise de prix devait être très belle dans un tel lieu.
Letizia est très élégante.
Caroline
11 juin 2015 @ 11:26
Je n’ai que d’yeux pour les belles boucles d’oreilles de Letizia!
Actarus
11 juin 2015 @ 12:33
Le roi portait-il un costume Devianne ?
clement
11 juin 2015 @ 13:04
elle est très belle en effet
vero
11 juin 2015 @ 16:52
Je rejoins le commentaire de Anny…..pour la belle Letizia….merci bistouri!!!!
kalistéa
11 juin 2015 @ 17:33
« plus belle depuis qu’elle est reine » Incontestablement , et pour cause! Il faut beaucoup d’argent pour se transformer à ce point.
Francine du Canada
11 juin 2015 @ 19:17
Merci Régine; belle représentation des souverains d’Espagne. Certains ne croient pas au pouvoir et à l’utilité des royaux d’Europe… on se demande bien pourquoi ils viennent sur N&R? Peut-être ont-ils la prétention de nous éduquer? Qui veut être éduqué à l’anarchie, aux éternelles promesses des républicains… qui changent de couleur à chaque élection présidentielle; on peut se poser la question? Certainement pas nous qui sommes dans une démocratie constitutionnelle ;-)))
Tonton Soupic
11 juin 2015 @ 19:19
C’est une course de chevals, le Prix de Viane ?
Ontheroadagain
12 juin 2015 @ 09:24
En tout cas, aucune fausse note de la part du couple Royal depuis presque 1 an de règne !
kalistéa
18 juin 2015 @ 19:52
Vous n’avez pas vu les dictées après tout Onthero…