Dîner de gala au palais présidentiel de New Delhi pour le roi et la reine de Suède. (Copyright photo : Cour royale de Suède)
Dîner de gala au palais présidentiel de New Delhi pour le roi et la reine de Suède. (Copyright photo : Cour royale de Suède)
Laurent F
4 décembre 2019 @ 09:30
Jolie couleur pour la reine
Robespierre
4 décembre 2019 @ 10:40
Menu ? Sûrement bon mais avec des legumes un peu tarabiscotés.
Pierre-Yves
4 décembre 2019 @ 11:17
Il va de soi que les souverains qui voyagent en Inde le font dans des conditions très particulières, presque atypiques, et qu’ils ne sont guère exposés aux difficultés considérables de ce pays.
Moi, l’Inde m’effraie. J’ai peur de l’immensité de ses villes, de la circulation anarchique, de la pauvreté, de son climat, de sa pollution terrible, de sa population gigantesque, j’ai peur de me sentir noyé, englouti dans un monde dont je ne maitriserais acune règle. Je ne me sens pas armé pour affronter tout ça. Je n’ai pas ce courage, ou cette témérité.
Et vous, quelle est votre expérience de la chose ?
Marie-Francoise2
4 décembre 2019 @ 13:08
Il est vrai que l’Inde est vraiment un autre monde pour nous, occidentaux. Sur tous les plans, c’est le choc.
Avel
4 décembre 2019 @ 13:16
Exactement la même réaction que vous Pierre-Yves. Des merveilles à visiter mais aussi une peur du choc de la pauvreté et de tout ce que vous décrivez si bien.
Si j’y allais un jour ce serait de toute façon en voyage organisé. Je ne voyage jamais ainsi mais dans le cas de l’Inde ça me rassurerait.
ciboulette
4 décembre 2019 @ 14:56
Je n’y suis jamais allée et je pense que je n’irai jamais .
GUY
4 décembre 2019 @ 15:33
De l’Inde je n’ai vu que le Rajasthan , Delhi, Agra Jaipur, temples de Khajuraho et Bénarés, c’est tellement immense en 10 jours.
Je voulais voir le Taj Mahal, je l’ai vu, touché , une pure merveille, photographié
pendant deux jours de l’ouverture a la nuit tombée, et bien sur photos sur le fameux banc avant l’arrivée de la grosse foule.
Les couleurs sont magnifiques dans les campagnes, turbans et saris de vives teintes, le luxe des palais des Maharadjah est éblouissant et aussi choquant par rapport a l’immense pauvreté et mendicité que l’on peut rencontrer, les enfants nous encerclent pour avoir quelque chose et on doit surtout faire trés attention a sa sacoche
Dans les rues a Jaipur, c’est un enchevêtrement de voitures , vélos, vaches, etc.. du bus on voit les hommes uriner sans gêne sur les trottoirs
A Bénarés, du bateau,on assiste aux crémations qui se font le long du Gange, fleuve sacré, les corps sont recouverts de fleurs et le vent nous fait parvenir avec la fumée, des odeurs de grillé…
La maison d’indira Gandhi se visite aussi, a New Delhi, dans le jardin , marquage au sol a l’endroit ou elle est tombée
Il faut aimer la cuisine trés épicée, mais pas de souci s de ce côté la
Mais hélas gros problèmes d’avion en ligne intérieure, pris par deux fois dans de violents orages avant d’atterrir et de remonter en vitesse pour se poser a 200 km, violentes secousses,a côté de moi des femmes pleuraient, et criaient , never, never India ! j’ai cru ma dernière heure arrivée !
Mais ce serait trop long ici de raconter ensuite les autres péripéties dans un autre avion, bloqué ensuite deux jours par un autre orage, et transfert dans un hôtel fleuri avant d’avoir un nouveau billet pour Paris, et pour moi aussi depuis c’est , never , never India !
Pierre Yves, si un jour vous y allez, partez en groupe, pas seul, dans ce pays, on peut se sentir perdu, préparez bien tout d’ici, il est trés difficile de rester seul en ville on est constamment abordé dans la rue et même les employés des grands hôtels vous guettent et viennent frapper a votre porte proposer divers services….. au moment ou l’on prend sa douche. et se changer pour le repas du soir…….
Marnie
4 décembre 2019 @ 15:44
Pour ma part, j’ai exactement le même sentiment que vous Pierre-Yves, auquel j’ajouterais le sentiment d’insécurité. J’ai pourtant 2 amies qui se sont rendues en Inde individuellement (je veux dire pas dans un groupe de touristes organisés) et qui ont apprécié leur séjour, mais moi ça me fait peur et ce n’est pas une destination que je mettrais dans ma liste des pays que je rêve de visiter. Je préfère le découvrir par les documentaires télévisés ;)
*evelyne*
4 décembre 2019 @ 13:05
*Vous avez raison Pierre-Yves j’ai effectué un voyage en Inde en 2018 j’ai ressenti tout ce vous décrivez dans votre commentaire tout cela sous une chaleur acablante.*
apolline
4 décembre 2019 @ 14:58
Pierre Yves je suis allée 4 fois en inde,4 regions differentes, je comprend votre ressenti, mais croyez moi sautez le pas une fois, je serais prête a revoir le temple d’or a amristar au penjab, certes il y a une population grouillante, une autre culture, malgré tout cela mes souvenirs sont merveilleux ……………
Danielle
4 décembre 2019 @ 19:10
Pierre Yves, dans mon entourage plusieurs personnes ont voyagé en Inde et en sont tellement ravies qu’elles y retournent mais pour ma part ce pays ne me tente pas du tout, il y a tout de même beaucoup d’insalubrité.
La reine semble porter une belle robe.
Pastelin
4 décembre 2019 @ 20:53
Juste le récit d’amis qui ont été saisi d’un grand malaise dès leur descente d’avion, plongés sans transition dans un océan de misère. Pourtant avertis, pas naïfs. Pas certain que les splendeurs de ce pays aient dissipé ce malaise durant leur périple. Plutôt l’impression au contraire qu’il n’a pas cessé de coller à leur peau.
HRC
6 décembre 2019 @ 15:11
Pierre-Yves, je crois que vous avez compris tout le risque.
2 mois à 2 en autonomie en Inde du Sud.
De tout magnifique, unique, instructif, mais hors des métropoles vite sorties des projets après l’aéroport, une certaine inquiétude s’installe par crainte de braver un code par inadvertance (manquer de respect à un brahmane en guenilles mais estampillé d’un haut rang par exemple, il faut s »écarter immédiatement pour ne pas l’effleurer ) et la crainte de toucher ce qui a été touché par des lépreux ou autres malades, et l’erreur d’avoir le regard incontrôlé sur l’infirmité qui provoque colère visible et menaçante
Et enfin avoir vu la banalisation conduire à une sorte d’indifférence installée dans les dernières gares, le dernier aéroport, on ne voit plus les corps couchés sur le sol, on passe… après coup on se déteste.
Malgré tout ce que j’ai admiré, je me suis recentrée sur l’Europe après.