A Madrid, la reine Letizia d’Espagne a assisté à la réouverture au public du monastère de las Descalzas reales après 20 mois de restauration des salles d’exposition et d’une cinquantaine d’oeuvres.
A Madrid, la reine Letizia d’Espagne a assisté à la réouverture au public du monastère de las Descalzas reales après 20 mois de restauration des salles d’exposition et d’une cinquantaine d’oeuvres.
Pétillante
3 décembre 2021 @ 08:23
en plus d être magnifique, ce qui me frappe c est son regard intelligent. elle prépare chaque visite avant pendant 2 h et la visite d État en norvège était préparée depuis 4 ans. en journaliste qu elle est , elle doit savoir l art de rebondir.c est un atout incroyable cete femme pour la monarchie
Bambou
3 décembre 2021 @ 12:43
Regard intelligent…😂😂😂
Katellen
3 décembre 2021 @ 12:58
Je ne vois pas ce qui est drôle. Laetizia n’est certainement pas la dernière des idiotes. Elle a fait de solides études et elle semble préparer sérieusement les thèmes de ces déplacements et interventions.
Juliette d
4 décembre 2021 @ 04:00
4 ans pour préparer une visite de 2 jours en Norvège? Il faut apprendre vraiment lentement.
Bambou
4 décembre 2021 @ 11:59
😂😂😂😂😂
Kalistéa
4 décembre 2021 @ 13:16
Et puis; qu’est-ce qu’on en sait surtout, Juliette D!
Elisa2
4 décembre 2021 @ 16:14
La famille royale espagnole est-elle allée en Norvège ? après tous les articles consacrés au voyage des souverains en Suède…. « Il faut apprendre vraiment lentement ».
Kardaillac
3 décembre 2021 @ 08:49
En l’église conventuelle gisent Alphonse II de Bourbon et son fils François réunis sous la même pierre tombale. Le frère cadet du duc de Cadix, Gonzalve de Bourbon, y est aussi enterré depuis l’an 2000.
Pistounette
3 décembre 2021 @ 08:56
Le Monastère « des Pieds nus Royaux » a été fondé par Juana de Austria (1535-1573), fille cadette de l’empereur Charles V et princesse de Portugal. Elle transforma le palais dans lequel elle-même est née, en un monastère de religieuses clarisses.
Le monastère a été catalogué comme Bien d’Intérêt Culturel, obtenant également la distinction de Musée Européen en 1987. La communauté religieuse des Clarisses franciscaines qui l’habite est arrivée en 1559, et est populairement connue sous le nom de Descalzas Reales, un nom qui est dû à porter des sandales simples à tout moment de l’année.
source Casa Real
Kalistéa
4 décembre 2021 @ 13:19
Ce n’est pas « les pieds nus royaux » , c’est les « déchaussées royales »(autrement dit les religieuses que vous évoquez)
Ciboulette
5 décembre 2021 @ 20:49
Oui , comme on dit aussi » les carmes déchaussés » c’est -à-dire un ordre religieux ( masculin de carmélites ) qui marchent en sandales , comme les Franciscains d’ailleurs , par esprit de pauvreté .
Caroline
3 décembre 2021 @ 09:52
A voir la vidéo sur cet article dans le blog royal de Paris- Match !
C’ est un très beau musée comme partout en Espagne.
Beque
3 décembre 2021 @ 10:46
Ma visite datant de 2003, je ne sais pas ce qui a été restauré. Cet extraordinaire Couvent de Las Descalzas Reales de Madrid a été fondé au XVIe siècle dans le palais où elle naquit, en 1535, par Juana, une des filles de Charles Quint. Il accueillait surtout les femmes de la noblesse. Les cadeaux offerts par les familles en ont fait un intéressant musée d’art. La cage d’escalier est recouverte de fresques. Au premier étage, la galerie est bordée de chapelles richement décorées. Les 33 clarisses (33 à cause de l’âge de la mort du Christ) de l’époque possédaient chacune une chapelle, qu’elles devaient décorer elles-mêmes. La chapelle qui fait suite à la salle du chapitre aux stalles sculptées est remplie de reliquaires et de tableaux en relief, en nacre, en corail. Nombreuses peintures de Rubens, Zurbaran, Breugel l’ancien, Titien. Les tapisseries des Flandres représentent l’Eucharistie. Pendant la guerre civile, les religieuses se réfugièrent dans un autre couvent de leur ordre. Depuis une bulle pontificale, elles ont le droit d’ouvrir leur clôture pour la procession du Vendredi Saint.
Danielle
3 décembre 2021 @ 11:39
Cette réouverture doit être un enchantement pour les visiteurs.
ade
3 décembre 2021 @ 11:43
Elle, au moins a compris la tenue adéquate pour visiter un musée : pas besoin d’un sombrero !!
Leonor
3 décembre 2021 @ 12:13
Je me débrouille un peu en espagnol, même si je ne le parle pas vraiment.
Cependant, la débrouille a ses limites.
La preuve : premier réflexe, » descalzas », qu’est-ce à dire ? Décaleçonnés … ? Un monastère ? Et la Reine qui le visite ? Ho, ho, doit y avoir une erreur…. là ! Parce que, si je ne me trompe, z’avaient pas de Dagobert ni de saint Eloi en España ?
……..
Bon, après vérification, tout le monde est retombé sur ses pieds et ceux qui en avaient ont rechaussé leurs godasses .
Leonor
3 décembre 2021 @ 14:14
Hors toute plaisanterie, sans doute s’agit-il des Carmes Déchaussés.
Beque
3 décembre 2021 @ 18:02
Leonor, « descalzada » signifie pieds nus dans les sandales. Je vous dirais que, lors de ma visite de ce couvent de Madrid, bien que parlant espagnol et le comprenant, la guide parlait tellement vite, au milieu de l’escalier, que je captais un mot sur quatre que je griffonais sur mon carnet tout en piquant des fous-rires. Le couvent étant devenu un Bien d’intérêt culturel, la reine n’a pas de raison de ne pas le visiter.
Savez-vous que Saint Eloi est le patron des orfèvres, des forgerons, des métallurgistes, des quincaillers, des serruriers, des charretiers, des mécaniciens, des garagistes, des chirurgiens, des maréchaux ferrants. Chez Alsthom on le fête dans le service des alternateurs et turbines. En plus d’être orfèvre (il a orné les tombeaux de Sainte Geneviève et de Saint Denis), il a fondé des monastères à Solignac, Tournai, le Mont Saint-Eloi et termina sa vie comme évêque de Noyon. C’est ce que je raconte quand je fais visiter mon église et que nous nous arrêtons devant une fresque représentant Saint Eloi. J’ai appris par un visiteur qu’une convention collective de la Sidérurgie attribuait une prime de la Saint Eloi (équivalent de deux journées de travail) au personnel qui – laïcité ou pas – ne « crache » pas dessus.
josaint vic
3 décembre 2021 @ 12:23
Magnifique , tout comme le couvent de l’Encarnation …a voir et a revoir
Aliénor
3 décembre 2021 @ 19:37
Nous avons en France, les monastères de Carmes déchaussés.
Ce monastère des Descalzas reales contient des merveilles. Un peu dépoussiéré il doit être magnifique.
La salle des reliquaires est ébahissante.
Beque
4 décembre 2021 @ 10:24
Je pense qu’on dit « Carmes déchaux ».
Hervé J. VOLTO
4 décembre 2021 @ 18:15
D’accord avec Aliénor !
Le monastère des Déchaussées Royales (en espagnol Monasterio de las Descalzas Reales) est un monument de Madrid, qui contient des merveilles. Dèpoussiéré par les travaux de restauration, il est en effet magnifique
https://www.patrimonionacional.es/Home/Monasterios-y-Conventos/Monasterio-de-las-Descalzas-Reales.aspx
La salle des reliquaires est à voir absolument. Le monastère abrite également une nécropole où reposent, notamment, des membres de la Famille Roayle d’espagne :
-le Duc d’Anjou et de Cadix, Alphonse de Bourbon (1936 – 1989), aîné des Capétiens, prétendant Légitimiste au trône de France ;
-le Duc de Bourbon, François de Bourbon (1972 – 1984), fils aîné du précédent ;
-le Duc d’Aquitaine, Gonzalve de Bourbon (1937 – 2000), oncle du précédent.