La comtesse douairière de Bathurst est décédée en décembre 2018 à l’âge de 90 ans. Gloria, comtesse de Bathurst, appartenait à une riche famille américaine. Son époux est décédé en 2011. Elle a continué à habiter leur demeure de Cirencester Park.
On a appris que sa fortune personnelle estimée à 33 millions d’euros a été entièrement léguées à deux amis décorateurs d’intérieur Grant White et Geoffrey Bradfield, et non pas à son beau-fils Allen, actuel comte de Bathurst. (Merci à Alberto)
Val
12 novembre 2019 @ 08:25
Les histoires de famille et l’argent !!!
Elsi
12 novembre 2019 @ 08:35
Je trouve que cette dame avait un air extremement distingue….tout en assumant son age….
Cosmo
12 novembre 2019 @ 09:21
Belle ambiance familiale !
Ludovina
12 novembre 2019 @ 10:25
Elle était la seconde épouse (union célébrée le 17/01/1978) d’Henry Allen John Bathurst, 8th earl Bathurst (01/05/1927-13/10/2011).
Allen Christopher Bertram Bathurst, 9th Earl Bathurst, est issu du premier mariage (divorce en 1976) avec Judith Mary Nelson (décédée le 25/04/2001).
Il est né le 11/03/1961, il s’est également marié 2 fois : ses 2 enfants, Benjamin George Henry Bathurst, lord Apsley né le 06/03/1990 et Lady Rosie Meriel Lilias Bathurst née en 1992, sont issus de sa première union en 1986 (divorce en 1994) avec Hilary Jane George.
Il s’est remarié le 08/06/1995 avec Sara Chapman née en 1963.
Robespierre
12 novembre 2019 @ 12:51
Les aristos anglais qui ne se marient qu’une seule fois sont rares comme l’éléphant blanc.
Francois
12 novembre 2019 @ 10:25
Cela s’appelle disposer de ses propres
Son beau fils n’était pas son héritier légal
Ce qui est regrettable c’est l’entretien d’une telle demeure
Un héritage se mérite aussi !!
Et puis attention aux vautours
Antoine
12 novembre 2019 @ 10:45
S’il s’agit de sa fortune personnelle cette dame était libre d’en disposer à sa guise. Un beau-fils n’est pas un héritier du sang et il avait sans doute hérité de son père au préalable. Sans doute n’avait-elle qu’un droit d’usage sur Cirencester Park que son beau-fils pourra récupérer.
Robespierre
12 novembre 2019 @ 13:01
c’est souvent au niveau pécuniaire que les comptes finissent par se régler. Les belles-mères mal accueillies et riches, faudrait se méfier…
Caroline
12 novembre 2019 @ 11:18
Encore une histoire désolante sur l’ héritage familial !!!
Cette comtesse n’ avait- elle pas ses propres enfants ? Si elle était brouillée avec son beau-fils, elle aurait dû penser à donner sa fortune aux oeuvres de bienfaisance !
Gérard
12 novembre 2019 @ 13:57
L’avis de décès ne citait aucun enfant et conseillait au lieu de fleurs de faire des dons à des associations pour les chiens.
Corsica
12 novembre 2019 @ 14:02
Caroline, la comtesse, qui n’avait pas d’enfants, ne s’entendait pas avec son beau-fils et ce, depuis longtemps. Pourquoi aurait-elle du alors lui laisser sa fortune personnelle plutôt que de la laisser à ceux qui ont su probablement lui donner affection et attention.
Caroline
12 novembre 2019 @ 13:07
Antoine,
Merci pour votre commentaire ! Mais, n’ avait-t- elle pas de cousins et de neveux ?
Jean Pierre
12 novembre 2019 @ 13:32
Histoire assez classique en définitive.
Mayg
12 novembre 2019 @ 13:58
Ce n’était pas son fils donc elle n’avait aucune obligation à lui léguer quoi que ce soit.
JAY
12 novembre 2019 @ 15:51
Certains avocats vont gagner beaucoup d argent !
Pascal
12 novembre 2019 @ 17:56
Cette haie qui fait une ceinture à l’esplanade du château est d’un effet magnifique !
Je ne pense pas en avoir jamais vu d’autre .
J’espère au moins que le huitième comte a bien puisé dans la fortune de son épouse pour faire dans sa demeure et dans ses jardins tous les travaux nécessaires à sa pérennité et que son fils pourra préserver la demeure familiale et son parc qui semble magnifique.
Pour le reste cette histoire de « décorateurs » ayant capté un riche héritage m’en rappelle furieusement une autre , française celle-ci ….
(Une amie très chère devait parfois allé demander des dons à Madame Grog-Carven dans son château pour financer des expositions , elle me l’avait décrite comme entourée d’un essaim bourdonnant de « petits antiquaires »…
Cela semble être fréquent pour les vielles dames riches .
Menthe
13 novembre 2019 @ 17:33
Pascal, je l’avais également remarqué cet extraordinaire mur végétal apparemment superbement taillé et entretenu !
À votre avis, thuya, cyprès ?
Quant aux « petits antiquaires, ou décorateurs ou couturiers… » c’est une vieille histoire 😘
Baboula
15 novembre 2019 @ 11:32
Si vous le permettez ,peut-être aussi : ifs ; pas facile de si loin .
Pascal
15 novembre 2019 @ 17:03
Chère Menthe ,
Je n’en sais rien…
Je vous répondrais volontiers : » ces cyprès sont si loin qu’on ne sait si c’en sont » ce qui me rappelle un excellent souvenir .
Grâce à vous je vais essayer de creuser la question de la différence essentielle entre Thuyas et Cyprès au sein des Cuppressaceae !
Mais il semble en tout cas que le parc de Cirencester passe pour un modèle du jardin anglais .
Menthe
16 novembre 2019 @ 17:56
😊
Dagobert 1er
12 novembre 2019 @ 19:43
Il n’est pas son fils , c’est son argent. Elle en dispose comme elle l’entend! Point barre.
Mary
13 novembre 2019 @ 00:29
Pas la première vieille dame à tomber dans les griffes d’un entourage » bien intentionné ».
Le fisc saura prendre sa large part sur cet héritage.
Mary
13 novembre 2019 @ 00:31
Ça ressemble à l’histoire de » l’amour dans un climat froid » ou la mère de l’héroïne s’entiche d’un coiffeur ou je ne sais trop qui, qu’elle ne quitte plus.
Anne-Cécile
13 novembre 2019 @ 01:32
En l’occurrence le beau-fils a hérité des biens familiaux et ne pouvait prétendre à la fortune de sa belle-mère. En tant que veuve de son père, elle devait avoir l’usufruit des biens de son défunt mari. Morte, le beau-fils a récupéré la direction et la jouissance de tout ce qui appartient encore aux Bathurst.
Stanislas
13 novembre 2019 @ 19:14
Une g**** qui, depuis le décès de son mari, n’a eu de cesse d’emmerder son gendre et la plupart des personnes du domaine. Heureusement que son gendre a hérité dès 2011 du château et des 15 000 acres du domaine, cette dernière s’étant vu attribuer par son défunt mari une confortable ferme joliment garnie d’œuvres d’art et de 3 000 acres de terres. Non contente de son sort, en 2017 elle a traduit en justice son gendre, plutôt gentil et conciliant, pour s’arroger des droits de maîtresse de maison sur le château familial et ses remarquables collections d’art. Heureusement, le gendre a tenu bon malgré de graves ennuis de santé dont il semble sorti, mais cette belle-mère n’aura cessé depuis 2011 d’agir en tous points pour nuire à la famille de son défunt farfelu de mari, même les gens de l’hôpital, à qui elle a refusé de renouveler le bail de location du parking, elle se les ait mis à dos. Bref et en résumé, une arriviste comme les USA savent en produire qui, une fois de plus, passé une allure plutôt convenable, se révéla être tout bonnement une arriviste mesquine qui entendit battre sa belle famille sournoisement et stupidement, terminant sa vie par un dernier coup d’éclat dans la rubrique des faits divers où on apprend qu’à défaut d’avoir été une personne remarquable par ses bonnes actions et qualités personnelles, elle laisse les millions acquis avec ses fesses à deux folles d’intérieurs ! Décidément lucide jusqu’au bout avec elle-même, elle aura donc orchestré une fin à son image : sans intérêt !
Baboula
14 novembre 2019 @ 18:51
Ça c’est une belle éloge funèbre,bravo !
Baboula
15 novembre 2019 @ 11:34
Bon,d’accord c’est un éloge ,mais c’était un cri du coeur ! 🤭
Val
15 novembre 2019 @ 00:22
Stanislas,
Divine sortie que voilà !!!