Le Parc Monceau est situé dans le 8e arrondissement à Paris. D’une superficie de 8,25 hectares, son entrée principale près de la Rotonde se trouve boulevard de Courcelles. Il est l’un des plus beaux jardins de la capitale.
On y et découvre une grande diversité d’oiseaux, des arbres remarquables (Peupliers d’Italie, de Sycomores et de Sureaux ) ou la fraîcheur d’un bassin où vivent carpes et poissons rouges, tortues de Floride, canards colverts et poules d’eau.
Louis-Philippe d’Orléans, duc de Chartres puis duc d’Orléans, habite au Palais-Royal, résidence officielle des ducs d’Orléans depuis Louis XIV.
En 1769, Louis Philippe épouse Marie Adélaïde de Bourbon. Cette descendante du comte de Toulouse, un des bâtards légitimés de Louis XIV, est alors à la tête d’une véritable fortune. Rapidement, le nouveau ménage se cherche un domaine.
Le choix se porte sur Mousseau comme on disait alors. Là, dans la plaine Monceau, le duc de Chartres devient le propriétaire d’un véritable domaine de 26 hectares, au nord ouest de Paris, au-delà des limites de la ville.
Dés l’acquisition des lieux, il décide de s’y faire construire, une « Folie » entourée d’un jardin. Ce pavillon de plan carré est l’œuvre de l’architecte Louis-Marie Colignon. Le pavillon s’organise sur deux étages, avec une forme octogonale. Plus tard, on agrandira le rez-de-chaussée par quatre galeries en étoile, comme le décrit Louis de Carmontelle dans sa présentation du jardin. Pour cette raison, le pavillon prit rapidement son nouveau nom : la Folie de Chartres.
Le paysagiste Carmontelle est chargé d’aménager le jardin en 1773. Louis Carrogis de Carmontelle est un merveilleux touche-à-tout, dessinateur loué pour la ressemblance de ses portraits de profil, auteur de petites comédies qu’il fait jouer dans les fêtes du vieux duc (Louis-Philippe I), inventeur de « panoramas », des rouleaux de papier de Chine (de vélin), parfois de plusieurs dizaines de mètres, présentant une succession de scènes dans des paysages bucoliques que l’on déroule pour les spectateurs plongés dans le noir, comme s’ils assistaient à un long plan-séquence. Un de ces panoramas est conservé au musée de Sceaux et le musée Paul Getty a mis en ligne un autre rouleau de 37 m de long.
Ce nouveau jardin est conçu comme un « jardin d’illusion » : il est peuplé de fabriques, de ruines, de vestiges romains, de tentes tartares, d’un minaret, d’une pagode chinoise et de la célèbre Naumachie. Ce bassin ovale bordé de colonnes corinthiennes, imaginé par Catherine de Médicis comme sépulture pour son époux Henri II, provient de la Basilique de Saint-Denis. Cette œuvre, qui n’a jamais été achevée, fut démontée en 1719 et récupérée par le Duc de Chartres pour l’agrément de son vaste terrain.
En 1783, le célèbre paysagiste écossais Thomas Blaikie prend la direction du jardin et y fait de nombreux changements pour en simplifier le tracé et diversifier les plantations.
Chargé d’agrandir le jardin dans un aspect plus proche de la nature.et lui donner une touche unique, il y introduit : les ruines d’un temple de Mars, d’un château gothique, une pyramide égyptienne ou encore tente tartare. Ces petites constructions rendent célèbre ce jardin anglo-chinois.
En 1785, le ministre des finances, Calonne décide d’entourer Paris d’une enceinte ponctuée de barrières d’octroi. Le jardin était situé en bordure du mur des Fermiers Généraux qui courait le long du Boulevard de Courcelles. Afin que l’enceinte ne gâche pas la vue de Monseigneur sur la campagne, celui ci exigea que le mur soit remplacé par un fossé.
En 1788, l’architecte Claude-Nicolas Ledoux est chargé de construire en bordure du jardin un pavillon d’octroi qui permettait de taxer les marchandises entrant dans Paris.
La rotonde de Chartres, constituait une barrière d’entrée dans la Capitale, l’une des 4 barrières d’octroi qui subsistent aujourd’hui parmi toutes celles construites à l’entrée de Paris. Le pavillon néo-classique est entouré d’un péristyle de 16 colonnes. Le duc se réserva le premier étage du Pavillon d’octroi comme lieu de festivités entre amis. Un belvédère installé en son sommet ne fut coiffé d’un dôme qu’un siècle plus tard.
A la Révolution, l’ensemble du domaine est confisqué et devient en 1793 bien national et ouvert au public. A noter qu’en 1797, l’aérostier des fêtes publiques, André Jacques Garnerin y réalise le premier saut en parachute de l’histoire.
Ce n’est qu’après la Révolution que le parc, en piteux état, est récupéré par les Orléans. En fait, cette récupération se fait en plusieurs temps.. Ils décident alors de détruire la Folie de Chartres. A la place, on construit un autre pavillon.
Ensuite, ils vendent, pour racheter l’ensemble en 1819. En tout état de cause, le fils du duc de Chartres, Louis Philippe ne s’intéresse guère au domaine de Mousseau. En effet, il préfère son château de Neuilly. Il fit d’ailleurs déménager le temple de marbre blanc au bout de l’île de la Jatte, transformé en temple de l’Amour.
Conformément à la volonté de l’empereur Napoléon III, le préfet Georges Eugène Haussmann (1809-1891) restructure la ville autour d’un ensemble de parcs et de bois dans une perspective hygiénique au profit de la population. On assiste alors à l’aménagement des bois de Boulogne et de Vincennes, et à la création du parc Montsouris et des Buttes Chaumont. Le parc Monceau est le seul lieu historique remodelé
En 1860, la Ville de Paris rachète le parc pour en faire un espace public. C’est à cette date que Jean-Charles Alphand, ingénieur des Ponts et Chaussées, dessina les formes actuelles du Parc Monceau ,8,4 hectares ,en gardant certains des vestiges de la « Folie de Chartres ».
Gabriel Davioud (1824-1881) est chargé des entrées monumentales avec leurs grandes grilles dorées. Cinq portes percent la grille de la rue de Courcelles : une grande est placée au centre. On trouve ensuite deux autres sur les côtés pour les voitures, puis encore deux supplémentaires pour les piétons. A chaque fois, les portes sont séparées par des pilastres respectant l’ordre ionique. Les panneaux sont décorés de motifs surmonté de bandeaux avec des cartouches encadrés de festons.
L’autre partie fut réservée à la construction d’hôtels particuliers pour la bourgeoisie industrielle (plus précisément, au bénéfice des familles Pereire, Rothschild, Cernuschi, Ménier, Camondo). Le parc Monceau fut inauguré en 1861 par Napoléon III.
Le vieux village de Monceau ou de Mousseaux, près de Paris, fut alors annexé tout comme onze autres communes à la capitale, la rue de Courcelles tracée et le percement du boulevard Malesherbes ampute le jardin.
L’arcade d’un des deux porches d’entrée qui enjambe une allée du Parc, date de la Renaissance. Ces fragments de colonne proviennent des restes de L’Hôtel de ville de Paris incendié en mai 1871.
La pyramide, édifice de style Egypte Antique est un des rares « rescapé » du premier parc Il a une symbolique franc-maçonne, le Duc d’Orléans étant le Grand Maître du Grand Orient de France.
Des statues en marbre d’écrivains et de musiciens se découvrent un peu partout, au détour des bosquets :
- Ambroise Thomas (compositeur 1811 – 1896) sculpteur : Alexandre Falguière.
- Edouard Pailleron (poète et dramaturge 1834 – 1899) sculpteur : Léopold Bernstamm
- Charles Gounod (compositeur 1818 – 1893) sculpteur : Antonin Mercié
- Guy de Maupassant (écrivain et journaliste littéraire 1850 – 1893) sculpteur : Raoul Verlet
- Alfred de Musset (écrivain 1810-1857) sculpteur : Antonin Mercié
- Frédéric Chopin (compositeur et pianiste 1810 – 1849) sculpteur : Jacques Froment-Meurice
La Lanterne japonaise a été construite en 1786 et installée au Parc Monceau en 1986 pour symboliser le pacte d’amitié scellé en 1982 entre Paris et Tokyo.
De tout temps, le Parc Monceau et son caractère aussi original qu’insolite a inspiré les artistes. Des peintres, comme Monet ou Caillebotte, mais aussi des photographes, comme Eugène Atget ou Willy Ronnis, ont choisi le Parc Monceau pour leurs œuvres.
Le parc Monceau est entouré d’immeubles de luxe et de somptueux hôtels particuliers, dont le musée Cernuschi (arts asiatiques). (merci à Guizmo)
Parc Monceau- 35, boulevard de Courcelles – 75008 PARIS
Gérard St-Louis
7 avril 2021 @ 02:09
J’adore ce parc et je ne rate jamais une occasion de le traverser lors de mes passages à Paris. Mon attachement vient de ma lecture, adolescent du roman Les Boussardel de Philippe Hériat, couronné en 1939 du prix Goncourt pour son second tome Les Enfants gâtés. J’en profite parfois pour revisiter le Musée Nisim de Camando.
Ghislaine LPB
7 avril 2021 @ 12:11
Superbe, pour le mobilier, le musée Nissim de Camando .
La duchesse Diane de Wurtemberg l’appréciait aussi beaucoup /
berton
7 avril 2021 @ 12:42
Les Boussardel, une très bonne saga. Cela me donne une idée, je vais les relire !
Adélaïde de B.
7 avril 2021 @ 13:47
Nissim de Camondo…
Robespierre
10 avril 2021 @ 14:13
J’ai visité le Musée Nissim de Camondo. Le seul reproche qu’on pourrait lui faire, c’est que c’est trop parfait comme résidence, trop léché. Tout est d’époque et on s’y voit mal y vivre. Mais pour les nouvelles génération, c’est une belle rétrospective du 18e Siècle et le jeune homme à qui cette demeure était destinée est mort à la Grande Guerre et n’a pu en profiter.
inès Duhesme
16 août 2021 @ 11:56
Et pour cause ! Le Musée n’a jamais été une résidence mais la construction et l’aménagement ont été dès l’origine ceux d’un musée crée par le grand collectionneur Moïse de Camondo en souvenir de son fils mort à la guerre
Pistounette
7 avril 2021 @ 02:28
Reportage très intéressant. Merci Guizmo
Ghislaine LPB
7 avril 2021 @ 07:43
Oui un grand merci à Guizmo pour l’excellente présentation de ce lieu où j’aimais aller me promener ou lire en voisine .
Malheureusement , les temps ont changé et ce lieu paisible , s’est transformé en lieu de pique-nique en fin de semaine .
La comtesse de Paris a habité longtemps la plaine Monceau .
Baia
7 avril 2021 @ 13:16
« Malheureusement , les temps ont changé et ce lieu paisible , s’est transformé en lieu de pique-nique en fin de semaine »
Ghislaine, ce que vous écrivez est faux, archi-faux ! 😤
Ghislaine LPB
8 avril 2021 @ 13:11
surement pas , nous l’avons constaté lors de notre dernier passage à Paris . Des familles nombreuses assises sur des couvertures sur les pelouses , vêtements accrochés aux statues.
limaya
8 avril 2021 @ 06:20
« lieu de pique nique « je reprends vos termes G LPB , en effet transformé par cette société actuelle qui ne respecte plus rien , qui se sent partout chez elle avec sa suite de débordements en ts genres , particulièrement ds le vulgaire , l’ordinaire souvent et pas tjrs le fait de la jeunesse ou d’étrangers à la France comme on serait tenté de croire
Oui je suis « ringarde » direz vous.. rassurez vous j’accepte , moi aussi je reste sur mes lectures d’ado , P.Hériat et d’autres. Merci à vous Guizmo de ns avoir replongés ds le non médiocre .
Ghislaine LPB
8 avril 2021 @ 13:15
Oui Limaya , j’ai aussi apprécié de revoir l’endroit tel que je l’ai aperçu dans mes premiers pas ,là.
Je n’ai pas voulu insister sur les personnes sans-gênes mais , nous ne sommes pas restés longtemps dans le lieu , écoeurés de le voir devenu tel.
Alors peut être qu’il y a eu des plaintes et que l’on a un peu plus fait attention au respect du lieu , c’est possible mais en tout état de cause quand j’écris quelque chose c’est que j’en ai été témoin et me contrer systématiquement pour le plaisir de m’enq… eh bien cela ne marche pas .Ceci n’étant pas pour vous car je suis en accord avec ce que vous mettez .
Charlotte (de Brie)
7 avril 2021 @ 08:08
Merci beaucoup Guizmo, toujours un plaisir de découvrir un de vos articles en ouvrant le site.
Et aujourd’hui le parc Monceau ! mes grands-parents habitaient Bd de Courcelles, c’est dire si ce parc m’était familier lorsque j’étais enfant.
Tout le quartier est la mémoire de l’essor de la bourgeoisie sous le Second Empire, avec ses ascensions fulgurantes et ses descentes aux enfers qui ne le sont pas moins;.. (la Curée de Zola)
Un autre écrivain a décrit à la fois le quartier, ses beaux hôtels particuliers qui une fois les lourdes portes cochères franchies cachent des trésors de cours pavées et de jardins en plein Paris…. Philippe Herriat dans sa saga « Les Boussardel » raconte l’histoire de cette famille qui commence dans les années 1860 par la construction d’un hôtel « parc Monceau » et en même temps l’achat de sa concession au Père Lachaise…summum de la réussite sociale !
Dans le volume « Les Grilles d’Or », sur la couverture est représentée une de ces grilles monumentales, on en a toute la symbolique : emprisonnement doré , mais emprisonnement…
Gatienne
7 avril 2021 @ 12:11
Personnellement, je pense aussi aux « Boussardel » de Philippe Hėriat dont les romans furent adaptés pour le petit écran au début des années 70.
Un grand succès de télévision à l’époque, qui traitait de l’avènement de cette bourgeoisie très « locale ».
Gérard St-Louis
7 avril 2021 @ 15:29
Le roman de Philippe Hériat, de son vrai nom Raymond Gérard Payelle commence lors de l’occupation de Paris à la chute de Napoléon vers 1814. L’agent de change Boussardel invite sa famille dans un des tout premiers restaurants de la capitale où l’on sert du « Faisan à la Sainte-Alliance » pour les occupants russes, plat qu’il commande lui-aussi pour sa famille et ainsi débute l’ascension sociale de cette famille.
Charlotte (de Brie)
8 avril 2021 @ 12:48
Oui, vous avez raison, je me suis laissée emporter par les Rougon-Macquart devenu Saccard…
Pardon !
Jean Pierre
7 avril 2021 @ 08:42
Et le musée Nissim de Camando aussi à côté.
Adélaïde de B.
7 avril 2021 @ 13:58
Nissim de CamOndo…
Aviateur/Banquier. 1892/1917.
Chevalier de la légion d’honneur. Croix de guerre 1914/1918.
Ce valeureux et beau jeune homme repose au cimetière de Montmartre.
Trianon
7 avril 2021 @ 10:33
Beau parc, même si je lui préfère le Luco..
Merci Guismo!
Michelle M
7 avril 2021 @ 10:37
Merci Guizmo, tres belle presentation de ce parc, il doit etre agreable d y flaner.
Muscate-Valeska de Lisabé
7 avril 2021 @ 11:26
Il y a tout près un excellent restaurant libanais. Un déjeuner et une promenade ensuite au parc Monceau composent déjà en soi un joli Dimanche.
Charlotte (de Brie)
7 avril 2021 @ 14:22
Boulevard Malesherbes ?
Muscate-Valeska de Lisabé
8 avril 2021 @ 18:39
Je ne me souviens plus bien,mais je pense que oui,chère Charlie!…tout près du parc Monceau,quelques minutes à pieds…Si Régine permet.. »Le Rimal🇫🇷🇱🇧 ».
Charlotte (de Brie)
9 avril 2021 @ 09:47
C’est celui auquel je pensais, Muscate ! excellent !
Bon week-end !
Ciboulette
7 avril 2021 @ 15:11
Ma mère , quand elle allait chez sa tante boulevard de Courcelles , aimait beaucoup se promener au Parc Monceau . Merci , Guizmo , de faire vivre ce jardin dans nos mémoires !
Ghislaine LPB
7 avril 2021 @ 12:15
Je vais me faire descendre !
Lieu d’entraînement sportif d’Enrico Macias , qui habitait , dans une résidence qui donnaot directement sur la partie est du parc.
Il était d’une grande urbanité et remerciait les promeneurs qui lui adressaient un sourire ou un geste d’amitié .
C’est peut être people mais c’était un instant du lieu.
Adélaïde de B.
8 avril 2021 @ 23:04
Pourquoi, vous « faire descendre » Ghislaine LPB?
Alors, nous serons deux…
Effectivement pour l’avoir rencontré, foulant le même sable des plages de Ramatuelle, je peux vous assurer qu’ Enrico est un homme charmant.
Concernant Nissim de Camondo, à lire ou à relire « Le dernier des Camondo », écriture Pierre Assouline. (Sorti en poche chez Folio.)
Merci à Dame Régine. Ses inépuisables reportages entraînant ma mémoire vers des chemins de traverses portant le nom de souvenirs.
Ces chemins là, personne ne pourra me les enlever…
Robespierre
10 avril 2021 @ 14:21
Ce livre est très intéressant et il m’a intéressé. Je signale que la rue de Monceau où se trouve le Musée Nissim de Camondo est bordée de nombreux luxueux hôtels particuliers, bâtis pour la plupart sous le Second Empire. Certains d’entre eux furent habités par de grandes familles de financiers comme la famille Rothschild, la famille Ephrussi, la famille Camondo ou la famille Goüin.
Baboula
7 avril 2021 @ 13:04
Merci Guizmo, j’ai hâte de retrouver le Parc,je passe devant pour aller travailler et sa belle végétation rythme mes saisons . Je préfère me promener au parc des Buttes – Chaumont ,plus campagne et ‘montagne ‘ à Paris .
Francois
7 avril 2021 @ 14:02
Depuis l’enfance passionné par le parc Monceau…
Le roman des Boussardel de Philippe Herriat et son feuilleton
avec Nicole Courcel y est un peu pour quelque chose .
Mais ce quartier parsemé de très beaux immeubles a un je ne sais
Quoi de chic et de particulier.
Danielle
7 avril 2021 @ 14:10
Ce parc est très beau et j’aime m’y promener avec mes collègues dont les bureaux ont migré tout à côté.
Le musée Jacquemart André est également proche.
Merci Guizmo.
Anastasia A 🦋
7 avril 2021 @ 16:06
Merci ! J’aime m’y promener en famille
Aristocrate
7 avril 2021 @ 17:49
Voilà qui nous sort un peu en ces temps de confinement. Le duc de Chartres avait bien de la chance: 26 hectares à deux pas de Paris, c’est rare de nos jours. Merci Guizmo.
Cosmo
7 avril 2021 @ 19:11
Merci pour cette belle évocation du Parc Monceau. Je crois que si j’en avais les moyens un appartement avec vue directe sur le parc me plairait bien. Pour certains le 8eme est moins chic que le 7e, moins aristocratique certes, mais un hôtel particulier au parc Monceau en vaut bien un rue de Varenne. Un de mes amis possède deux immeubles avenue Van Dyck…
Baboula
8 avril 2021 @ 12:07
Pour moi ,c’est un de mes anciens élèves ,mais une somptueuse résidence ne suffit pas au bonheur d’une famille .
framboiz07
7 avril 2021 @ 21:27
Merci beaucoup !