Le prince Roland Bonaparte a fait construire un hôtel particulier en 1896 pour y abriter ses collections au 10, avenue d’Iena près de la Seine. Il avait rassemblé des livres rares relatifs à la botanique, à la terre et à la géographie. Le prince Roland Bonaparte et sa famille y reçurent tous les grands de ce monde avec un faste inouï. Depuis décembre dernier, l’hôtel particulier est devenu un hôtel de luxe (voir précédent article à ce sujet) le Shangri-La. L’architecte Richard Martinet et le décorateur Pierre-Yves Ronchon ont recréé avec succès l’ambiance de l’époque du prince Roland. On peut admirer sur ces différentes photos le grand escalier, les salons de réception, les petits salons de famille et la salle à manger du prince Roland Bonaparte. Les cheminées, les moulures ainsi que certains éléments décoratifs ont été heureusement conservés. (Merci à Charles pour le reportage et les photos)
marcelline
31 janvier 2011 @ 07:50
magnifique cet hôtel ! il y a juste un petit truc … c’est son nom, il me Shangrine … là !
Rosa
12 février 2013 @ 22:26
Pour l’histoire l’Architecte de Roland Bonaparte était Ernest Janty qui à creé et dessiné tout l’ensemble de cette construction.
Il était Architecte en chef du Gouvernement et chevalier de la légion d’Honneur !
il est inadmissible que les résidents actuels aient jugé bon de faire disparaitre de la façade la plaque de cet Architecte.
Elle y avait toujours figuré et mértitait d’être respectée !!
guizmo
31 janvier 2011 @ 08:14
Espérons que cette merveille restera en l’état et ne sera pas démontée pour être transporter en chine comme c’est malheureusement arrivé pour certains chateaux français !
philippe h
31 janvier 2011 @ 08:31
Merci à Charles pour ce reportage, qui reflète tout à fait l’excellence de la rénovation de cette splendide demeure.
Le bar, salon intimiste et feutré, est un havre de paix et une étape très agréable.
On imagine la jeune Marie Bonaparte en ces lieux où elle ne fut pas des plus heureuses, enfance triste entre un père souvent absent et absorbé par ses recherches, et une grand-mère plutôt sombre et peu affective.
En complèment de l’excellent ouvrage de Célia BERTIN consacré à Marie Bonaparte et dont il a déjà été fait mention à plusieurs reprises sur N&R, je conseille le petit catalogue consacré à l’exposition qui a eu lieu récemment au Musée des Avelines, à Saint-Cloud, qui comporte plusieurs chapitres fort intéressants, notamment celui qui décrit la vie à l’hötel de l’avenue d’Iéna, et celui écrit par la petite -fille de Marie Bonaparte, la princesse Tatiana Radziwill.
Jean Pierre
31 janvier 2011 @ 10:05
Encore faut-il se rappeler que si le Prince Roalnd Bonaparte a pu faire construire cet hôtel particulier d’un grand luxe c’est grâce à la fortune de sa femme décédée, Marie Blanc héritière des casinotiers du même nom et dont la fortune était aussi inouie.
Aramis
31 janvier 2011 @ 11:08
D’où lui venait une telle fortune ? on parle de luxe inouï, en 1896.
denis
31 janvier 2011 @ 11:09
un grand merci pour ce reportage photos !!! superbe !bon lundi à tous
ELISE
31 janvier 2011 @ 11:30
les livres rares,sur la botanique,la terre et la géographie ont été légué à la SOCIÉTÉ de GÉOGRAPHIE boulevard st Germain à Paris 75006.
Ils ont été légué avant la guerre par la famille de Roland Bonaparte.
neoclassique
31 janvier 2011 @ 11:51
Merci pour ces jolies photos de cet hôtel restauré avec soin mais puisque le reportage s’intitule «l’hôtel particulier du prince Roland Bonaparte », je pense que de nombreux lecteurs auraient aimé en savoir beaucoup plus sur l’histoire de cet hôtel et de son commanditaire.
Il aurait d’abord été intéressant, je pense, d’indiquer que cet hôtel devait sa construction au richissime mariage que fit le prince Roland en 1880 avec Marie Blanc, fille du célèbre François Blanc, fondateur du Casino de Monte Carlo, qui lui apporta dans sa corbeille de noces une fortune énorme évaluée à quelques 500 millions d’euros d’aujourd’hui.
Il aurait été intéressant aussi de dire que le prince Roland y avait rassemblé de nombreux souvenirs historiques insignes de Bonaparte parmi lesquels, puisqu’il est fait mention du salon de famille, un rarissime décor de boiseries provenant de l’hôtel de la rue Chantereine où habitait le général à son retour de la campagne d’Egypte.
Il aurait été intéressant également, puisqu’il est fait aussi mention de la bibliothèque, d’expliquer que cette bibliothèque, constituée par le grand scientifique que fut le prince Roland, se développait sur plus de 6 kilomètres de rayonnages comportant quelques 100 000 ouvrages d’histoire, de géographie et d’anthropologie et qu’elle était gérée à plein temps par un conservateur et 3 assistants.
Voici quelques exemples parmi tant d’autres qui auraient mérité d’être cités.
Bref, je regrette que ce « reportage » ressemble un peu à un simple dépliant d’hôtel de luxe alors qu’il y avait tant à dire sur cette prestigieuse demeure.
C’est dommage…
JAY
31 janvier 2011 @ 12:12
Heureusement qu il y a encore des groupes privés étrangers pour restaurer notre patrimoine.
Tous ces famille de la Haute aristocratie ont tout dilapidée et ne se sont jamais mise a travailler serieusement !
Colette C.
31 janvier 2011 @ 12:41
Superbe! Merci, Charles!
Pouvez-vous me préciser l’ascendance et la descendance de ce Prince? Merci!
christian
31 janvier 2011 @ 14:11
Les 3 derniers étages ont dû etre rajouté depuis la vente de l hotel par les Bonaparte. Entre temps l immeuble n a t il pas été le siège d une chambre de commerce ou qq chose comme ça?
Merci pour ce reportage.
Ogier le Danois
31 janvier 2011 @ 14:46
Bel hôtel, mais ils devraient avoir choisi un nom plus lié à la Bonaparte Prince Roland. Peut-être quelque chose de son expédition anthropologique aux Sâmis de Norvège du Nord?
Marie Christine
31 janvier 2011 @ 16:49
Splendide hôtel, par curiosité je suis allée sur le site: http://www.shangri-la.com/fr/property/paris/shangrila
C’est somptueux, j’aurai une petite préférence pour la suite Shangri-La mais bon….cela grèverait « légèrement » mon budget… :-)
Caroline
31 janvier 2011 @ 16:52
A Charles,un sincere merci pour ces belles photos,surtout celles de l’escalier! Oufff!la restauration de cet hotel a ete bien reussie!Par curiosite,etait-ce du grace a l’accord des nouveaux proprietaires etrangers?
corentine
31 janvier 2011 @ 17:58
très joli reportage
merci beaucoup Charles
shandila
31 janvier 2011 @ 18:25
Un texte intéressant pour un sujet qui ne l’est pas moins, et de superbes photos.
Un grand merci à Charles et Régine.
On peut regretter que cette demeure soit devenue un hôtel, mais la décoration est très belle, et dans la mesure où des éléments anciens ont été conservé, l’âme de la famille Bonaparte est encore présente, d’une certaine manière.
danielle
31 janvier 2011 @ 18:49
SUBLIME, merci Charles.
marie-françois
31 janvier 2011 @ 19:58
Merci Charles de nous faire participer à votre ballade au Shangri La – Iena.
Il s’agit là d’une bonne récupération par le privé d’un batiment public. La ou se trouvait des bureaux administratifs, avec tout le charme qu’on leur connait, depuis des decennies, se trouve un hotel de luxe qui a tres convenablement restauré les espaces de l’édifice qui avaient un certain interet architectural ou décoratif.
Il ne faut pas oublier que le batiment initial avait déja été rehaussé de deux étages par la Cie de Suez qui l’avait acheté à Marie Bonaparte, et à nouveau par l’Etat, apres 45.
Voila au moins un édifice qui sera ouvert au public, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent.
Il est difficile de ne pas évoquer, à cette occasion, l’Hotel de la Marine, place de la Concorde, actuellement au centre d’une polémique, à l’occasion du projet de sa cession au privé.
Pourquoi ne pas le céder au privé comme l’est déjà l’hotel voisin qui abrite le Crillon ? Personne ne s’est jamais ému jusqu’alors qu’un hotel de Gabriel sur un place emblématique soit entre des mains privés qui l’ont toujours bien entretenu.
L’Etat Major de la Marine le quittant, il fallait bien songer à ne réaffectation.
A l’étage noble, sur la place dee la Concorde, se trouvent une douzaine de salons qui participent d’un musée, dont la Marine n’avait donc que faire. A l’arriere sur des milliers de m2 se trouvent des bureaux administratifs qui ont régulierement été restrcurés depuis 250 ans et qui ont donc perdu leur état initial.
Il n’est donc pas incongru que ces espaces soient cédés, sous condition que les parties XVIII mentionnées plus haut soint conservés, en mains publiques ou privées, l’Etat ayant les moyens juridiques de l’obligation à conservation.
A titre indicatif, l’hotel de Talleyrand/Rothschild, voisin, a été complétement restauré extérieurement comme intérieurement, tout au moins l’étage noble sur la place.Propriété du gouvernement américain depuis 45 , il est atuellement par des sociétés privés, le consulat américain l’ayant quitté.
JAusten
31 janvier 2011 @ 20:30
Le bâtiment, le hall et l’escalier sont sublimes ! le reste ressemble à ce qu’on peut voir sur les photos des autres grands hotels
Caroline
31 janvier 2011 @ 21:02
A Christian,vous avez bien raison de nous avoir fait remarquer qu’on a ajoute les trois etages au dessus de l’hotel.C’est meme disgracieux,j’ai pu imaginer cet hotel beaucoup plus majestueux sans ces etages a l’aide d’une feuille de papier sur le haut de la premiere photo!!
neoclassique
31 janvier 2011 @ 21:18
Jausten 15
tout à fait d’accord avec vous, cette restauration est surtout marquée par une grande banalité esthétique et, hormis ces grosses couronnes dorées clinquantes sur la rampe d’escalier, rien ne rappelle le prince Bonaparte.
Pas plus d’ailleurs que le reportage qui pêche par la même banalité.
neoclassique
31 janvier 2011 @ 21:35
marie-François 14
me voilà d’accord avec vous (comme quoi tout peut arriver!) sur votre projet de réaffectation des salons historiques de l’Hôtel de la Marine qui sont un élément constitutif essentiel de notre histoire et de notre patrimoine et qui ne doivent pas en sortir.Encore qu’il y a aussi beaucoup d’autres espaces indignement cloisonnés au XIXe qu’il serait tout à fait possible de remettre dans leur état XVIIIe. Je pense notamment à la galerie où étaient exposés les joyaux de la couronne du temps où le bâtiment était garde-meuble royal. Les exceptionnelles portes sculptées de ces armoires subssitent et sont toujours conservées au Mobilier national, héritier du garde meuble royal.
Juste un dernier point, si l’état major de la Marine quitte les lieux en 2014, c’est unqiuement à la demande expresse de N. Sarkozy qui fait constuire à grand frais son pentagone à la française place Balard. Nombreux sont les amiraux qui, bien sûr, souhaitaient rester place de la Concorde.
*GUSTAVE
31 janvier 2011 @ 21:48
@ Collette C ( 6 )
il est le fils de Pierre-Napoléon Bonaparte lui même fils de Lucien, frère de Napoléon. Sa fille Marie est devenue princesse George de Grèce. Biographies de tous ces personnages dans Wikipedia.
Martine
31 janvier 2011 @ 22:03
Néoclassique
L’herbier du prince Roland Bonaparte est à Lyon.
D’abord hébergé à Edouard Herriot( dans l’hôpital,Lyon 3è )avec 2.500.000 échantillons concernant plus de 100.000 espèces,mais d’autres collections arrivant autre que lui,l’herbier et les autres collections ont été transporté à Villeurbanne(banlieue de Lyon )géré par l’université de Claude Bernard sur le Campus de La Doua.
Il est le 2è plus grand de France et 7è du monde
Et Lyon est ma ville de naissance,j’y suis à 10km et 6 km de Villeurbanne à la ronde.
christian
31 janvier 2011 @ 22:17
Merci à Marie François et à Neoclassique de vos explications,Caroline les derniers étages ont dû être rajoutés par Suez, car lorsque j habitais Paris je passais devant cet immeuble tous les jours et il y avait déjà ces étages (il y a 20 ans) et je me suis toujours demandé quel était le passé de cet édifice. Il y a eu il y a quelques semaines des articles sur Point de Vue sur cet hotel : et sur Marie Bonaparte et sur l hotel shangrila; bien à vous tous. C.
neoclassique
31 janvier 2011 @ 23:22
Jay 9
je dois dire que je suis affligé par le simplisme de votre jugement à l’emporte pièce!
Sachez qu’aujourd’hui en France, plus personne, même pas les Rothschild, n’arrivent à conserver des biens patrimoniaux insignes.
C’est le système fiscal accablant français qui en est le principal responsable beaucoup plus que les soit-disant dilapidations dont vous parlez.
Mais par ailleurs, ces biens sont aujourd’hui totalement inadaptés au mode de vie d’aujourd’hui.
Actarus
1 février 2011 @ 03:52
Roland Bonaparte était le papa de la fameuse Marie Bonaparte, princesse Georges de Grèce. Il était aussi le chef de la « branche aînée » de l’illustre famille corse, mais classé dans la 3e Partie du Gotha, alors que la branche cadette figurait dans la 1ère. Voici ce que j’ai trouvé dans mon almanach de 1924.
(début de citation)
Roland Napoléon, prince Bonaparte, Altesse, né à Paris 19 mai 1858, fils du pr. Pierre-Napoléon, né le 11 octobre 1815, mort le 7 avril 1881, et de Justine-Éléonore née Ruffin, née à Paris le 1er juillet 1832, mariés à La Cuisine, Belgique, le 2 octobre 1867 (mariage civil à Bruxelles le 11 novembre 1871)*; morte à Paris le 13 octobre 1905 ; Dr. hon. de l’université d’Upsala, Dr. ès sciences hon. de l’université de Cambridge, ancien lt. d’inf. franç., mbre de l’Institut de France ; marié à Paris le 7 novembre 1880 à Marie-Félix Blanc, née le 23 décembre 1859, morte le 1er août 1882.
Notice historique sur la branche :
Catholiques – Paris, Avenue d’Iéna 10. Auteur : Lucien, prince Bonaparte, né le 21 mars 1775, mort le 30 juin 184 ; Principe romano di Canino (prov. de Rome) e di Musignano (prov. de Rome) 8 août et 2 septembre 1814 (ces deux principati vendus plus tard) ; Prince et Princesse français avec le titre d’ « Altesse Impériale », 2 juin 1815 ; Napoléon III ne reconnut pas ce titre, il n’accorda le 22 février 1852 la qualification d’Altesse qu’aux neveux de l’empereur Napoléon 1er et qu’à leurs fils aînés ; à tous les autres membres de la famille il ne concéda uniquement que le titre de Prince ou Princesse. La branche du Prince Lucien n’a jamais cessé de protester contre cet acte. (fin de citation)
(*) sic. Un mariage civil célébré 4 ans après un mariage religieux ???
P.S. : Roland Bonaparte est mort le 14 avril 1924.
P.S.2 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roland_Bonaparte
P.S.P. : Où l’on découvre que le 10 avenue d’Iéna fait partie de ces biens que l’État sarkolandais vend à l’encan (cf. lien ci-dessus).
Jean I
1 février 2011 @ 06:16
Merci beaucoup à Charles pour ce reportage
Michael
1 février 2011 @ 08:14
Charles, Merci beaucoup pour ce reportage de qualité. chacun peut compléter à sa guise les informations données. Nous remarquerons encore le côté provocateur et déstabilisant de Néoclassique qui a pour but de semer la zizanie.
Merci Charles encore de nous offrir de tels exposés.
Colette C.
1 février 2011 @ 11:00
Merci,Gustave!
neoclassique
1 février 2011 @ 11:55
Quand on prend la parole, j’estime que c’est avant tout pour avoir quelque chose d’intéressant et de pertinent à dire et pas pour énoncer des généralités.
C’est vrai s’agissant des fondements juridiques du légitimisme et de l’orléanisme tout autant que de l’histoire d’un monument.
Mais je reconnais que l’érudition est un art difficile…
Charlotte
1 février 2011 @ 13:38
Merci Charles pour ces photos. La prochaine fois que je serai de passage à Paris, je ne manquerai pas d’aller y jeter un coup d’oeil.
Michèle
1 février 2011 @ 13:50
Je pense sincèrement que Charles et bien d´autres sur ce site sont érudits. Ils mettent leur savoir aux service des autres.
Le site de Régine s´adresse á tous ceux et celles qui connaissent l´Histoire en profondeur et qui nous font partager leurs connaissances.
Mais le site de Régine s´adresse aussi á tous´ceux et celles qui aiment l´Histoire sans vraiment la connaître et qui sont heureux de pouvoir de cette manière aggrandir leurs connaissances.
Merci Charles pour cette actualité.
Francky
1 février 2011 @ 14:03
Néoclassique et Marie-François,
Puisque vous parlez de l’hôtel de la Marine, j’y verrais bien l’aménagement du musée de l’histoire de France, cher à notre Nicolas Ier… Certes, ce serait beaucoup moins rentable pour l’État, mais un lieu très bien placé pour évoquer les grandes (et petites) heure de notre Histoire….
Et pourquoi ne pas y consacrer, face à la place du supplice, une salle en mémoires des nombreuses victimes innocentes de cette guerre civile que nous avons connue à partir de 1793 ? Bon, je sais, je pousse un peu: la République faire mémoire de ses crimes, même 200 ans après, c’est peut-être trop demander…
Quoique si l’on susurre à l’oreille de Nicolas Ier qu’une salle sera consacrée à son « règne », cela pourrait peut-être le convaincre… ;)
Francky de Navarre
pierre-yves
1 février 2011 @ 16:06
Charles a publié nombre de reportages intéressants, en particulier sur des lieux reliés à l’histoire des Orléans et point n’est besoin d’être un supporter de cette famille pour les apprécier.
Ceci dit, néoclassique a parfaitement le droit de donner un avis critique sur ces reportages puisque, en France comme en Belgique, l’expression est libre et doit le rester.
Cacouszka
1 février 2011 @ 17:02
Michael (29), vous avez exactement résumé ma pensée, je vous en remercie. Merci également à Charles pour ses exposés.
Néoclassique, je propose que vous alliez chercher ailleurs ce que vous ne semblez pas trouver ici, nous nous en voudrions beaucoup de vous rendre malheureux, aigri, ou pire, inculte.
Palatine
2 février 2011 @ 11:26
Francky 34
Aimant bcp l’hotel de la Marine et je suis tout-à-fait d’accord avec vous. Cet hotel appartient au patrimoine historique et culturel de la ville de Paris.
neoclassique
2 février 2011 @ 14:05
chère Cacouchka 36
Merci de vous précoccupez de moi,
mais, je voudrais tout de suite vous rassurer: il y a, Dieu merci, sur ce site beaucoup d’internautes érudits et cultivés et avec lesquels j’ai le plus grand plaisir à échanger et je continuerai de le faire.
Quant à l’inculture ambiante, je n’ai ai cure mais j’aime brocarder ceux qui se mettent sans cesse en avant surtout quand il s’agit de ne dire que des banalités ou bien dénoncer ceux qui, sous couvert de prétendues informations, assènent d’odieuses insinuations ou contre-verités, surtout quand il s’agit des mêmes personnes….
Aramis
4 février 2011 @ 10:52
Néoclassique :
Merci pour ces précisons, même si elles sont dites sur un ton un peu hautain, disons. Si Charles avait tout dit d’un seul coup, nul n’aurait pu compléter. Il a eu le mérite de lancer le sujet.
vous dites : « Il aurait été intéressant aussi de dire que le prince Roland y avait rassemblé de nombreux souvenirs historiques insignes de Bonaparte parmi lesquels, puisqu’il est fait mention du salon de famille, un rarissime décor de boiseries provenant de l’hôtel de la rue Chantereine où habitait le général à son retour de la campagne d’Egypte. »
Est ce que ces boiseries étaient toujours dans l’hôtel ou non ?
neoclassique
5 février 2011 @ 11:23
Aramis 39
non, hélas, lors de ma dernière visite à l’hôtel Bonaparte en 2001, il ne restait plus aucun des souvenirs du prince Roland. Tout avait été retiré lors de la cession de l’édifice à la Compagnie financière de Suez dans les années 20. Seuls subsistaient dans des pièces cloisonnées quelques éléments du plafond de la biliothèque.
Effectivement, mon ton était un peu hautain à l’égard de l’auteur de l’article car j’avoue détester les gens qui sans cesse se mettent en avant pour ne dire somme toute que des banalités, muliplier les flatteries de courtisans ou, pire encore, énoncer des mensonges ou des contre-vérités sous couvert de soit-disant informations de bonne source.
En revanche, j’apprécie infiniment les contributions argumentées et qui apporte des éléments nouveaux de nature à enrichir les connaissances et le débat.
bien à vous
Domergue
22 avril 2021 @ 16:33
l’hotel particulier de Roland Bonaparte etait le siege du:cfce: centre français du commerce exterieur;que j’ai connu quand je faisais mes etudes. le ministere de la marine pourrait redevenir le siege du mobilier national que l’on pourrait visiter au long de l’annee. le lieu du mobilier national(13e arrondissement) servant aux travaux de restauration…