L’impératrice Farah d’Iran passe quelques jours de vacances à Saint Tropez avec sa petite-fille Iryana Leila et sa maman Raha Didevar. (Merci à Véronique Y)
L’impératrice Farah d’Iran passe quelques jours de vacances à Saint Tropez avec sa petite-fille Iryana Leila et sa maman Raha Didevar. (Merci à Véronique Y)
Severina
25 juillet 2024 @ 05:38
Il y avait un peu de temps qu’on ne voyait des photos d’Iryana Leila: elle a bien grandi, une ado maintenant et charmante. Es-que elle vit toujours à Bali avec sa mère?
Bambou
25 juillet 2024 @ 05:55
Tant que sa petite-fille ne sera pas majeure il y aura toujours maman derrière elle , évidemment. Mais c’est bien qu’elles gardent le contact entre elles.
Quant à St Tropez…Farah bien courageuse… le bruit, la chaleur… mais je suppose qu’elles sont probablement dans un très bel hôtel ou une jolie villa…
Domin
25 juillet 2024 @ 22:08
C’est bien normal qu’elle soit avec sa mère !
Philibert
25 juillet 2024 @ 06:14
Bravo !
L’impératrice a l’air plutôt en forme pour ses 85 ans !
framboiz 07
25 juillet 2024 @ 06:23
Farah ,superbe ,Iryana superbe !
Auberi
25 juillet 2024 @ 06:55
C’est toujours l’endroit où la jetset doit être vue en été à se pavaner en Ferrari à 10km/h sur le petit port pour se faire photographier par les prolos en admiration. Une vitrine de peoples. Je n’ai jamais compris l’intérêt estival de Saint-Tropez sauf pour nourrir son snobisme ou son narcissisme. L’impératrice a dû croiser C. Hanouna bloqué sur le port dans sa Lamborghini en surchauffe entourée d’une essaim de smartphones (vu sur twitterX). Alors, Être ou Paraître ?
Bambou
25 juillet 2024 @ 16:59
Bien vu Auberi. Très bon résumé……..
Marie Françoise
25 juillet 2024 @ 07:41
Quelle belle photo ! Iryana aura 13 ans le ,26 juillet et ressemble beaucoup à sa cousine Farah !
Merci Véronique.
Bettouche
25 juillet 2024 @ 12:30
Elle est toujours a la hauteur de son statut d’antant
Adélaïde de B.
25 juillet 2024 @ 15:08
À Bettouche,
D’antan…
Claire
25 juillet 2024 @ 16:50
D’accord avec vous Mika.
D’autant plus que c’est très bling-bling Saint Tropez en été.
Teddy
25 juillet 2024 @ 20:25
Jeune femme
Domin
25 juillet 2024 @ 22:09
À son père surtout ‘
👑 MIKA 🖌️👑
25 juillet 2024 @ 07:52
Farah d’Iran n’est plus « Impératrice » depuis 1979…
Je ne vois pas l’utilité pour elle de donner ce genre d’information.
Nicole C34
25 juillet 2024 @ 12:35
@ Mika Régine a créé le blog , elle fait ce qu’elle veut , si on est pas contente on n’y va pas tout simplement .
Bernadette
25 juillet 2024 @ 12:42
Nous, nous aimons bien avoir des nouvelles…
Antoine
25 juillet 2024 @ 08:29
SM Farah PALHAVI toujours élégante …..
JALINE
25 juillet 2024 @ 09:10
FARAH aime la France elle le lui rend bien –
ST TROPEZ est un joli endroit de vacances avec sa petite fille –
Baboula
25 juillet 2024 @ 12:11
Joli endroit il y a 75 ans ,mais je vois mal comment ça peut descendre plus bas . Ceci dit une villa dans le domaine des Parcs avec quelques domestiques,un hélicoptère, un bateau ,pourquoi pas. Promis, je vous y inviterais.
Lili3
25 juillet 2024 @ 15:23
Vous rêvez, Baboula 🥸
Vitabel
25 juillet 2024 @ 14:46
Pour moi le dernier endroit où j’irais en été..mais à chacun ses goûts.
milou
25 juillet 2024 @ 09:20
Quel pansement de bonheur ses petites-filles …
Menthe
25 juillet 2024 @ 09:24
St Trop’ évidemment, il n’y a rien d’autre sur la Côte d’Azur !!
Gatienne
25 juillet 2024 @ 11:58
Les dames Didevar sont présentes à Saint-Tropez tous les ans, quant à Farah on l’a aussi vu à Beaulieu, nettement moins bling.
Robespierre
25 juillet 2024 @ 18:15
Faut voir pourquoi elles vont à St Trop’. Peut-être sont elles invitées chez quelqu’un.
Marie Françoise
1 août 2024 @ 09:07
Oui effectivement elles sont amies avec le prince et la princesse Bourbon des deux-Siciles qui y possèdent une résidence secondaire !
Jay
25 juillet 2024 @ 09:28
Vraiment l’impératrice sur les photos est toujours parfaite.
Cette petite fille, qui n’a jamais connu son père, à toute l’affection de sa grand-mère.
Veronique y
25 juillet 2024 @ 12:12
Depuis un mis je suis plongée dans les journaux iraniens montrant des anciennes photos de Farah et du Shah, mais je n’arriverai pas à les mettre ici il y en a trop,
framboiz 07
26 juillet 2024 @ 02:58
UN petit sprint , Véronique, C les JO
Claude Patricia
26 juillet 2024 @ 17:56
Bonjour Véronique.
J ai donc recopié ici quelques unes des premières pages de son livre de mémoires car j en avais marre que l on raconte qu ils étaient partis avec tout .
Sa Majesté elle même dit le contraire et je tenais à ce que cela se sache.
Je ne vais pas tout réécrire.
Sauf si Elle m en accordé le Droit parce que j ai beaucoup d admiration pour elle.
Caroline
25 juillet 2024 @ 12:30
Farah d’Iran est heureuse de retrouver sa petite- fille, l’unique enfant de son second fils décédé ! Une vraie Pahlavi !
Eve
25 juillet 2024 @ 12:31
Toujours une très belle femme avec sa charmante petite fille
Bien dommage qu’elle ne soit plus impératrice enfin plutôt son fils qui devrait être au pouvoir en Iran
Bettouche
25 juillet 2024 @ 12:33
Elle est toujours a la hauteur de son statut d’antant, elle est en france mais elle n’est pas rancunière, c’est pourtant le président Giscard qui est à l’origine de son malheur en aidant les islamistes à prendre le pouvoir.
Kardaillac
25 juillet 2024 @ 15:40
Giscard n’a que devancé l’appel des mollahs à la révolution. Le peuple s’est soulevé d’un bloc et l’armée n’a pas soutenu le souverain contesté. Farah Diba sait tout ça et qu’ils ont évité le sort des Romanov.
framboiz 07
26 juillet 2024 @ 03:01
VGE a bon dos,il faut relativiser !
Farah aime notre pays !La rancune, elle sait que ça grille l’estomac et la VIE !
Le débraillé de St-Trop doit l’amuser , C 1artiste !
ABER
26 juillet 2024 @ 07:59
Accuser la France d’être responsable de la révolution islamiste, c’est un peu gros. Son époux, le dernier Shah d’Iran n’était pas un démocrate et les USA l’ont abandonné lorsqu’il ne leur était plus utile.
particule
25 juillet 2024 @ 13:52
La petite fille et la grand mère est une image charmante et apaisante quand on connait les tragédies de cette famille.
Danielle
25 juillet 2024 @ 14:02
Farah est toujours très élégante et quel bonheur d’avoir sa petite fille auprès d’elle.
GUY
25 juillet 2024 @ 14:07
Farah a sans doute préféré quitter Paris et son tumulte actuel, d’autant plus que le défilé nautique des jo sur la Seine passe sous ses fenêtres…
On est toujours ravis d’avoir de ses nouvelles
Claude Patricia
25 juillet 2024 @ 16:54
Farah Pahlavi,
Mémoires.
Introduction
A la mémoire de tous ceux qui ont été assassinés par l obscurantisme.
A la mémoire de tous ceux qui ont donné leur vie pour l intégrité de l Iran.
Au peuple iranien
A mes enfants
Pour l amour de mon roi.
Le chagrin me broie le coeur, intense, intact, quand je me remémore ce matin de janvier 1979. Un silence angoissant s était abattu sur Téhéran, comme si notre capitale, à feu et à sang, retenait soudain son souffle. Ce 16 janvier nous partions, nous quittions le pays, estimant que le retrait momentané du roi contribuerai à calmer l insurrection.
Nous partions. La décision en avait été prise une dizaine de jours plus tôt. Officiellement, nous nous envolions pour quelques semaines de repos à l étranger. C est ainsi que le roi avait voulu presenter les choses. Y croyait il? L immense détresse que je lisais par instants dans son regard me laissait penser que non.
Mais moi j espérais,de toute mes forces,sans trop y croire non plus. Il était impossible à mes yeux que cet homme, qui venait de donner trente sept ans de sa vie à son peuple ne retrouve pas sa confiance un jour prochain. Sous son règne l Iran avait accédé au développement, brûlé les étapes, la paix revenue chacun serait bien forcé d en convenir. J espérais, oui. On le rappellerai et on lui rendrai justice.
Il avait neigé, le vent acerbe des sommets de l Alborz soulevait ici ou là des tourbillons cristallins dans le soleil levant.
La nuit avait été calme, étrangement calme, de sorte que le roi avait pu dormir quelques heures, c était au moins ça.
Affaibli par la maladie, secrètement miné par les évènements, il avait beaucoup maigri au fil de l année passée. Et puis ces dernières semaines, en dépit de la loi martiale, chaque nuit, des manifestants étaient parvenus à grimper sur les toits, bravant les militaires, et leurs cris de haine nous étaient arrivés jusqu’au palais » Allah est le plus grand, mort au Shah!. »
J aurai tout donné pour protéger le roi de ces insultes.
Nous étions sans enfants désormais. Les visites impromptues de ma petite Leila, le regard timide et plein d amour de Farahnaz pour son père, les blagues et les rires d Ali-Reza, extravagances affectueusement tolérées par mon mari, avaient déserté le palais. J avais repoussé leur départ jusqu’au dernier moment, pressentant qu il signerait sans doute la fin d une vie familiale qui nous avait comblé près de vingt années durant.
Notre fils aîné ,Reza, se trouvait aux Etats- Unis où il suivait une formation de pilote de chasse. Alors âgé de dix-sept ans, il téléphonait quotidiennement de là bas.
DEB
26 juillet 2024 @ 11:32
Très beau texte.
Merci.
Italie
25 juillet 2024 @ 20:01
L’ex impératrice devrait choisir un endroit plus élégant que Saint-Tropez pour passer quelques jours de vacances avec sa charmante petit-fille.
beji
25 juillet 2024 @ 20:37
Je viens de lire le livre de Françoise Dumas dans lequel elle écrit que dans les dîners,
Farah a la place qu’elle aurait si elle était toujours impératrice.
Juliette d
25 juillet 2024 @ 21:06
Antant? C’est quand ça?
Rene
25 juillet 2024 @ 21:28
Het meisje lijkt goed op haar vader
Bambou
28 juillet 2024 @ 12:00
En français ce site….merci…
Florence Bouchy-Picon
25 juillet 2024 @ 21:43
Oui, Bettouche cela a été la plus grande faute de Giscard. Il s’imaginait qu’en installant Khomeiny à Téhéran celui -ci lui ferait une « fleur » et baisserait le prix du pétrole et c’est le contraire qui s’est produit.
Eurydice
25 juillet 2024 @ 22:23
Quelle belle photo, elles se ressemblent tellement de caractère et physiquement à tout âge. La plus belle preuve d’amour de l’Impératrice Farah, sa poucinette Iryana.
KAYLEEN
25 juillet 2024 @ 22:34
Veronique y à l’époque ces deux personnes vivaient dans l’opulence tandis que le peuple……. et rassurez vous ils n’ont pas quitté l’Iran sans rien, avec une très grosse partie de leur fortune qui en plus devait déjà être placée dans divers pays.
Frantz
26 juillet 2024 @ 08:33
L impératrice fait en très grande forme. Quelqu’un sait où en est la mariage de sa petite fille Iman ? Cela fera bientôt un an qu il a été annoncé non ?
Marie-Caroline de Bretagne
26 juillet 2024 @ 09:12
Il est surprenant de voir l’impératrice Farah à Saint-Tropez. Cela ne lui correspond pas vraiment. Peut-être est-ce un choix de la mère de sa petite-fille ?
Monica
28 juillet 2024 @ 11:05
M.Caroline je pense aussi, car la belle fille est très jet set et bling bling
Claude Patricia
26 juillet 2024 @ 16:07
La situation, telle que la décrivait la télévision américaine, l inquiétait énormément. J essayais de le rassurer, de le convaincre qu il fallait tenir, ne pas perdre espoir surtout, tout en constatant que le pays s’enfoncait irrémédiablement dans le chaos.
Partout ou presque, les hommes avaient cessé le travail, les raffineries étaient à l arrêt, l économie en panne, et chaque jour apportait son lot de manifestations, son déferlement de haine, de provocations et de désinformation. Le roi bavardait brièvement avec son fils ainé, lui non plus ne laissait rien paraître au téléphone de son désarroi. Et cependant, les gens fuyaient. Mois après mois, chefs d entreprise, ingénieurs, chercheurs, cadres quittaient le pays. Bientôt, nous serions parmi les derniers légitimistes dans ce navire en perdition que des forces obscures semblaient décidées à conduire au naufrage.
Ces ultimes jours avant le départ des enfants avaient été terribles. A huit ans seulement, Leila ne paraissait pas réaliser dans quelle tension épouvantable nous vivions mais Farahnaz et Ali-Reza, âgés de quinze et douze ans ne cachaient pas leur trouble. Je voyais notre grande fille stationner longuement devant les grilles du parc et scruter silencieusement les rues vides, étonnée certainement de ne plus y découvrir les joyeuses bandes d enfants avec lesquelles il lui arrivait, autrefois de converser. Où étaient donc passé tous ces jeunes ? Dans le même temps, généraux, politiciens, universitaires et quelques religieux se succédaient au palais pour faire part à mon mari de leurs suggestions. Certains prônaient une solution pacifique et politique. D autres le suppliaient d autoriser l armée à ouvrir le feu et, invariablement, le roi leur rétorquait qu’ un souverain ne peut sauver son trône au prix du sang de ses compatriotes » un dictateur oui mais pas un souverain ». Et fermement il les éconduisait.
Quand il apparut au roi que la solution la plus sage était de partir, nous nous résolumes à nous séparer des enfants.
Claude Patricia
26 juillet 2024 @ 16:17
Un mois plus tôt, à la mi-décembre 1978, Farahnaz avait déjà rejoint son frère aîné aux Etats-Unis. Confiés à ma mère, Leila et Ali-Reza s’envolèrent à leur tour vers l’ Amérique. Je me souviens que Ali-Reza tint à emporter le drapeau impérial et son uniforme de la Garde. Quand les reverrons nous? Après avoir proposé de nous accueillir, les États-unis tergiversaient, nous n étions manifestement plus les bienvenus. L Egypte amie du Président Sadate serait donc notre première destination. Bien loin des enfants.
Claude Patricia
26 juillet 2024 @ 17:08
Nous prîmes ce matin-là notre petit déjeuner séparément. Le souverain s’ était levé très tôt et il avait rejoint son bureau comme n importe quel autre jour. Se doutait-il qu’il vivait ses dernières heures dans ce pays tant aimé? Se doutait-il qu’il n’y reviendrait plus de son vivant ? Y songer, aujourd’hui encore, me brise le coeur.
Il me restait la matinée pour rassembler quelques affaires. Dans la nuit j avais pensé aux photos des enfants, aux albums de famille, et la perspective de les laisser derrière nous m’avait précipitée dans une angoisse indicible. Prendre les albums, vite, toute la mémoire de notre bonheur passé se tenait entre ces pages.
Bon et puis qu’ emporter encore? J ‘etais dans un tel état que je me rappelle m être focalisée sur une paire de bottes que j aimais porter à la campagne. Nous allions avoir tout le temps de marcher désormais, et marcher était essentiel pour ne pas perdre courage, pour conserver l équilibre.
Oui ces bottes allaient être mes plus précieuses alliées. Leur présence étrangement m’ avait rasserenee. Quelques jours plus tard, les découvrant au fond d’ une valise, je me moquerai amèrement de moi-même : mon Dieu !
Comment l idée ne m’ avait-elle pas traversée que de telle chaussures se trouvent n’ importe où à travers le monde?
Vers quel exil glacial et dépeuplé je nous imaginais partir?
Puis longeant la bibliothèque, j’en sortis mes livres préférés, ceux que des poètes, des chefs d’ Etat ou des écrivains m’avaient dédicacés au fil de mes rencontres en Ira et à travers le monde.
Une personne du palais était montée m’ aider; nous étions dans mon bureau.
Claude Patricia
26 juillet 2024 @ 17:39
– Les miniatures sont à vous, Majesté ,prenez-les.
Je me souviens avoir regardé cet homme avec beaucoup de tristesse.
– Mais non, voyons, non, tout doit rester, je ne veux rien emporter de ces bibelots.
J étais tiraillée entre l’espoir que nous allions peut-être revenir, bien sûr, et cette image horrifiante, humiliante, que j entre voyais déjà, l image de manifestants furieux pénétrant dans le palais et ouvrant nos tiroirs, nos armoires. A aucun prix je ne voulais qu ils aient le sentiment que nous étions partis en emportant nos biens! Non nous nous en allions la tête haute, avec la conviction d avoir travaillé sans relâche pour le seul bien du pays.
Et si nous avions commis des erreurs, du moins n avions-nous jamais songé qu à l intérêt général.
La veille, j avais demandé aux responsables des musées de passer prendre quelques objets précieux qui nous avaient été offert par différents souverains et chefs d’ Etats, ainsi que quelques biens personnels. Ceux là au moins ne seraient pas volés. La valeur des choses n’ avait pas d’importance pour moi. Je voulais que tout le reste, tableaux, objets personnels, tapis, etc..demeure à sa place, jusqu’à mes robes iraniennes, que j ‘ai volontairement laissées, comme on laisse derrière soi un peu de son âme. Pour prévenir les pillages, ou les malveillances, j’ avais invité la télévision à venir filmer l intérieur du palais. J’ avais également invité les journalistes iraniens et étrangers. Nos vies se confondaient alors avec le destin de l Iran, et je suis fière, au fond de moi, que nos biens personnels n aient jamais quitté notre pays.
Veronique y
26 juillet 2024 @ 17:56
Demain elle doit être au Caire.
Véronique Y
28 juillet 2024 @ 09:20
Hier au Caire on voit Farah qui se tourment pour quelque chose qui ne va pas :
Sylvana🍀
28 juillet 2024 @ 16:54
@ Claude Patricia Merci, j’ai beaucoup aimé 👍