L’oeuvre fait partie de la collection du musée du Louvre à Paris. En voici le descriptif : « Assise sur un tertre à l’ombre de grands arbres, habillée somptueusement, Joséphine mélancolique, regarde au loin. Elle a connu la pauvreté, l’emprisonnement et l’angoisse de la mort avant sa fulgurante ascension auprès de Bonaparte.
La robe, « parsemée de petits points d’or » dira Delacroix, est d’une étoffe qu’elle affectionne pour sa légèreté : une mousseline ou un tulle brodé en semis d’or. On aperçoit au décolleté et à la naissance des bras la fine chemise, en lin ou soie, dont la couleur se fond avec la peau laiteuse.
Élevée sous l’ancien régime, Joséphine adoptera les excentricités de la période du Directoire qui libèrent le corps, une brassière suffit à soutenir ses seins et seuls des bas blancs couvrent ses jambes jusqu’à mi-cuisse, n’étant portés qu’une seule fois, ils tiennent sur la jambe. Ainsi, pas de jarretière qui serre et pince. Le bas de cette robe, trop légère pour une promenade au bois, est garni de franges d’or d’où pointent de fines chaussures. » (Source : Musée du Louvre -© Musée du Louvre, dist. RMN – Grand Palais / A.Dequier)
Baboula
24 août 2020 @ 03:50
Pas un mot sur le somptueux châle de Cashmere ,luxe suprême à l’époque.
Menthe
24 août 2020 @ 15:57
Joséphine en usa et abusa de ces châles en cachemire.
Bambou
24 août 2020 @ 06:27
Joséphine avait inventé les « Dim’Up » avant l’heure…😂
PATRICIA
24 août 2020 @ 09:31
Robe avec la « taille empire », j’aime beaucoup. Une certaine douceur nostalgique ou inquiète se dégage du visage.
Menthe
24 août 2020 @ 09:43
On dit que ce cher Napoléon 1er aimait que les femmes soient ainsi décolletées et qu’il interdisait le port de châles pour couvrir les épaules dans les soirées de réception, ce qui fit que ces dames, non seulement étaient souvent gelées mais aussi souffraient régulièrement de flux de poitrine ou autres affections pulmonaires.
Pierre-Yves
24 août 2020 @ 11:16
C’est incroyable ! Napo n’avait pas de choses plus importantes à penser que d’interdire le port du châle en soirée ???
Jusqu’où peut se nicher l’orgueil des détenteurs de pouvoir !
Muscate-Valeska de Lisabé
24 août 2020 @ 18:55
C’est une anecdote très connue qui n’étonne pas de la part de cet amoureux des femmes.
Kalistéa
27 août 2020 @ 10:18
Napoléon avait bien d’autres choses en tête que d’être « amoureux des femmes » Il ne passe pas d’ailleurs pour un « coureur de jupons » , plutôt pour un misogyne !
Muscate-Valeska de Lisabé
27 août 2020 @ 20:03
Oulala mon Kali…revoyez ses lettres enflammées,s’il vous plaît. Notre empeureur adorait les femmes,et il était sensible au charme féminin,au singulier…et au pluriel.
Philibert
24 août 2020 @ 11:02
Pour la pose, on dirait que Joséphine a oublié son beau harnais !
OK, je sors…
PATRICIA
24 août 2020 @ 11:21
Vous avez le mérite de nous faire rire, bien trouvé !
Kalistéa
1 septembre 2020 @ 22:41
Napoléon n’a envoyé de « lettres enflammées » qu’ à Joséphine qui fut la seule grande passion amoureuse de sa vie . Il eut de la tendresse pour Marie Valewska qui lui avait donné un fils et un attachement conjugal pour Marie-Louise qui était « la fille des Césars » et l’avait fait entrer dans la grande famille qui régnait en Europe depuis… toujours !Le reste :c’était des aventures qui servaient sa réputation dans l’armée , car il avait souffert de mauvais bruits visant à le diminuer , qui le supposaient impuissant .
bruits concernant une supposée ‘impuissance ..
COLETTE C.
24 août 2020 @ 14:10
Un portrait très connu et toujours aimé.
Muscate-Valeska de Lisabé
24 août 2020 @ 18:56
Un visage aigu qui ne paraît pas devoir inspirer une telle passion chez un si grand homme,au premier regard .
Kalistéa
3 septembre 2020 @ 12:25
Je trouve pour ma part que le peintre n’a pas flatté l’Impératrice qui était bien plus belle et séduisante que sur ce portrait connu . David sur la tableau du sacre rend dit-on mieux le charmant profil de Joséphine.