Réédition aux éditions Perrin de ce très intéressant livre d’André Castelot « L’histoire à table. Si la cuisine m’était contée« . Le livre se lit comme un dictionnaire. On y apprend que l’on mangeait encore des cygnes farcis sous le règne du roi Louis XIV à Versailles que ce dernier faisait cultiver des aubergines dans son potager, l’histoire des plats devenus aujourd’hui courants comme les omelettes, les coquilles Saint-Jacques ou al choucroute, les premiers restaurants comme le Café Anglais à Paris, les goûts culinaires de la Cour de France en passant par les rois de Saxe et de Prusse ou encore la Cour impériale de Saint-Petersbourg, l’histoire des ustensiles de cuisine et de fins gastronomes comme Talleyrand et Vatel.
« L’histoire à table. Si la cuisine m’était contée », André Castelot, Perrin, 2015
Francois
11 janvier 2016 @ 05:22
Livre très intéressant que celui là
Tres agreable à feuilleter
Et tellement révélateur de voir les règles de la table encore
en vigueur aujourd’hui se figer au XIXele siècle
Ne pas oublier que la société humaine est née autour du foyer
Dis moi comment tu reçois je te dirai qui tu es
La politique de la table …..
Savoir recevoir peut faire de Savoie une œuvre d’art
Caroline
11 janvier 2016 @ 11:00
Francois, tout à fait!
André Castelot nous est très connu pour ses livres captivants et agréables à lire.
Merci pour ce livre conseillé!
Danielle
11 janvier 2016 @ 17:56
Caroline, un excellent livre pour vous qui recevez tant.
Caroline
12 janvier 2016 @ 12:13
Danielle, bien deviné!
Merci pour votre gentille attention!
Francois
11 janvier 2016 @ 05:22
De sa vie
Jean Pierre
11 janvier 2016 @ 07:23
Qui se souvient d’André Castelot ? Heureusement que l’on n’écrit plus l’histoire comme il le faisait même si son style était agréable.
Maria Edite
11 janvier 2016 @ 18:24
Hélas, je ne comprends pas votre commentaire…
Jean Pierre
12 janvier 2016 @ 08:16
Pour Castelot, l’histoire est une succession d’anecdotes. Adolescent, j’ai lu son Bonaparte et son Napoléon, plaisants, puis Tulard vint et ce fût d’un autre souffle.
clementine1
11 janvier 2016 @ 11:53
pensée émue pour l’auteur.
Leonor
11 janvier 2016 @ 20:24
Je vous accompagne, Clémentine1.
Et, Jean Pierre, bien sûr qu’on se souvient d’André Castelot. Il a énormément fait pour la vulgarisation de l’Histoire. Je sais, je sais, les bonnes âmes universitaires ne le trouvaient pas assez ennuyeux….
JAusten
11 janvier 2016 @ 18:57
« al choucroute « ….. pardonnez moi Régine, mais j’ai beaucoup beaucoup ri !
Leonor
11 janvier 2016 @ 20:26
Mais je vais me trouver ce volume en vitesse ! Moi qui aime l’Histoire, la table, et Castelot, ce bouquin n’a pas encore sauté sur mes rayonnages ? Un scandale.
Merci pour l’information, Dame Régine.
Ghislaine
12 janvier 2016 @ 14:38
Le tandem André Castelot et Alain Decaux a fait beaucoup pour la vulgarisation de l’histoire de France et jusqu’à présent n’a pas été remplacé dans la qualité .