En voici le résumé : » Ce livre – accessible à tous ceux qui s’intéressent à cet accessoire de mode mais qui ne prétend pas être un ouvrage de spécialiste – retrace l’histoire d’une Maison fondée en 1827, dont les éventails couture en plumes, paillettes, sequins, dentelles précieuses ou organza, qui ont fait sa réputation dans le monde entier, ont pu, admirablement conservés, parvenir jusqu’à nous.
Il témoigne aussi de la renaissance de la marque Duvelleroy au XXIe siècle, grâce à des passionnées qui ont su réveiller, réinventer et rendre de nouveau désirable cette belle endormie, dont les plis renferment tant d’imaginaires et de beauté, au moment précis où l’éventail s’invite de nouveau sur la planète mode, aussi bien comme marqueur de l’esthétique de la singularité qu’en sa qualité de petit air conditionné portatif. »
Duvelleroy. Trésors de l’éventail. Couture parisienne », Clémence Barbé-Conti et préface de Christian Lacroix, In Fine, 2020, 248 p.
Baboula
2 décembre 2020 @ 02:38
La boutique d’éventails Duvelleroy est sise rue Amélie à Paris et le musée de l’Eventail reçoit sur rendez-vous bld de Strasbourg . Délicatesse et raffinement .
Benoite
2 décembre 2020 @ 08:53
L’éventail est aussi pratique : depuis que les étés sont caniculaires, et même avant, il est l’accessoire qui ventile. Dans un sac à main, on le sort plus souvent que le tube de rouge à lèvres, et nombreux sont les regards qui se tournent vers vous pour se dire, « pas bête ».
Il y a eu une exposition qui s’est tenue dans une petite ville du Dauphiné (Drome ou Isère) qui exposait des éventails et objets de coquetterie féminine (beauté) poudriers, petits pots de verre, flacons de parfums, et cette expo avait eu un joli succès. Rétro quand tu nous tiens…
Ghislaine G-L-P-B
2 décembre 2020 @ 10:04
Ce livre m’intéresse .
J’ai toujours en été un éventail dans mon sac , précieux allié pour les coups de chaleur comme celui subi à Strasbourg lors d’un tour en bateau, où une charmante canadienne voulait m’acheter le mien !
Avec mon ombrelle , ce sont deux accessoires qui m’aident à survivre , en été.
septentrion
2 décembre 2020 @ 11:51
Je suis en train de lire Belgravia de Julian Fellowes et justement Madame Anne Trenchard se munit de son nouvel éventail Duvelleroy pour se rendre à une soirée de Lady Caroline Brockenhurst.
Le modèle de la couverture est splendide.
ciboulette
2 décembre 2020 @ 18:40
D’un voyage en Andalousie il y a quelques années , j’ai rapportés deux éventails assez grands , qui me rendent bien service maintenant . Les habitants ont rarement une climatisation , l’eventail est partout .
Teresa2424
2 décembre 2020 @ 20:58
Si supieran lo útil que me resultó el abanico en el valle de Los Reyes entrando en las tumbas a medida que avanzas el aire disminuye …es muy práctico
Danielle
2 décembre 2020 @ 21:18
Je suis allée plusieurs fois visiter le musée de l’éventail bd de Strasbourg, mais sans rendez vous, car l’exposition change tous les ans et ce livre m’intéresserait.
Baboula
3 décembre 2020 @ 13:38
Le Covid oblige aux rendez-vous.
Clara
3 décembre 2020 @ 00:03
Il a existé un (ou plutôt des) langage(s) secret(s)de l’éventail et on en trouve des traces sur le web : voir par exemple : https://eventail.pagesperso-orange.fr/gal3.htm
« langage secret » ? Mais presque tous et toutes en connaissaient les codes…
Cependant une de mes amies milanaise m’a raconté la tragique histoire d’une méprise sur ce langage arrivée à une de ses aïeules ; sortie du couvent pour se marier elle en ignorait les règles. Son fiancé prit un de ses mouvements d’éventail pour un appel vers un rival et l’histoire finit par un duel qui fut meurtrier pour l’un des deux (mais mon amie ne se souvenait pas pour lequel des jeunes cerfs) et rapporta la jeune imprudente au couvent ad vitam !