Cet ouvrage photographique de Thomas Jorion « Veduta » vous mène dans des lieux en ruines, abandonnés du Nord de l’Italie du Nord au Sud, du Piémont à la Sicile, en passant par la Vénétie et la Toscane.
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Phil de Sarthe
14 janvier 2021 @ 06:45
J’ai eu l’occasion de feuilleter un ouvrage semblable….c’est sublime, mais la vision de ces lieux autrefois sublimes, crève le cœur au vu de leur état actuel….et de leur devenir…un peu comme l’ex dernières de pages du Guépard ( le roman)
Existe t il un S. Bern italien?😋
ISA
14 janvier 2021 @ 07:31
Comme c’est navrant, ces beautés abandonnées, alors qu’on construit tant de laideurs…
Philibert
14 janvier 2021 @ 17:14
On ne peut qu’être d’accord avec vous…
HRC
14 janvier 2021 @ 08:10
Sûrement beau, mais ça risque d’être triste aussi.
Mivonne
14 janvier 2021 @ 13:12
C’est la triste suite du Guépard en images….
Muscate-Valeska de Lisabé
14 janvier 2021 @ 16:39
Je n’ai jamais apprécié ce film.
À chaque fois qu’on le diffuse,j’en regarde trois bouts épars et je m’arrête là.
Par où que je le prenne,ce film ne m’accroche pas.
Aramis
15 janvier 2021 @ 14:08
Même pour rien d’autre que la beauté incendiaire, indicible, inégalable, inégalée d’Alain Delon ? Cette beauté lumineuse, presqu’effrayante, ce sourire dont on se demande si c’est celui d’un homme comme nous ou celui d’un demi-dieu que le ciel nous aurait prêté comme une illustration des splendeurs de l’au delà ?
Phil de Sarthe
16 janvier 2021 @ 09:22
👍
Muscate-Valeska de Lisabé
16 janvier 2021 @ 15:25
Je n’ai jamais tripé sur Alain Delon non plus.
Physiquement,il était juste beau,et son sourire était déplaisant.
Moralement,c’est un horrible prétentieux doublé d’un goujat crasse.
Voir le témoignage de Marie Lafôret,entre autres.
À choisir,Burt Lancaster,sans hésiter.
Phil de Sarthe
17 janvier 2021 @ 10:16
La valse avec Claudia Cardinale…un moment magique…
Phil de Sarthe
17 janvier 2021 @ 10:39
Chère Muscate.. vous connaissant…un peu, j’aurais deviné votre choix!
Effectivement, le témoignage de Marie Laforêt, m’avait choqué
Phil de Sarthe
17 janvier 2021 @ 10:42
….mon commentaire est parti trop tôt…maudit téléphone !!!
Il me semble que Marie Laforêt avait connu un drame plus » concret » précédemment 😻
miloumilou
16 janvier 2021 @ 11:16
Ne serait-ce que les lieux… Muscate…😉
Que de ruines magnifiques malgré tout dans ce pays aux richesses culturelles infinies!
Gérard
16 janvier 2021 @ 13:53
C’est dommage c’est tellement beau. Il faut le voir du début à la fin dans la version complète.
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2021 @ 19:10
Ennuyeux à périr.
Ciboulette
16 janvier 2021 @ 18:11
Moi non plus , ma chère Muscate !
Ciboulette
16 janvier 2021 @ 18:12
Je n’ai jamais trouvé Alain Delon beau d’une beauté virile .Il avait l’air d’une petite gouape de quartier .
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2021 @ 19:11
Comme souvent,tu as bien cerné mon idée 😘😉.
Esquiline
14 janvier 2021 @ 13:15
Difficile pour un pays perpétuellement en crise de gérer le plus imposant patrimoine de la planète. C’est triste mais je ne perds pas espoir, il y a beaucoup d’initiatives privées qui agissent avec efficacité, je pense à la FAI par exemple ou au petites associations « Pro Loco » qui font un travail admirable.
Phil de Sarthe
15 janvier 2021 @ 06:17
Il y a donc de l’espoir Esquiline !😉
Je relis mon premier post😨 . désolé !
Esquiline
15 janvier 2021 @ 14:18
Des petites lueurs 😏
La speranza è l’ultima a morire 😉
Chevalière
14 janvier 2021 @ 14:17
Tout à fait le contexte du livre « Le patient anglais »(Michael Ondaatje), tellement romantique, sentimental, mystérieux, historique… une écriture originale
Vitabel
14 janvier 2021 @ 15:47
J’ai vu quelques photographies de ce livre, c’est beau et triste en même temps. «la poésie des ruines» selon le journal Bilan.
Muscate-Valeska de Lisabé
14 janvier 2021 @ 16:37
J’adorerais ce livre.
Car je suis attirée par toutes les grandes demeures en ruines d’Europe.
Je cherche celle où j’ai vécu dans une vie antérieure. 😉
Ciboulette
16 janvier 2021 @ 18:14
Dans un château écossais , de toute évidence !
Muscate-Valeska de Lisabé
18 janvier 2021 @ 19:13
Tu veux que je me caille!🌫🌧🌨🌬💧☔🌂❄🌪🌩
Jean Pierre
14 janvier 2021 @ 16:53
Il faut que les ruines restent des ruines. Le romantisme est à ce prix.
Pour s’en convaincre il suffit de relire Chateaubriand.
Caroline
14 janvier 2021 @ 20:25
Vraiment désolant !
L’ Italie est un très beau pays avec ses centaines de bâtiments historiques, c’ est trop dommage pour le patrimoine italien.
Peut- être, avis aux acheteurs à la recherche des demeures à restaurer !
Ciboulette
16 janvier 2021 @ 18:15
Ce livre est peut-être beau , mais je le trouve triste à mourir et ce n’est pas ce que j’ai envie de lire en ce moment !
Gérard
16 janvier 2021 @ 13:54
Cette très belle photographie a été prise dans une villa appelée villa Parrots ou villa Pappagallo ou dei Pappagalli mais ce n’est pas le véritable nom de cette villa qui est ainsi désignée, du fait de ce décor avec des perroquets, par discrétion et pour éviter des déprédations supplémentaires. En réalité il s’agit de la villa Fossombroni ou Fossombroni Carlesi qui est appelée également Bellavista parce qu’elle dispose d’une vue imprenable sur toute la ville de Prato en Toscane.
La maison a été édifiée dans la dernière partie du XIXe siècle sur cette colline toscane et se caractérise notamment par ce style liberty (art nouveau). Son entrée évoque une grande volière à ciel ouvert.
La maison a été la propriété de la famille Fossombroni dont le nom évoque en particulier Vittorio Fossombroni (1754-1844) homme d’État, mathématicien, ingénieur, économiste, qui fut premier ministre du grand-duc Léopold de Toscane, le dernier grand-duc régnant. Une plaque l’évoque dans la maison.
Mais c’est le grand-duc Léopold Ier, qui devint l’empereur Léopold II, qui le 26 juin 1775 avait donné les actifs de la villa voisine d’aujourd’hui, la villa delle Sacca (mise en vente en 1967), à l’Internat royal Cicognini qui s’y installa. Cette villa servit de résidence d’été aux collégiens.
Cette villa delle Sacca a été construite en absorbant les restes d’un ancien monastère fondé en 1276.
Dans l’internat il y eut notamment deux élèves bien connus : Gabriele d’Annunzio et Curzio Malaparte.
La villa voisine (des perroquets) appartint également à l’écrivain, critique, poète, Ferdinando Carlesi (1879-1966) qui l’évoque dans Il Paese perduto.
Et l’on garde le souvenir de trois comtesses et d’une princesse royale très grande et de son pince-nez.
Cette maison a servi de villégiature aussi pour les collégiens mais également dans ses chambres recevait des parents venus visiter leurs enfants.
La villa Fossombrini ou Bellavista a été pratiquement abandonnée pendant une cinquantaine d’années, elle a pris de l’humidité d’autant qu’il y a quelques années une partie de la toiture de l’aile droite s’est effondrée et la villa a plus ou moins été squattée mais il subsiste beaucoup de souvenirs de famille et des fresques magnifiques.
Elle a été vendue au mois d’août 2020 à Manuele Lo Conte un entrepreneur qui compte la restaurer pour créer peut-être quatre appartements de grand luxe.
Gérard
16 janvier 2021 @ 19:48
Lire le grand-duc Léopold Il de Toscane, dernier grand-duc régnant.