Parution de ce bel ouvrage-album intitulé « Vestiges d’empire » par le photographe Thomas Jorion. Pendant trois années, il a sillonné les anciennes colonies à la découverte de vestiges de l’architecture coloniale française de Casablanca à Pondichéry, en passant par le Cambodge, le Sénégal, Madagascar ou encore Alger.
Que sont devenus ces maisons de maître, ces églises, ces bâtiments luxueux ? 180 photos vous feront revivre cette époque révolue.
« Vestiges d’empire », Thomas Jorion, Editions de La Martinière, 2016, 240 p
KOROBAZE
11 janvier 2017 @ 09:21
Un ouvrage que j’aimerais bien me procurer !
Corsica
11 janvier 2017 @ 13:58
Moi aussi, d’autant que dans certains pays comme le Vietnam, particulèrement dans l’ancienne Saigon, des immeubles modernes remplacent peu à peu ces vestiges d’un temps révolu.
mary71
11 janvier 2017 @ 12:29
je pense que je me procurerai cet ouvrage mais j’ai aussi un peu peur de me faire mal en voyant ce que sont devenus ces lieux que mes parents ont connus à leur apogée et qu’ils me décrivaient si souvent.
Caroline
11 janvier 2017 @ 23:22
Ce beau livre relié coùte 59 euros, à offrir ce livre aux nostalgiques de l’ancien Empire colonial français !
england
11 janvier 2017 @ 23:32
Mary 71 je suis comme vous mon père a vécut en « Indochine » pendant 12 ans et me parlait de ce pays avec amour et moi aussi j’ai peur d’être déçue en lisant le livre.
Leonor
12 janvier 2017 @ 00:51
Certainement intéressant.
Courageux, en tout cas.
Car traiter le thème » colonialisme » sous un angle positif est » politiquement incorrect », ô combien.
Au point que la p’tite dame qui nous sert pour quelque temps encore de ministre de l’éducation nationale a mis le colonialisme dans la colonne » obligatoire » des programmes d’histoire , étant entendu qu’il s’agit de taper encore et encore sur les vilains colons qui n’auraient fait que du mal etc etc .
Entre autres âneries irresponsables mais voulues de la-dite p’tite dame.
AnneLise
12 janvier 2017 @ 16:38
Etant retournée il y a quelques années dans la plaine de la Mitidja, j’ai eu un pincement au coeur.
Non, les colons n’étaient pas de vils exploiteurs, certains peut être, comme il y en a partout, dans toutes les civilisations et toutes les sociétés, mais en accord avec vous cette caricature « bien pensante » me donne la nausée.
Ils avaient fait de marécages une plaine luxuriante.
Les indigènes (oh là là, je vais m’en prendre plein la figure) étaient associés à cette mise en valeur.
Aujourd’hui j’espère que sortie de la période affreuse qu’elle a connue, cette région si riche va renouer avec la prospérité.
Je ne suis pas retournée au Vietnam.
Leonor
13 janvier 2017 @ 01:43
Nous sommes bien d’accord, AnneLise.
Et d’accord aussi avec par exemple nos amis tunisiens – du sud et sud-ouest de la Tunisie – qui affirment haut et fort regretter ce temps, et tout ce qu’il leur avait apporté.