En voici le descriptif : « Après un premier opus remarqué, Alexandre Gauthier, Chef étoilé, propose un nouvel ouvrage sur La Grenouillère, incarnation d’une cuisine contemporaine exigeante, ancrée dans un territoire riche et singulier, en 100 recettes.
On connaît l’ouvrage La Grenouillère d’Alexandre Gauthier paru en 2014.
Il est l’héritier d’une maison familiale installée dans une ancienne ferme du XVIe siècle se trouvant sur la côte d’Opale. Depuis sa rénovation par Patrick Bouchain et la parution du livre Alexandre Gauthier, cuisinier, La Grenouillère a évolué et a reçu de nombreuses distinctions. Elle est l’incarnation d’une cuisine contemporaine exigeante, ancrée dans un territoire riche et singulier.
Dans ce second tome, Alexandre Gauthier livre une centaine de nouvelles recettes. Cet ouvrage invite à découvrir un goût, un lieu, une équipe et un homme. À l’image de La Grenouillère, ce livre est sincère, poétique. »
« Alexandre Gauthier, cuisinier », Editions La Martinière, 2019, 336 p.
l'Alsacienne
24 mars 2020 @ 09:11
Pas très gourmande la couverture du livre : une tache de beurre fondu sur du papier froissé.
Je pense qu’on aurait pu mieux faire dans la présentation d’un ouvrage de cuisine gastronomique.
mirabelle
24 mars 2020 @ 09:19
Rien à voir avec l’article mais la photo qui l’ accompagne m’ évoque une émission que j’ ai regardée sur Arte : le Blob .
Une heure passionnante avec des scientifiques passionnés qui parlent d’un ??? Ni animal ni végétal ni minéral mais vivant, doté d’intelligence …bref une émission qui m’a fait regretter de ne pas étre une scientifique moi- même. Ce Blob vit près de nous dans la forêt… Il peut mesurer plusieurs mètres carrés .
Vous pouvez encore voir l’émission en Replay !
J’ai regardé le site de la Grenouillère … Trop tard pour aller s’y confiner !!!
Leonor
24 mars 2020 @ 10:43
J’ai horreur de tous ces » chefs » qui se prennent pour des vedettes , et en plus font écrire des livres sur eux-mêmes. C’est de la frime. Du snobisme .
C’est quoi, une » cuisine contemporaine exigeante », à part des mots ? De la cuisine aux pincettes, et une assiette dans laquelle deux navets se battent en duel et sont supposés vous transporter au nirvana ?
Non merci. Je laisse à qui veut .
ciboulette
24 mars 2020 @ 11:14
Comme Popeck dans son sketch » chez Maxim’s » , il faut espérer que l’on nous servira le vainqueur du duel , et non le vaincu !!!
Jean Pierre
24 mars 2020 @ 15:05
Détrompez-vous Léonor, sans vouloir faire de la pub pour ce restaurant, où je ne suis allé que deux fois, c’est excellent et pas guindé.
Si on prend le menu à plusieurs services c’est vrai que les plats font un peu « chi chi » mais à la carte c’est parfait de tenue et de cuisson.
Le cadre, le soir et la nuit en font un véritable havre de paix.
Et ce qui ne gâte rien l’addition n’est pas salée, tout juste un peu assaisonnée.
Alinéas
24 mars 2020 @ 10:57
Pas vraiment alléchante la couverture du livre ; on aurait pu mieux la présenter… Il m’en faudra bien plus pour m’allécher quand je serai sortie de mon confinement !