Sortie le 18 février aux éditions Balland de cette nouvelle biographie sur Anne Boleyn. A la lumière de récents documents déclassifiés des archives secrètes du Vatican, ce texte propose un nouvel angle sur la muse d’Henry VIII.
Grâce à leurs échanges épistolaires conservés au Vatican, Mario Dal Bello renconstruit la relation entre les deux amants. Un amour qui se terminera en tragédie et qui eut les conséquences que l’on sait pour le royaume avec le schisme entre l’Angleterre et Rome..
« Anne Boleyn et son roi », Mario dal Bello, Editions Balland, 2016, 240 p.
fanie
6 février 2016 @ 08:01
ça me fait rire de parler des « archives secrètes du Vatican ». Il me semble que tant que des archives (quelles qu’elles soient) ne sont pas déclassifiées, elle sont en principes secrètes. En tout cas, j’aimerai savoir comment ces lettres ont atterri au Vatican.
Marc
7 février 2016 @ 21:17
Elles s’appellent « secrètes » parce que c’est leur nom, tout simplement.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Archives_secr%C3%A8tes_du_Vatican
Site officiel (malheureusement seulement en italien avec le nom officiel en latin) :
http://asv.vatican.va/content/archiviosegretovaticano/it.html
jul
6 février 2016 @ 08:12
J’aime beaucoup ce personnage :)
ainsi que Thomas Cromwell
C’est une joie de pouvoir contempler une nouvelle version de leur histoire dans la série « the Wolf hall ».
Cosmo
7 février 2016 @ 11:03
Jul,
On peut admirer la grande intelligence et la rouerie de Thomas Cromwell ainsi son dévouement à son maître. Mais il me semble difficile d’aimer un homme qui trahit aussi bien celle qui l’aida dans son ascension. Et sans parler le sort qu’il réserva à Thomas More, qui lui fut fidèle à ses convictions.
Cosmo
jul
7 février 2016 @ 11:47
Cosmo,
Je vous recommande cette série
Vous y découvrirez un Thomas Cromwell sous un jour différent.
Dans l’épisode que je visionnais hier, j’ai beaucoup apprécié sa façon de parler à Thomas More :)
Cet homme n’était pas un saint.
Cosmo
7 février 2016 @ 13:49
Jul,
J’ai vu la série quand elle est sortie en Angleterre. Je l’ai trouvée excellente. J’ai trouvé le personnage de Thomas Cromwell fascinant, et Ann Boleyn peu intéressante. Je parle bien sûr des personnages montrés dans la fiction. Mais je n’ai aimé ni l’un ni l’autre. Certes Thomas Cromwell fut un grand homme d’Etat, certes Ann Boleyn fut une victime ( on peut, toutes proportions gardée, comparer l’iniquité de son procès à celle qui a prévalu lors du procès de Marie-Antoinette : calomnies et verdict prononcé d’avance) mais cela ne les rend pas sympathiques à mes yeux pour autant.
Cosmo
Vincent
8 février 2016 @ 09:31
Bonjour Cosmo,
Niveau calomnie, le procès de Catherine d’Aragon ne fut guère mieux. Une chance pour elle qu’Henri VIII était un roi très pieux, sinon d’autres auraient été tentés par des moyens plus extrême plutôt qu’un divorce.
Cosmo
8 février 2016 @ 15:05
Vincent,
La chance de Catherine d’Aragon a été d’être princesse royale de Castille et d’Aragon, tante de l’empereur Charles Quint. La piété d’Henri VIII ne l’a pas empêché de faire exécuter deux de ses femmes.
Cordialement
Cosmo
Vincent
9 février 2016 @ 09:07
Certes vous avez raison Cosmo. Mais comme moyens plus extrêmes, il y en a qui sont plus discrets que le gibet. D’ailleurs quand Catherine d’Aragon est décédée, une autopsie fut pratiquée tellement les soupçons d’empoisonnement étaient forts.
mongel
6 février 2016 @ 08:36
Rien à voir, mais le petit prince du Bhoutan est né le 5 février à Thimphu, le pays est très heureux
Ami des Bataves
6 février 2016 @ 08:48
On pourrait sous-titrer ce livre « Tout ça pour ça ». C’est une curieuse histoire d’un point de vue psychologique. Le roi devient amoureux fou de cette jeune femme même pas belle (d’après les témoignages de l’époque) mais cultivée et parlant très bien le français et ayant vécu en France. Donc par rapport aux femmes de son époque, elle était un peu plus sophistiquée. Elle résista longtemps aux avances du roi, espérant le mariage. On sait ce qu’il en advint, le bouleversement, les horreurs nées de cette passion, le traitement infligé à Catherine d’Aragon. La nouvelle religion. Mais ce qui m’intéresse dans cette histoire et cela ne se trouvera pas dans les archives du Vatican, c’est le désamour du roi. Un jour il ne l’aime plus, lui en veut de toutes les horreurs qu’il a commises pour elle et cherche un moyen de l’incriminer pour se débarrasser d’elle. On ne saura jamais comment, pourquoi et quand, cette dégringolade affective s’est manifestée. Cela aurait été intéressant à savoir.
En tout cas, on se dit « tout ça pour ça »
brownie
7 février 2016 @ 17:24
Evident, excusez moi. il voulait un héritier, mâle. Et Anne Boleyn n’y arrivait pas.
Pierre-Yves
6 février 2016 @ 09:49
A propos d’Anne Boleyn et d’Henry VIII, Arte a diffusé récemment une excellente mini- série britannique intitulée Wolf Hall, centrée sur l’ascension de Thomas Cromwell comme conseiller du souverain, mais qui évoque largement le couple Henry-Anne, jusqu’au procès, reposant sur des charges plus que douteuses, instruit contre celle-ci, et son éxécution, qui soulagea le roi, celui-ci voulant absolument un fils et résolu, pour cela, à épouser Jane Seymour.
Zeugma
6 février 2016 @ 10:36
J’ai regardé par curiosité s’il y avait un lien de parenté entre la souveraine actuelle et Henri VIII.
Il me semble que la réponse est négative.
Lionel
7 février 2016 @ 10:05
Vous avez mal regardé. Elizabeth II, comme tous les souverains européens, descend de la sœur d’Henri VIII, Marguerite d’Angleterre, reine d’Ecosse. De plus, par sa mère, elle descend de la deuxième sœur du roi, Mary d’Angleterre, brièvement reine de France, ainsi que de la sœur d’Anne Boleyn, Mary Boleyn.
Zeugma
7 février 2016 @ 19:14
Donc, selon vous, la reine actuelle descend de la sœur d’Henry VIII.
Lionel
8 février 2016 @ 15:55
Ce n’est pas « selon moi ». N’importe quel tableau généalogique vous le montrera. C’est quand même le point charnière de la succession de 1603, quand Jacques 1er succède à Elizabeth. Et le plus connu des éléments de base de la généalogie royale. Rien de neuf ici.
Leonor
6 février 2016 @ 10:43
Inépuisables » archives secrètes du Vatican » !
Qu’est-ce qu’on ne va pas encore aller tirer de là !
septentrion
6 février 2016 @ 10:51
Bonjour,
A chaque fois que je vois le nom d’Ann Boleyn, je ne peux pas m’empêcher d’avoir mal dans le cou.
Francine du Canada
6 février 2016 @ 14:31
Ah la pauvre… pas très maligne d’aller épouser ce monstre sanguinaire; elle devait avoir perdu la tête? En bout de ligne, elle l’a perdu (sa tête); je suis curieuse de connaître le contenu de ces archives secrètes du Vatican ;-) FdC
Actarus
6 février 2016 @ 16:31
Lui a-t-elle fait porter des cornes ? Auquel cas, elle fut une corne-muse. ;-)
Désolé, je fatigue… ^^
Maria Edite
6 février 2016 @ 17:56
Our happiness knows no bounds, as we announce the Royal Birth of His Royal Highness The Gyalsey on 5th February 2016.
Our Prince, the first Royal Child of His Majesty King Jigme Khesar Namgyel Wangchuck and Her Majesty Queen Jetsun Pema, was delivered safely at the Lingkana Palace, Thimphu. His Majesty was at Her Majesty’s side during the time of the delivery. Following the Royal Birth, His Royal Highness was first presented to His Majesty the Fourth Druk Gyalpo.
Her Majesty The Gyaltsuen and His Royal Highness are both in perfect health.
All sacred Bhutanese traditions were observed for the auspicious occasion, with His Holiness the Je Khenpo presiding over the religious ceremonies.
Their Majesties and members of the Royal family are filled with profound joy on the birth of His Royal Highness.
Their Majesties expressed appreciation to the Bhutanese medical team for their service.
Their Majesties also expressed heartfelt gratitude to the Zhung Dratshang, Rabdeys, and other religious organizations who performed prayer ceremonies in all the Dzongs and Lhakhangs across the country for the wellbeing of His Royal Highness, Their Majesties, and the people of Bhutan.
We join the people of Bhutan in our heartfelt prayers for the wellbeing of Her Majesty and His Royal Highness, and in the expression of our joy on this momentous occasion.
(Image: This photograph was taken on the 20th of January, 2016)
Maria Edite
6 février 2016 @ 17:59
Pardon, Régine, mais je ne sais pas comment faire…
https://www.facebook.com/QueenJetsun/photos/a.496224757092224.1073741825.182742265107143/961239850590710/?type=3&theater
Our happiness knows no bounds, as we announce the Royal Birth of His Royal Highness The Gyalsey on 5th February 2016.
Our Prince, the first Royal Child of His Majesty King Jigme Khesar Namgyel Wangchuck and Her Majesty Queen Jetsun Pema, was delivered safely at the Lingkana Palace, Thimphu. His Majesty was at Her Majesty’s side during the time of the delivery. Following the Royal Birth, His Royal Highness was first presented to His Majesty the Fourth Druk Gyalpo.
Her Majesty The Gyaltsuen and His Royal Highness are both in perfect health.
All sacred Bhutanese traditions were observed for the auspicious occasion, with His Holiness the Je Khenpo presiding over the religious ceremonies.
Their Majesties and members of the Royal family are filled with profound joy on the birth of His Royal Highness.
Their Majesties expressed appreciation to the Bhutanese medical team for their service.
Their Majesties also expressed heartfelt gratitude to the Zhung Dratshang, Rabdeys, and other religious organizations who performed prayer ceremonies in all the Dzongs and Lhakhangs across the country for the wellbeing of His Royal Highness, Their Majesties, and the people of Bhutan.
We join the people of Bhutan in our heartfelt prayers for the wellbeing of Her Majesty and His Royal Highness, and in the expression of our joy on this momentous occasion.
(Image: This photograph was taken on the 20th of January, 2016).
Brownie gemmologue
6 février 2016 @ 20:41
Juste une question : pour quelles raisons selon vous les archives du Vatican sont elles restées secrètes aussi longtemps ?
Plus de 500 ans quand même.
Brownie gemmologue qui aurait bien aimé voir les perles d Anne Boleyn de plus près….
Caroline
6 février 2016 @ 23:30
Ce livre doit etre intéressant à lire,spécialement sur la décision du roi Henri VIII d’Angleterre de rompre avec l’Eglise catholique romaine. C’est ainsi qu’il est devenu le chef suprème de l’Eglise Anglicane!
A voir ou à revoir le film historique dramatique ‘Deux soeurs pour un roi’!
Cosmo
7 février 2016 @ 10:59
Il ne faut pas oublier qu’Ann Boleyn, femme de garande éducation, dame d’atour de l’archiduchesse Marguerite, gouvernante de Pays-Bas, fut essentiellement un pion dans le jeu politique de son père, Thomas Boleyn, comte de Wiltshire et d’Ormonde, et de son oncle Thomas Howard, duc de Norfolk. Elle fut poussée en avant par ces deux hommes ambitieux qui espéraient ainsi avoir barre sur Henri VIII. C’était bien mal connaître le personnage. Le procès d’Ann Boleyn fut inique du début à la fin.
Robespierre
7 février 2016 @ 12:10
Inique est le mot. Et il laissa à ses « conseillers » le soin d’inventer les motifs pour la faire condamner. Lui-même affirma qu’elle l’aurait envoûté, etc etc Comme dit le dicton « qui veut noyer son chien l’accuse de la rage ». Ici il fallait faire place nette à Jane Seymour.
Cosmo
7 février 2016 @ 13:52
Robespierre,
Pourquoi Henri VIII ne l’a-t-il tout simplement pas répudiée, ou divorcée d’elle. C’était en son pouvoir. Il a mis en place cette mascarade funèbre. L’homme était profondément mauvais et pervers. Un vrai Barbe-Bleue !
Cordialement
Cosmo
Robespierre
8 février 2016 @ 11:28
Oui il était comme vous dites « profondément mauvais et pervers » et quand on lit sa biographie il y a une chose qui me révulse et que je ne me rappelle pas avoir vu ailleurs : il a fait exécuter systématiquement tous les membres de sa famille, même lointains, qui auraient pu avoir un droit au trône . Des gens qui n’avaient jamais conspiré et qui avaient le tort de lui être apparentés. Même des gens âgés et inoffensifs. Alors faire mettre à mort Anne Boleyn c’était une iniquité parmi d’autres.
Cordialement aussi à vous.
framboiz07
8 février 2016 @ 13:29
Quelle biographie nous recommandez vous, Robespierre, SVP?
Je pense qu’il avait des problèmes psychologiques, voire sexuels .J’ai lu ou entendu –il me semble– qu’il souffrait de porphyrie & que cela provoquait des troubles sexuels .Ce fut une période difficile & la suite aussi avec Mary la Sanglante …d’où l’attitude d’Elizabeth I, très méfiante …
Robespierre
9 février 2016 @ 08:56
Framboiz, si vous pouvez trouver le livre « Henry VIII et ses femmes » d’Antonia Fraser, vous verrez le vilain bonhomme qu’était Henry VIII. Mais je ne sais pas si ce livre est traduit en français, moi je l’ai lu en anglais. Il avait des plaies aux jambes qui ne guérissaient pas et c’est vrai qu’à la fin de sa vie il avait des problèmes sexuels. Il ne parvint jamais à faire un enfant à Catherine Howard, ni à Catherine Parr. On pense qu’il était diabétique, et mangeait n’importe quoi. Son grand problème, pour moi, c’était sa cruauté. Il pilla les monastères pour s’accaparer leurs richesses et tua de pauvres gens qui n’avaient que le tort de lui être apparentés. Mais c’est plus fascinant de lire un livre sur un grand méchant, que sur un enfant de choeur.
Ghislaine
8 février 2016 @ 17:46
Cornegidouille encore une Actaruse ! vous ne manquez pas de souffle ! mais elle ne fut pas une muse à règne …
désolée, ça déteint .
Ogier le Danois
9 février 2016 @ 00:45
Les armoiries octroyées à Anne Boleyn en tant que marquise de Pembroke et future reine, montrant son ascendance cognatique:
Parti de deux coupé de trois:
1. De l’Angleterre, à un lambel de la France (duché de Lancastre)
2. De la France ancienne, à un lambel gueules (l’Anjou-Naples)
3. De gueules au léopard d’or (l’Aquitaine)
4. Écartelé d’or au chef endenché d’azur (Butler) et d’argent au lion rampant de sable, couronné de gueules (Rochford).
5. De l’Angleterre, à un lambel d’argent (Thomas of Brotherton)
6. Échiqueté d’or et d’azur (Warren)
Voire écartelées avec l’Angleterre: https://en.wikipedia.org/wiki/Anne_Boleyn#/media/File:Coat_of_Arms_of_Anne_Boleyn.svg
Zeugma
10 février 2016 @ 10:55
Henri VIII a une soeur : Marguerite mariée à James IV d’Ecosse,
Leur fils James V d’Ecosse épouse Marie de Guise,
leur fille Mary (Marie Tudor) , reine d’Ecosse épouse François II, roi de France, puis Lord Darnley (Henry Stuart) puis James, comte de Bothwoll,
de son 2e mariage, nait un fils, James VI d’Ecosse (James Ier d’Angleterre), mariée avec Anne de Danemark (et ancêtre de la reine actuellement sur le trône),
Leur second fils, Charles Ier d’Angleterre (1600-1649) épouse Henriette de France (soeur de Louis XIII, roi de France),
Charles Ier est comdamné à mort et exécuté à la Tour de Londres le 30 janvier 1649.
Après l’interrègne (169-1660) de Oliver puis Richard Cromwell, les Stuart remontent sur le trône,
et là, cela devient horriblement compliqué !
Charles II (1660-1685) fils aîné de Charles Ier, épouse Catherine de Bragance sans postérité,
James II d’Angleterre (1633-1701), fils de Charles Ier, devient roi en 1685 à la mort de son frère Charles II. Il se marie avec Annie Hyde puis avec Marie de Modène. avec laquelle il a un héritier catholique légitime – Jacques François – que le Parlement ne reconnait pas parce qu’il est catholique.
James II est déposé en 1688,
Marie II (1688-1694), fille aînée de James II est reconnue comme reine et son mari William, prince d’Orange, comme le roi William III. Ils sont couronnés conjointement en 1689. William III (1689-1702) règne seul après la mort de sa femme en 1694.
Marie II et William III sont sans postérité.
Anne (1665-1714), soeur de Marie II devient reine en1702 à la mort de son beau-frère William III.
Mariée à un prince Danois, elle est sans postérité.
C’est la fin des Stuart.
On passe ensuite aux Hanovre – la dynastie qui est aujourd’hui sur le trône – d’une manière assez compliquée.
Comment et pourquoi les Hanovre ?
Pour trouver le lien ténu entre la soeur de Henri VIII et la reine actuelle, il faut remonter à James VI d’Ecosse (James Ier d’Angleterre) (1567-1625), l’arrière petit fils de Margaret (la fameuse soeur de Henri VIII)
James VI (Jame Ie d’Angleterre) eut une fille : Elisabeth (1596-1662) mariée à Frédéric V, prince du Palatinat.
Ils eurent une fille, Sophie (1630-1714).
Sophie épouse Ernest-Auguste de Hanovre (1629-1698).
Nous y voilà :
ils eurent un fils, le futur roi Georges Ier d’Angleterre (1660-1727).
Chacun connait ensuite la suite des rois et reines jusqu’à Elisabeth II :
George Ier, II et III, William IV auquel succède sa nièce Victoria (fille du duc de Kent, frère de William IV), Edouard VII, George V, Edouard VIII, George VI et – enfin – Elisabeth II.
Le passage difficile entre les Stuart et les Hanovre viennait de l’obligation de trouver un souverain protestant et l’on trouva donc George Ier, prince Allemand qui ne parlait pas anglais, mais qui réunissait deux qualités : il descendait de James Ier et il était protestant.
C’était un peu tiré par les cheveux mais ça a fonctionné.
La généalogie des rois de France apparaît simplissime à côté, même le passage des Valois aux Bourbon après la mort d’Henri III.
(Comme disait feu la comtesse de Paris : « Nous sommes tous des capétiens. »)
Francine du Canada
10 février 2016 @ 20:23
Merci Zeugma, vous venez de me démêler ça; j’avais fait la même démarche mais après la mort de Charles 1er en 1649, je n’avais pas saisi les liens. Maintenant, c’est plus clair. Bonne journée, FdC