Parution de cet ouvrage co-écrit par Charlotte Casiraghi, présidente des rencontres littéraires philosophiques de Monaco et Robert Maggiori, philosophe et critique littéraire. En voici le descriptif : « Une élève, un professeur, une rencontre, une infinité de discussions. Et l’idée est venue à Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori de mettre par écrit ce qui germait de leurs dialogues, lesquels allaient souvent tous azimuts mais revenaient toujours à la question du sensible, de ce qui nous affecte, des frontières ou de l’absence de frontière entre les émotions, de leur logique, de leur confusion parfois.
Il leur est alors apparu que tous nos états d’âme formaient un ensemble d’îlots solidaires, reliés par le courant magnétique du désir, qui tisse entre eux d’invisibles chaînes. C’est cet archipel qu’ils ont entrepris de dessiner.
Le livre, qui se lit comme un petit traité des passions, est composé d’une quarantaine d’ « entrées » (Amour, Cruauté, Patience, Modestie, Dégoût, Adoration, Admiration, Arrogance, Pitié, Fraternité, Douceur, Ennui,Tristesse, Jalousie, etc.), ancrées dans le savoir philosophique, accompagnées d’orientations de lecture finement choisies, et rédigées dans un style simple et clair. » (Merci à Cosmo)
« Archipel des passions », Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori, Seuil, 2018, 336 p.
Jul
24 février 2018 @ 06:00
Impressionnante Charlotte Casiraghi. J’ai très envie de lire cet ouvrage.
Quelles sont les inspirations philosophiques dominantes de Robert Maggiori?
Jul
24 février 2018 @ 06:13
Merci Cosmo, je me permets d’adjoindre cette vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=5n8S_SL_Ic4
Je remarque déjà une très bonne remarque au début de l’entretien au sujet de la « bienveillance » si chère à certains…
Robert Maggiori insiste lui sur la bienfaisance. Très éclairant.
Gatienne
24 février 2018 @ 11:00
…Et moi, ce lien, pour découvrir le prologue du livre:
http://www.seuil.com/ouvrage/archipel-des-passions-charlotte-casiraghi/9782021335743
Philippe
24 février 2018 @ 07:23
Ah, j’avoue que j’aimerais bien savoir, notamment, ce que cette jeune femme peut avoir à dire sur la fraternité !
Quand on descend des Polignac, une des familles les plus avides et arrivistes de notre histoire, et notamment d’un premier ministre tellement réactionnaire qu’il a provoqué une révolution à lui tout seul, qu’on est la nièce d’un souverain
absolu, quasiment le dernier, et blindé comme Crésus, qu’on ne connait de la société humaine que les 0,004 % d’individus qui détiennent à eux seuls 13% de la richesse mondiale, bref, ceux que l’on croise dans les palais, palaces,
défilés de mode, carrés VIP et autres clubs de polo, il n’est pas banal de prétendre partager sa vision du monde avec le commun … et ma curiosité
est grande.
Vraiment.
JAusten
24 février 2018 @ 11:32
ah ils ne pondent pas des œufs mais ils philosophent …… :)
June
24 février 2018 @ 11:58
Pas faux Philippe !! ;)
bianca
24 février 2018 @ 12:41
Je partage complètement votre avis, merci ! bianca
Leonor
24 février 2018 @ 13:42
Bien vu.
aubert
24 février 2018 @ 15:29
Toujours enflammé avec un fond de vérité
ce n’est peut-être qu’un dialogue entre un prof et son élève…
Philippe
25 février 2018 @ 13:58
Dans cette hypothèse, cher Aubert, on pourrait penser que l’élève soit placée légèrement en retrait du maître, et présentée comme un modeste co-auteur, mais vous pouvez constater comme moi que tel n’est pas le cas !
Leonor
25 février 2018 @ 21:21
Oui. Et il y a une solution à cette énigme. Hypothèse, bien sûr, mais juste un p’tit puzzle tout simple, dont les pièces s’emboîtent bien.
Là, en matière de ventes espérées, il est plus que probable que l’élève Casiraghi ( Charlotte, fille de la princesse Caroline de Monaco ), tractera le maître Machin.
L’éditeur n’est pas fou.
Maggiori apparemment pas non plus.
Moi non plus.
Hypothèse, hypothèse, d’accord. Mais là, mon p’tit doigt se manifeste très fort.
Arielle
25 février 2018 @ 15:53
Philippe : la richesse et la célébrité n’interdisent pas la réflexion, la vie intérieure, l’empathie, la souffrance, l’émotion, l’admiration, l’enthousiasme… sinon, seuls les SDF seraient capable de transmettre un message de valeur selon vous… Etre de haute lignée ne fait pas de vous un superficiel, pensez à l’abbé Pierre.
milou
24 février 2018 @ 07:33
Merci Régine et en regardant la Grande Librairie, de jeudi soir, 22 février, on ne peut qu’être charmé et captivé par les propos de Charlotte ainsi que de tous les intervenants, bien sûr aussi, et pour moi, en particulier, François Cheng!
Deux nouveaux livres sur ma pile lecture, j’adore!
ml
Régine
24 février 2018 @ 10:54
le lien : https://www.bing.com/videos/search?q=la+grande+librairie+charlotte+casiraghi&view=detail&mid=B664812D33D0440E549DB664812D33D0440E549D&FORM=VIRE
berton
24 février 2018 @ 12:20
Elle a la même voix que sa mère !
aubert
24 février 2018 @ 15:42
quelques réflexions:
Il est préférable de voir cette personne assise qu’en pieds !
Encore un petit effort, il y a d’autres diplômes après la licence.
Sa mère promeut la littérature. Veut-elle faire mieux avec la philosophie ?
Et la princesse Charlène dans tout ça ?
Muscate-Valeska de Lisabé
25 février 2018 @ 09:42
Mais….Charlene n’a ABSOLUMENT rien à voir avec ses domaines-là, cher Aubert.
Sinon,on le saurait. N’est-ce-pas?^^ ;-)
Robespierre
26 février 2018 @ 19:00
déjà qu’elle ne parle pas français. Et semble incapable du moindre effort intellectuel de ce côté.
agnes
25 février 2018 @ 20:06
Quelle beauté !!!
Jérôme
24 février 2018 @ 13:11
D’accord avec vous Milou. L’émission était vraiment très intéressante. Et oui, mention spéciale au magnifique François Cheng !
MAFLOER
24 février 2018 @ 09:01
J’avais vu Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori, le 1 er juin 2017, sur le plateau de « 28 Minutes » sur Arte, je pensais leur livre sorti à ce moment… On-t-il besoin de faire de la pub à leur livre ? Ils étaient à « La Grande Librairie » ce jeudi sur France 5.
aubert
24 février 2018 @ 15:27
La pub était peut-être à la grande librairie et son animateur.
Hadrien-Marie
24 février 2018 @ 18:19
Pourquoi pas? Ce sont des auteurs à part entière comme les autres…
Marnie
27 février 2018 @ 15:08
Pour un livre de philo, oui, je crois qu’il y a besoin de faire de la pub… et j’espère pour l’éditeur que ça marchera.
Arielle
24 février 2018 @ 09:29
Ce livre promet d’être une petite merveille. Ecrit avec sensibilité, finesse, érudition et sens pédagogique, cet ouvrage semble être une mine d’une grande richesse. Lors de cette émission, la jolie Charlotte Casiraghi a démontré, s’il en était besoin, ses dons littéraires, sa sensibilité, sa modestie et sa simplicité. Bravo à elle !! Grand succès garanti pour ce livre, coécrit avec un professeur d’exception.
Gatienne
24 février 2018 @ 13:37
Arielle,
Modestie et simplicité qu’elle dévoie un peu lors de ses nombreuses apparitions peu souriantes sur les photo calls des maisons de luxe, non ?
Enfin, il faut bien qu’elle gagne sa vie, toute royale-philosophe soit-elle, car la littérature, lorsqu’on embrasse la carrière d’essayiste, ne paye pas… rubis sur l’ongle !
Leonor
24 février 2018 @ 13:38
J’ai un p’tit problème de logique, avec votre texte . Comment pouvez-vous affirmer que ce bouquin est » écrit avec sensibilité, finesse, érudition et sens pédagogique » , alors que vous ne l’avez pas encore lu ?
Arielle
25 février 2018 @ 09:24
j’ai entendu Charlotte Casiraghi et son professeur plusieurs fois sur le sujet des passions. Je peux dire qu’ils sont dotés de ces qualités, qui seront reflétés, à n’en pas douter, dans l’ouvrage.
Kaloutine
25 février 2018 @ 11:31
? !
aubert
24 février 2018 @ 15:25
C’est très bien pour elle. Elle se révèle à ceux qui comme moi lui prêtait des talents, mais pas à ce niveau !
aubert
26 février 2018 @ 14:45
vous réussiriez parfaitement dans un rôle d’humoriste.
Blouin
24 février 2018 @ 11:26
Les lusitaniens ont peut-être un mot entre amour et amitié : saudade. Merci madame Régine pour le replay de l’émission que je n’ai pas pu regarder; j’ai été séduite par Charlotte et son professeur. J’ai une petite fille en terminale et je vais lui envoyer le livre.
Jacqueline
24 février 2018 @ 11:58
Enfin quelque chose qui sort du ronron habituel de cette jeunesse dorée partagée entre la banque, le sport et les podiums.
Sur le fond, je ne pense pas que ce soit une révolution copernicienne mais je veux bien être bon public.
Gatienne
25 février 2018 @ 12:33
Pour le sport et les podiums, elle connaît déjà; la banque ? peut-être un peu plus tard, lorsqu’elle aura fait le tour de son producteur de compagnon ?
Margaux ?
24 février 2018 @ 12:02
Voilà un livre que je contournerai soigneusement. Qu’est-ce qu’une petite licenciée en philosophie peut bien vouloir théoriser sur la fraternité ? Concept qu’elle ne connait pas vu ses fréquentations très sélectes. C’est mauvais rien que dans le titre. Heureusement que Maggiori (qui a certainement transigé sec pour accepter de cosigner ce livre) vient au secours de la pauvre « princesse »…
Robespierre
25 février 2018 @ 10:37
:)))))
Jérôme
25 février 2018 @ 11:12
Margaux, il y a de fortes chances que vous vous mépreniez au sujet de Robert Maggiori. Ce n’est pas le genre d’homme à se laisser forcer la main pour « cosigner ce livre ».
Margaux ?
27 février 2018 @ 13:46
Une religion s’abjure assez facilement, néanmoins si Maggiori s’est tenu aux principes que vous énoncez être les siens, sa participation à cet entretien me surprend. Il n’y a réellement aucun bénéfice à s’engager dans une oeuvre aux côtés d’une personne avec aussi peu de « science philosophique » et dont les petites sorties ici et là, font beaucoup rire les véritables philosophes, ceux qui ont poussé au-delà de la licence, diplôme qui n’a aujourd’hui qu’une valeur très relative. Bref. Je ne sais pas ce que Maggiori espère mais je pense qu’il se fourvoie sérieusement. Si ce n’est la cupidité, c’est peut-être l’âge ?
Milena K
3 mars 2018 @ 01:02
« Lia licence,diplôme qui n’a qu’une valeur relative »…ah bon.
Cette phrase est, je trouve méprisante(si on suit votre raisonnement,les « bac tout court » sont des moins que rien et ne parlons même pas des « sans-diplômes »!).Veuillez nous excuser,nous qui ne « sommes » que bac+3 et qui avons passé et réussi des concours niveau « bac+ 3 et plus » ultra selectifs…j’aimais bien vos interventions,pourtant.Il est vrai que c’était il y a 30 ans…la préhistoire,quoi! :(
Clément II
3 mars 2018 @ 19:14
Je peux me permettre ?
Les licences passées il y a trente ans ouvraient sur des concours pour lesquels il est aujourd’hui soit nécessaire d’avoir un master (je pense aux concours de l’enseignement), soit flagrant qu’il est nécessaire de disposer d’un peu plus que le niveau requis pour décrocher le poste (je pense à ce concours administratifs dont on sait parfaitement qu’ils sont « trustés » par des types sortis de master voire plus).
Quant aux contenus, les contenus des licences des années 80-90 avaient une toute autre tête que celui des licences actuelles, « post-LMD ». Les université tiraient jadis vers le haut, elles recherchaient l’excellence. Aujourd’hui, elles bradent leurs diplômes jusque sur internet.
Aucune comparaison possible.
Clément II
3 mars 2018 @ 19:15
— Quant aux contenus, CEUX des licences des années 80-90 (…) que CEUX des licences actuelles (…)
Milena K
4 mars 2018 @ 14:55
Clément II,là,nous sommes d’accord.
Cela me rappelle aussi ces énarques qui sont nuls en orthographe et consorts…pour autant,les bac + 3 actuels ne méritent pas un tel mépris…
mariejeanne
25 février 2018 @ 11:32
Je suis un peu comme Leonor : pas d’opinion avant d’avoir lu un livre.
Maggiori n’a pas accepté de cosigner mais proposé de…nuance ! le reste, je ne sais pas, je ne l’ai pas lu…!
« C’est mauvais rien que dans le titre » ah ! On a quelquefois des surprises dans les titres, dans un sens comme dans un autre, d’ailleurs !
Marnie
27 février 2018 @ 15:25
C’est un peu du délit de faciès que vous faites Margaux… je suis un peu déçue par le mépris et le manque d’ouverture d’esprit que vous exprimez ici, car j’apprécie beaucoup, d’habitude, vos commentaires.
Clément II
3 mars 2018 @ 19:30
Puis-je aussi me permettre ?
Comparez les taux de réussite actuels à la licence de philosophie, et ceux des années 80-90 (même diplôme). Je pense que vous serez surprise.
Il y a le même souci avec les licences d’histoire, de SVT, etc.
Et ne parlons pas des licences professionnelles qui ont phagocyté les anciens programmes des licences d’avant LMD, ouvrant des voies de garages pour de nombreux jeunes ne sachant pas (plus) comment valoriser un BTS et surtout, qui a permis aux facultés d’appauvrir leurs licences généralistes, en ne faisant plus que de la théorie là où jadis elles apportaient encore des rudiments de pratique.
Alors bien entendu, il y a des étudiants qui sortent du lot mais ils se comptent sur les doigts d’une main, à la sortie d’une promo et d’une fac données ; puis surtout ils ne s’arrêtent que rarement en bon chemin, ils continuent.
Si cette fille est brillante comme d’autant le prétendent et comme elle veut le faire croire, pourquoi n’a-t-elle pas continué en master (au moins) ? Quelle est la raison pour laquelle elle ne partage pas sa connaissance, en enseignant ou en intervenant dans de vrais événements autour de la philo ? Encore une fois, les gens brillants ne s’arrêtent pas à une licence ; il arrive toujours un moment où ils vont plus loin, dans les études ou dans l’emploi, voire les deux. De nos jours, c’est bête, c’est dommage mais il est très difficile de se contenter d’une licence (ou équivalent), en tout cas pas lorsque l’on veut percer.
Pierre-Yves
24 février 2018 @ 12:24
Aurais-je raté un épisode ?
Je croyais qu’il était de bon ton ici d’ironiser sur le goût et les prétentions de Charlotte en matière de philosophie, et voilà que l’annonce de la sortie de ce livre susicte une sorte d’intérêt bienveillant … Les vents changent rapidement d’orientation, on dirait …
bernadette
25 février 2018 @ 12:09
Oui, Pierre Yves, et pas seulement en ce qui concerne Charlotte. !
Leonor
24 février 2018 @ 13:40
J’attends de voir. A lire en bibliothèque. Parce qu’on ne va quand même pas encore offrir des sous en plus à Charlotte C. , qui ne doit pas être démunie, en achetant sa prose , avec les p’tits sous que moi, j’ai du mal à gagner.
Wait and read.
Philippe
25 février 2018 @ 14:03
C’est exactement ce que j’avais pensé faire, le lire, mais surtout ne pas l’acheter ! Comme vous le dites justement, Charlotte C. n’a pas besoin de notre argent …
Anastasia A
26 février 2018 @ 15:23
je partage votre avis ! à lire par curiosité mais pas à acheter … surement pas
Margaux ?
27 février 2018 @ 13:47
Je ferai de même, d’autant que si la prose peut réserver des surprises, il y a fort à parier qu’elle restera très basique. Avec une licence de philosophie, on ne fait aucun miracle de pensée.
Muscate-Valeska de Lisabé
24 février 2018 @ 14:34
La philosophie bien traitée est toujours un sujet passionnant et infini.Avec ou sans la petite Casiraghi.
j21
24 février 2018 @ 14:37
Trop intellectuel pour moi. Je n’ai rien compris au deuxième paragraphe du texte écrit par Cosmo pourtant j’ai Bac+5. En bref je n’ai plus envie de mettre mes neurones en surchauffe..
Arielle
25 février 2018 @ 15:49
j21, le texte de Cosmo est clair : le livre met en tension des émotions différentes, qui se teintent les unes des autre, se juxtaposent se rencontrent, se rassemblent, etc., tel un archipel. Plutôt original et intéressant.
Cosmo
26 février 2018 @ 19:56
J21,
je n’ai pas écrit ce texte. Je n’ai fait que donner l’information.
Cosmo
Mary
24 février 2018 @ 17:30
Bouquin qui semble vraiment intéressant !
Hadrien-Marie
24 février 2018 @ 18:17
Présente en direct: Émission » la Grande Librairie » France 5 Jeudi 22 février.
Chaque semaine, unique en son genre, cette émission regorge de petites pépites…
Robespierre
24 février 2018 @ 19:02
Dans cette mer peuplée d’archipels comment se définit l’îlot « Gad Elmaleh ». L’îlot du Grand Comique ?
Margaux ?
26 février 2018 @ 10:43
???
MAFLOER
24 février 2018 @ 19:11
PARDON POUR LA FAUTE : » ONT-ILS BESOIN… »
Antoine
24 février 2018 @ 23:12
Au risque de m’attirer des foudres de commentaires .. Hormis le « pedigree » de Charlotte Casiraghi,j’ai beau voir et revoir La grande Librairie,les propos de la fille de SAR la princesse de Hanovre sont d’une banalité affligeante ….
Tout au plus pourrions nous lui reconnaître de savoir parler ….
Quant à disserter sur la philosophie,je m’abstiendrai de tout commentaire ….
Mais j’oubliais l’essentiel,etant lauréat du concours general en philosophie et Latin/Grec,j’attendais des propos plus profonds que les quelques banalités énoncées par Charlotte Casiraghi ….
milou
25 février 2018 @ 09:50
Antoine, je vous serez gré, d’élever plus souvent le débat, ici…vu votre pedigree…mais , vous aussi, vous vous confondez en banales critiques !
Excellente journée, mon cher!
ml
bianca
26 février 2018 @ 14:43
« Je vous saurais gré », c’est mieux !!!
Trianon
27 février 2018 @ 22:30
oui..:)
l’infinitif est « savoir gré »
milou
28 février 2018 @ 07:44
Exact bianca…j’avoue une relecture paresseuse! ;-(((
ml
milou
28 février 2018 @ 08:45
Mais on peut aussi « je vous serais gré »!Non?
???
On est pas ici pour se faire trop de remarques sur l’orhographe de nos posts mais comme vous êtes ma plus fidèle suiveuse….
ml
Trianon
1 mars 2018 @ 15:00
ce n’est effectivement pas bien grave, milou!
une faute d’orthographe ne mérite pas le fouet:)
Gatienne
25 février 2018 @ 12:51
Ce qui est agréable sur ce site c’est que tout le monde peut émettre un avis sans pour autant avoir besoin de faire étalage de ses quartiers de noblesse, distinctions militaires, diplômes universitaires ou autres hochets plus dérisoires…
Antoine, Ce serait sympa que vous ne dérogiez pas à cette règle tacite ;-)
De toute façon, lorsque que quelqu’un est intelligent, lettré ou a tout simplement du cœur, cela se remarque assez vite à travers ses écrits, vous savez !
Robespierre
26 février 2018 @ 19:07
pas d’accord avec vous en ce qui concerne les lauriers d’Antoine. Moi cela m’intéresse qu’il ait été lauréat du Concours général de philosophie et latin/grec. Tout le monde n’est pas capable d’un tel exploit, et cela nous aide à mieux cerner notre ami Antoine. En outre, l’humour ne s’apprend pas dans les livres, on en a ou on n’en a pas. Don notre ami peut ajouter cette plume à son chapeau.
Robespierre
26 février 2018 @ 19:07
donC…
Jacqueline
27 février 2018 @ 16:49
Les diplômes ne sont pas des hochets, enfin la plupart. Quant au concours général, c’est un prix d’excellence. Les lauréats, depuis le premier prix jusqu’à la dernière mention, ont fait la preuve d’aptitudes remarquables. C’est plus signifiant qu’une licence, distribuée à quasiment tout le monde.
Milenà K
3 mars 2018 @ 14:27
Que de mépris !
Décidément…
berton
25 février 2018 @ 14:45
Antoine, eh bien moi je vous dis bravo. Vu mes notes de philo en terminale je ne lirais surement pas cette prose ! :)))
framboiz 07
26 février 2018 @ 01:21
Antoine, j’acquiesce , je l’ai vue plusieurs fois parler de philo et je ne lui ai rien trouvé d’exceptionnel .Mais, l’idée de faire des rencontres philo, à Monaco , me semble une belle idée , que j’avais signalée à Régine , en son temps .
Hadrien-Marie
27 février 2018 @ 05:34
Ah! Modestie, quand tu nous tiens…
Hadrien-Marie
27 février 2018 @ 19:25
Omis, d’ajouter Antoine…
Gatienne
1 mars 2018 @ 13:51
On peut dire tout ce que l’on veut sur le net, y compris la vérité, mais surtout s’inventer des vies ..;-)
Margaux ?
27 février 2018 @ 13:50
Ses propos « philosophiques », ses prestations hippiques, ses apparitions dans les défilés… tout est banal chez cette femme. Il n’y a que son pedigree qui soit un peu remarquable, mais un peu seulement car sur le fond, elle n’a que la moitié d’une hérédité notable… Les Casiraghi, ça reste très « bof » par rapport aux Grimaldi (avec leurs défauts).
Cosmo
28 février 2018 @ 14:45
Et les Grimaldi sont, somme toute, assez tuyaux de poêle…tradition allègrement perpétuée par Albert, Caroline et Stéphanie.
Valerielabelle
25 février 2018 @ 09:16
Si cela peut lui donner une légitimité en dehors d’être une jolie poupée.
Jérôme
25 février 2018 @ 11:21
Ceux qui ont regardé l’émission se souviendront que la médisance est l’un des thèmes évoqués par les auteurs du livre …
Bernadette
25 février 2018 @ 16:32
?
Claude Patricia
26 février 2018 @ 08:28
Eh oui…Charlotte doit peut-être nous lire..bref, il est certain qu’un peu de bienveillance ne peut nuire. Après, il est certain que les problèmes de classe sociale nous divise, orgueil, vanité, tous ces gentils défauts propres aux nantis en agacent aussi plus d un, mais, en même temps, on n en parlerai pas du tout, ça ne serait pas plus dérangeant. La presse people fait parfois de sacré dégâts psychologiques…autant chez les stars que les lecteurs.
aubert
26 février 2018 @ 14:50
Ceux qui commentent sur N&R, moi y compris bien sûr, se souviennent qu’un peu de médisance ne gâte pas la sauce.
Yannick
25 février 2018 @ 16:03
C’est facile de faire publier ses petites pensées quand on est « fille de ».
Tourmaline
25 février 2018 @ 18:53
J’ai regardé l’émission La Grande Librairie, qui n’était pas inintéressante même si je n’aime pas trop ces émissions où l’animateur coupe la parole juste au moment où son interlocuteur développe de manière intéressante son argument. François Cheng m’a beaucoup impressionnée, Robert Maggiorro s’exprime bien, mais Charlotte a besoin d’un coach pour éliminer ses tics de langage, en particulier le ‘euh’ qui accompagne tous les trois mots, l’insistance lourde sur les syllabes pour donner l’impression que ses mots sont profondément choisis, l’omniprésence du ‘moi’, ‘je’, ‘et donc’, ‘voilà ! ‘, ‘évidemment’. Je sais, je pinaille, mais dans ma jeunesse je faisais des transcriptions d’interviews pour gagner de l’argent (hélas pas de mannequinat pour moi, je me serais beaucoup plus amusée), et c’est incroyable comme les personnalités célèbres ont peu à dire quand la transcription élimine tous ces mots de remplissage. C’est là qu’on voit la différence entre un Maggiori, prof très l’aise dans ses réponses claires et précises, et Cheng, franchement sublime, et une philosophe amateure comme Charlotte, sympathique au demeurant dans cette émission.
Marnie
27 février 2018 @ 15:19
Tourmaline, je ne sais pas si vous regardez souvent La Grande Librairie, mais, au contraire de ce que vous dites, François Busnel fait partie des rares animateurs qui laissent parler leurs interlocuteurs et savent intervenir pour les couper avec tact quand les impératifs temporels s’imposent. Ce n’est pas facile car les écrivains/historiens/savants qui sont ses invités ne sont pas tous habitués à devoir parler dans un temps restreint et il le fait toujours avec délicatesse.
val
26 février 2018 @ 10:09
Robert Maggiori a fait ses études secondaires au lycée Jacques-Amyot de Melun (Seine-et-Marne), puis a étudié à La Sorbonne, où il a entrepris un doctorat sous la direction de Vladimir Jankélévitch, qui deviendra son maître. D’abord nommé au lycée André-Malraux de Montereau (Seine-et-Marne), puis au lycée Uruguay-France d’Avon, dans le même département, il enseigne la philosophie, depuis 1985, au lycée François-Couperin de Fontainebleau.
Je suis de Fontainebleau et Monsieur Maggiori a toutjours été un professeur très apprécié de ses élèves, ma fille l’a eut , et bon nombre de jeunes que je connais ont connu Charlotte et d’ailleurs Monsieur Magiori a toujours dit que Charlotte a été une de ses meilleurs élèves , a toutes les mauvaises langues qui crachent sans arrêt sur Charlotte, c’est la plus instruite et intelligente de la famille Monaco , avec son Oncle Albert , en plus d’être belle , talentueuse, elle est très intelligente cela fache les esprits étroits , et sous alimentés intellectuels comme une certaine personne de ce site que je ne nommerai pas tellement elle est peut interressante et stupide pour sortir ces méchancetés à longueur de post. et donner un avis sur tout et raconter sa vie qui nous indiffère au plus haut point .
Muscate-Valeska de Lisabé
27 février 2018 @ 20:07
-« Mais de QUI parle Val? »,demanda Muscatine,en ouvrant grand ses yeux SI innocents. …;’)))))))))
milou
28 février 2018 @ 07:54
De votre avis, val, sur la belle intelligence de Charlotte, ici trop vite et facilement décriée…pour Albert ses diplômes ne le font pas paraître plus intelligent et n’oublions pas Caroline…ses diplômes et sa grande culture!
Pour la personne à qui vous reprochez à longueur d’articles d’être stupide …cela annule totalement votre com!
ml
mariejeanne
28 février 2018 @ 16:48
Je ne collectionne pas tous les diplômes mais…par curiosité, vous qui savez tout sur Caroline, pourriez-vous m’énoncer les siens ? merci
Je ne savais pas d’autre part que les diplômes rendaient intelligents !
Milenà K
3 mars 2018 @ 14:29
On a la preuve que c est parfois faux.Au moins sur N et R.
mariejeanne
27 février 2018 @ 17:26
Je n’aurai pas mis sur le même plan l’instruction et l’intelligence !
Clément II
27 février 2018 @ 23:07
Qu’est-ce qu’une simple petite licenciée en philo, n’ayant jamais fréquenté quiconque autre que des amis sélectionnés sur le voler, peut-elle bien avoir à raconter sur les émotions, leur logique et leur confusion « parfois » ? L’escroquerie continue.
Cosmo
28 février 2018 @ 14:58
Vous oubliez qu’elle a toujours une oeuvre de Platon dans son sac à main, histoire d’élever son esprit entre deux défilés de mode et un jumping.
La presse a fait état d’une fortune personnelle de cinq milliards d’euros qui lui donnent peut-être la conviction d’avoir plus de neurones que d’autres…
Quand elle sourit (rarement), elle est plutôt agréable à regarder mais cela ne lui donne pas autorité pour parler de sujets, où, en effet, elle ne doit pas connaître grand chose.
Elle n’a pas osé tout de même parler de la pauvreté dans le monde et de l’aide aux pays déshérités comme sa belle-soeur Tatiana qui, déjà riche, s’enrichit tout de même sur le dos du commerce équitable.
Robespierre
1 mars 2018 @ 15:20
d’où viendraient ces cinq milliards d’euros ?
Muscate-Valeska de Lisabé
2 mars 2018 @ 19:57
Pas de ma poche,Rob,c’est sûr. ;-))
Clément II
3 mars 2018 @ 19:32
Elle ne monte plus à cheval, en tout cas pas en concours.
Milena K
2 mars 2018 @ 03:04
Bon,en résumé,Charlotte,c’est la caution « intello » de la famille?
Je ne m’intéresse pas à la philosophie mais j’ai de gros doutes sur les talents de cette jeune personne à en manier les concepts…cependant,si elle contribue à l’ouverture des esprits…why not?Enfin,si elle se nommait Charlotte Tartempion,je ne pense pas qu’on preterait la moindre attention à son discours…
Clément II
3 mars 2018 @ 19:34
Vous voyez, vous admettez à demi mot que la licence de philosophie est somme toute légère pour être apte à manier les concepts de cette discipline. Je pense qu’il faut prendre les propos de Margaux en ce sens. ?
Milena K
4 mars 2018 @ 15:04
La philosophie(un an de « pratique » en terminale dans les années 80 et une épreuve au bac …et c’est bien assez!)me semble une matière tellement aride et qui ne souffre pas d’approximations,que j’ai du mal à m’imaginer que,même avec une licence,on puisse se l’approprier…d’où ma réflexion au sujet de Melle Casiraghi qui,à ma connaissance ,n’enseigne pas, et n’est ni certifiée ni agrégée. ;)