Parution en portugais de ce livre « As Infantas de Bragança e a Sua Descendência – História das Filhas de D. Miguel I » par Dativo Silva y Ocana avec une note introductive de dom Duarte, duc de Bragance
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Rose
21 octobre 2021 @ 06:53
Ces princesses sont le lien entre la plupart des familles royales catholiques d’Europe.
La reine Élisabeth de Belgique (ancêtre aussi de famille d’Italie), fille de la princesse Marie-José, l’impératrice Zita et son frère, le prince Félix de luxembourg, fils de la princesse Marie-Antonia, la Grande-duchesse Charlotte, fille de la princesse Marie-Anne, la mère du prince François-Joseph de Liechtenstein, fille de la princesse Marie Therese, le père de la reine Anne de Roumanie, étaient tous cousins germains.
Ces liens sont moins connus que ceux qui unissent les descendants de la reine Victoria et de Christian IX du Danemark.
Ces princesses étaient très solidaires , ont fait de beaux mariages avec des hommes parfois très laids ou plus âgés, puis ont marié leurs enfants entre-eux. Elles ont imprégné ces familles royales d’un catholicisme très strict qui les marque encore aujourd’hui. Leurs descendants bénéficient également d’une très longue longévité.
Quel dommage que le livre ne sorte pas en français !
Belle journée
Rose
Cosmo
21 octobre 2021 @ 07:20
Ce roi brouillon, comploteur et fort peu sympathique a eu la bonne idée de mourir après 15 ans de mariage, après avoir fait sept enfants à sa femme. Celle-ci sut marier ses filles, comme ce livre doit bien l’expliquer. Et si Victoria est la grand-mère protestante de l’Europe, on peut dire que Adélaïde de Löwenstein-Wertheim-Rosenberg, reine fantôme du Portugal, en est la grand-mère catholique.
Il est rare qu’une moniale de Solesmes ait une telle descendance.
Bambou
21 octobre 2021 @ 08:15
J’aime beaucoup la couverture du livre.
Gérard
21 octobre 2021 @ 09:00
Duc de San Jaime paraît plus approprié pour don Alfonso.
Caroline
21 octobre 2021 @ 11:02
Certainement traduit en espagnol ?
Caroline
21 octobre 2021 @ 11:20
Rose et Cosmo,
Merci pour vos explications ‘ complémentaires ‘ !
Sigismond
21 octobre 2021 @ 11:24
« Maria das Neves (1852-1941) mariée à l’infant Alfonso d’Espagne, duc de San Jaime » : Marie des Neiges de Bragance qui devint de jure reine de France, de Navarre et d’Espagne en 1931, quand son mari le prince Alphonse de Bourbon, duc de San Jaime, devint le chef des Maisons royales de France, de Navarre et d’Espagne.
Cosmo
21 octobre 2021 @ 11:39
Que le dernier ferme la porte !
Gérard
21 octobre 2021 @ 18:30
Et des terres découvertes à marée basse…
Cosmo
22 octobre 2021 @ 12:22
Sans oublier les nuages roses. 🤣
Sigismond
23 octobre 2021 @ 18:31
Bonjour Dupond et Dupont 🤣
Cosmo
25 octobre 2021 @ 07:07
Pour répondre au professeur Tournesol.
Jean Pierre
21 octobre 2021 @ 11:31
Des infantes portugaises qui n’ont jamais dû mettre les pieds au Portugal. Sauf Maria Ana, lors de sa fuite vers l’Amérique du Nord et encore pour quelques jours.
Tiantilb
21 octobre 2021 @ 12:29
Michel de Bragance n’était pas le fils de son père officiel, le futur Jean VI, mais le fils de Dom Pedro José Joaquim Vito de Meneses Coutinho, marquis de Marialva. Il affichait une ressemblance fort indiscrète avec son père biologique. À la naissance de Michel le futur Jean VI, alors prince régent du Portugal, vivait une complète séparation de corps d’avec son épouse, Charlotte-Joaquime d’Espagne, et ce, depuis 2 ans et demi ! L’enfant fut quand quand même reconnu par l’époux de sa mère. Il semble que ce dernier ne souhaitait pas ajouter aux scandales familiaux (« guerre conjugale » entre Jean et Charlotte-Joaquime, complots pour le chasser de la régence). En épousant la princesse Adélaïde de Löwenstein-Wertheim-Rosenberg le prince Michel s’est éloigné des unions consanguines alors admises par les familles régnantes d’Europe. Les origines un brin « mêlées » de Michel et l’absence de liens de parenté avec son épouse ont eut pour résultat des enfants beaux, en excellente santé. Les brillants mariages des filles du prince Michel et de la princesse Adélaïde ont permis d’apporter une bonne dose de sang neuf à des familles (Habsbourg, Liechtenstein, Bourbon-Parme) qui en avaient bien besoin.
Cosmo
22 octobre 2021 @ 17:19
Telle mère, telle fille…mais si la mère était physiquement convenable – encore que pas tant que ça si on se fie à Goya – la fille était d’une laideur absolue et d’une rare noirceur d’âme.
Sigismond
23 octobre 2021 @ 07:58
Encore des ragots de concierges, comme la rumeur Bernis chez les Orléans.
Selon vous, les Bragance actuels ne seraient pas des Bragance ?
Seul l’ADN peut le démontrer.
Jean Pierre
23 octobre 2021 @ 09:44
La mère de Duarte est aussi une Bragance de la branche Petropolis.
Donc ils ont l’ADN portugais.
Sigismond
25 octobre 2021 @ 09:43
En fait je parlais de l’ADN-Y, celui qui ne se transmet que de mâle en mâle.
La mère de Duarte est une Orléans, donc une Capétienne, mais étant une femme elle ne transmet pas l’ADN-Y.
Gérard
23 octobre 2021 @ 11:20
Oui dans un pays de guerre civile il pouvait être tentant de dire que le roi n’était pas le fils de son père. D’autre part sa mère n’était pas aimée au Portugal, Charlotte-Joachime qu’on appelait la Megère de Queluz.
Celle-ci était extravagante et se fit beaucoup d’ennemis.
On accusa donc dom Pedro José Joachim Vito de Meneses Coutinho sixième marquis de Marialva plus tard ambassadeur à Paris, mais aussi João dos Santos jardinier royal à la Quinta do Ramalhão, qui est aujourd’hui un collège religieux.
De son côté le roi Jean VI aurait eu une liaison homosexuelle avec son valet de chambre. Mais il avait attendu longtemps pour consommer son mariage ce qui le désespérait un peu car il avait 18 ans à ce moment-là et son épouse 10 et il écrivait à sa sœur qu’il aimait sa femme dont il saluait aussi l’intelligence.
Cosmo
23 octobre 2021 @ 13:24
En fait, tout le monde s’en fiche mais les ragots alimentent les conversations…mais ne dit-on pas qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Et quand il y a un feu, il faut bien l’éteindre. Ces dames savaient y faire, avant, pendant et après. 🤣
Sigismond
25 octobre 2021 @ 09:51
Eh non on ne s’en fiche pas, puisque si Miguel I n’avait pas eu l’ADN-Y capétien de João VI, alors Duarte de Bragança qui descend de Miguel I, n’aurait aucun droit au trône de Portugal. Et le duc de Loulé verrait ses prétentions consolidées.
C’est comme Felipe VI d’Espagne, dont certaines mauvaises langues prétendent qu’il ne descendrait que d’un bâtard d’Isabel II !
Cosmo
25 octobre 2021 @ 12:31
Droit au trône du Portugal ? Revenez sur terre.
Quant à Felipe VI…peu importe Isabelle II et peu importe Marie-Louise. Elles étaient connues pour leur appétit sexuel et de préférence hors du lit conjugal. Le roi ne règne que parce que Franco l’a décidé et si ce dernier avait été vraiment légitimiste, il aurait désigné votre cher aîné…le mettant ainsi hors course pour la France. 😢 Mais je pense que le Caudillo avait la vision large. Un cadet en Espagne et l’aîné en France…il n’y a donc plus de Pyrénées. 😜
Embrassons-nous Folleville !
Sigismond
26 octobre 2021 @ 14:16
Selon vous, déterminer qui a droit à la couronne portugaise c’est planer ? Allez dire ça aux partisans de Duarte. En tout cas, ce prétendant rencontre quelque écho seulement parce qu’il descend de Miguel I. Par conséquent, si Tiantilb disait vrai, Duarte serait dans les choux.
COLETTE C.
21 octobre 2021 @ 13:50
Dommage que ce livre soit en portugais, il m’aurait intéressée.
Très jolie couverture du livre.
Cecicela
21 octobre 2021 @ 14:32
Il s’en est est fallu de peu (mais à six filles près tout de même) pour qu’une partie de ses petits-enfants soit protestante puisque, si Maria Ana avait eu, ne serait-ce qu’un fils, celui ci aurait eu la religion de son père et aurait été l’héritier du trône luxembourgeois.
Quatre souverains du XIXème siècle, à peu près contemporains les uns des autres, sont, diversement, les ascendants de la plupart des royaux européens, monarchies actuelles et passées confondues : Miguel de Portugal et la reine Victoria, déjà cités, ainsi que Louis Philippe, roi des français et Christian IX de Danemark. Quelques uns cumulent même les quatre dans leur arbre généalogique, tels les enfants de Guillaume et Sibilla de Luxembourg ou les filles de Michel et Anne de Roumanie.
Cecicela
22 octobre 2021 @ 14:09
Mon commentaire était une réponse à celui de Cosmo. Comment s’est il retrouvé là? Mystère.
MlleGiuliana
22 octobre 2021 @ 09:12
Bien sûr, nous parlons tous portugais. Tout comme ces princesses, en fait ; avec une pointe de casque…
Pouvons nous espérer une traduction au moins en espagnol ? Histoire que j’économise ma lusitophone préférée.