Le livre sortira à Londres le 1er octobre 2019. Son titre est sobre: « Before Wallis, Edward’s other women« . Son auteur Rachel Tretheway nous plonge en 380 pages dans la vie sentimentales du prince de Galles, futur roi Edward VIII avant sa rencontre avec Wallis Simpson. Tourmenté mais terriblement séduisant, le jeune prince eut trois longues liaisons dans ses jeunes années : avec Rosemary Leveson, avec Freda Dudley Ward et enfin Thelma Furness. Ces trois femmes auraient pu changer le cours de l’Histoire. Elles expliquent en tout cas la personnalité complexe du futur duc de Windsor.
1 juillet 2018 @ 03:19
La sortie de ce livre étant prévu seulement en octobre 2019, il me sembl qu’on s’y prend tôt pour en faire la pub.
1 juillet 2018 @ 07:49
Vu l’époque, c’étaient des femmes mariées. Il ne s’est jamais intéressé aux jeunes filles et je n’ai jamais entendu dire qu’il ait hésité à demander la main de l’une ou l’autre. Je ne sais pas si c’est le dépit ou la réalité, mais lady Furness laissait entendre qu’il n’était pas un bon coup. .
3 juillet 2018 @ 08:36
À l’époque où le futur Edward VIII fréquentait lady Rosemary Leveson-Gower (1893-1930), elle n’était pas encore mariée.
Fille du 4e duc de Sutherland, éprise du prince de Galles lequel souhaita l’épouser vers 1917-1918. On dit qu’elle fut refusée par George V et Queen Mary car cette dernière aurait eu vent de cas de maladie mentale dans la famille de la jeune lady. En réalité, c’est la mère de lady Rosemary qui posait problème. Dame aussi brillante, cultivée et curieuse, plutôt moderne (l’opposé de Queen Mary!), elle s’était promptement remariée à la mort du duc avant d’oser se séparer de ce 2e époux alors même que le prince de Galles souhaitait épouser sa fille. Mariée une 3e fois en 1919, elle devait de nouveau divorcer en 1925 après avoir « constaté » l’homosexualité de son 3e époux, expérience dont elle fit par la suite un roman … Lady Rosemary épousa finalement l’un des meilleurs amis du futur duc de Windsor, le futur 3e comte de Dudley, et devint mère de trois fils avant de disparaître dans un accident d’avion en 1930. Lord Dudley devait devenir avec sa 3e épouse Grace (elle-même divorcée du prince Stanislas Radziwill, 2e époux de Lee Bouvier, soeur de Jacqueline Bouvier Kennedy Onassis …) un intime des ducs de Windsor. Eux aussi vivaient principalement à Paris.
3 juillet 2018 @ 08:43
Lady Thelma Furness se répandit en effet sur les piètres qualités sexuelles de son amant princier. Gagnant les Etats-Unis pour rendre visite à sa soeur Gloria Vanderbilt, elle confia ce dernier aux bons soins de son amie Wallis Simpson. Et durant la traversée de l’Atlantique, tomba dans les bras d’Ali Khan qui avait déjà la réputation à laquelle le futur Edward VIII ne pouvait prétendre…
3 juillet 2018 @ 09:00
Freda Dudley Ward (1894-1983) née Winifred Birkin (l’actrice Jane Birkin est issue de la même famille) fut la maîtresse du futur duc de Windsor des années durant. Aussi discrète que très mariée, elle plaisait aussi parce qu’elle exerçait, paraît-il, une « heureuse influence » sur le prince de Galles qui la quitta peu après avoir rencontré Mrs Simpson. Divorcée en 1931, Freda se remaria en 1937 au marquis de Casa Maury dont elle divorça en 1954. Elle ne se confia jamais sur sa longue liaison princière mais quelques années après sa mort, on découvrit plus de 200 lettres écrites à Freda par le prince et je crois me souvenir qu’elles furent publiées il n’y a pas si longtemps.
3 juillet 2018 @ 12:19
Je vous remercie pour toutes les précisions que vous nous avez donné sur les trois compagnes du Roi Edward VIII d’Angleterre avant Wallis Simpson.
4 juillet 2018 @ 21:18
Je me joins à vous,Delphine. Merci beaucoup Jérôme.
3 juillet 2018 @ 13:53
Merci pour ces précisions Jérôme.
1 juillet 2018 @ 08:18
Le fait d’être prince héritier compensait sans doute d’autres … faiblesses.
1 juillet 2018 @ 08:36
Si le George V avait accepté que David épouse Rosemary Leveson-Gower (la seule aristocrate du lot), son destin à elle aurait pu être changé, elle n’aurait peut-être jamais pris cet avion quelques années plus tard qui l’a, ainsi que les quelques autres passagers et pilotes, pulvérisée dans les airs. Le prince a rencontré Rosemary en France pendant la 1GM vers 1915-1916, je ne suis pas sûr qu’ils aient été amants (au sens biblique du terme), en 1917 le prince avait une maîtresse française et en 1918 il commençait sa relation avec Freda Dudley Ward.
Après elle, David n’a approché que des femmes mariées … pour emm…. son père j’imagine, dans un premier temps, puis après il a dû y prendre gout.
1 juillet 2018 @ 08:42
Après Rosemary, David n’a approché que des femmes mariées …
1 juillet 2018 @ 10:21
C’était moins risqué, et … des femmes mariées étaient supposées savoir faire ce que le prince ne savait pas faire sans … disons, sans aide.
En bon français, il y a une expression pour dire ça. Vous trouverez bien tout seuls.
Bon, enfin là, évidemment, je répète ce que j’ai lu.
Pour une fois …
Mais pas lu qu’une fois .
1 juillet 2018 @ 10:29
je ne savais pas que le roi George V avait refusé un parti pour son fils. Mais cet homme était tellement bête et sa femme si prétentieuse que cela ne m’étonne pas. Il ne fit jamais d’enfant à ses maîtresses mariées, et on dit qu’il contracta dans son adolescence les oreillons…
2 juillet 2018 @ 10:17
Il y aurait eu des objections quant à la famille de Rosemary. Les Leveson-Gower n’ont jamais brillé par leur « moralité » (mais qui à ce sujet brillait vraiment à ces époques?) et aimaient s’élever dans la société. George V et Mary étaient très « buttoned-up ». De toutes les façons cela n’aurait rien changé, David n’a fait d’enfant à aucune des femmes qu’il a fréquenté, et aucune autre (même inconnue) n’est venu réclamer sa part de l’héritage pour son « éventuel » enfant illégitime (même après toutes ces années). Le destin de Lilibeth était d’être reine, et elle l’est toujours.
3 juillet 2018 @ 12:25
En effet Georges V n’était pas un foudre de guerre et sa femme non plus. Ils étaient tellement coincés et à cheval sur tout qu’ils ont traumatisé leurs enfants. Ils sont responsables de tout ce qui s’est passé par la suite « abdication, mariage avec la Wallis…. »! Heureusement qu’après avoir commis des erreurs la souveraine actuelle a changé son fusil d’épaule et a accepté de se moderniser sinon elle serait tomber dans le même piège que ses grands-parents! En obligeant le Prince de Galles actuel à contracter un mariage avec une pauvre innocente dont il n’était pas amoureux a été la plus grosse erreur qu’elle a commise. Dieu merci pour son petit-fils William elle n’a pas reproduit la même gaffe.
4 juillet 2018 @ 12:02
je trouve votre raisonnement bien trop simpliste ; vous comparez deux époques incomparables en enjambant au moins 60 ans.
1 juillet 2018 @ 10:08
Un petit air à la Jude Law,sur cette photo. Ça ne peut que me plaire♡.
1 juillet 2018 @ 11:09
A y bien regarder, a reine Mary a quand même fabriqué avec son ex-futur-beau-frère une belle brochette d’enfants d’une manière générale pas très glorieusement servis. Six au total, si je me souviens bien.
Une fille qui, que quoi, bref, dont on ne parlait pas beaucoup, mais qui ressemblait plus à un cheval au pré qu’à une princesse d’Angleterre. Vous me direz qu’elle n’est pas la seule parmi les princesses d’Angleterre, ça excuse.
Et cinq garçons diversement doués :
– l’aîné, présenté ici, dont on a déjà tout dit et le reste, et qui a calé devant son boulot, faute majeure avant quelques autres fautes vénielles , comme d’aller faire risette à Adolf , sous la houlette de Bobonne.
– le second , prince pas encore héritier était affligé de genoux cagneux, bégayait comme pas possible, avait l’estomac en capilotade parce que sa nurse l’avait sous-nourri et que maman s’en fichait, de quoi développer ‘une timidité maladive. Pas excessivement doué non plus, en quelque matière que ce soit y compris au cubile, qui chez lui était plutôt lectus que concubile ( en bon latin, cubile = lit entendu comme meuble à tout faire, à boire et à manger; lectus = meuble utilisé pour dormir). Pas très doué, au point que sa future désignée volontaire l’avait plusieurs fois envoyé bouler avant de se résigner à lui dire oui . Mais qui, lui , bon gré mal gré, a eu le courage de faire son devoir, là aussi, dans tous les domaines, la guerre et le lit, avec les moyens du bord.
– un certain John, à je ne sais plus quelle place dans la fratrie, mort autour de vingt ans après deux décennies de mise à l’écart pour cause de handicap indéfini dans la version officielle. Pauv’ gosse.
– le futur duc de Kent, George, fort beau gosse, et qui serait ma foi très à la mode et plus qu’honorable de nos jours, vu qu’il serait le porte-drapeau de toutes les gay-prides et manifestations LGBT de tout poil et à poil, ainsi que des manif’ pour la libéralisation de la marie-jeanne et autres substances encore plus intéressantes. Lui aussi a fait son devoir, en épousant en version officielle la très fauchée Marina de Grèce qui a saisi l’occasion en dépit de tout, et en poussant le dévouement à la Couronne jusqu’à la féconder par trois fois . Chapeau. Il est mort en s’envoyant en l’air en avion, non pas à la guerre, mais pendant la guerre. Dommage pour la médaille.
– le futur duc de Gloucester, Henry de son petit nom, un peu moins beau que le précédent, mais quand même pas mal fourni en ossature et musculature, mais beaucoup moins paraît-il en matière grise. Il avait aussi les esgourdes qui ne fonctionnaient pas très bien, sauf bien entendu si on considère que c’était, comme très souvent chez la gent masculine, une surdité d’abord diplomatique. Mais Queen Mary his Mum est quand même parvenue à le fourguer à la très belle Alice Montagu Douglas-Scott , qui était un vrai cadeau vu qu’elle était née à Noël, et que son paternel à elle , sans être roi, était quand même le premier propriétaire foncier d’Ecosse, et c’est grand, l’Ecosse. C’était aussi une fille d’une résistance exceptionnelle, vu qu’elle a damé le pion à Queen Mum herself, en décédant à 102 ans, quand la précédente n’est parvenue à atteindre que 101 ans.
Bref. Queen Mary avait beau porter beau , et s’auto-couronner de toute une collection de diadèmes plus scintillants les uns que les autres, ses fils et fille n’étaient pas vraiment des lumières.
Mais bon, dans la vie, on fait ce qu’on peut.
2 juillet 2018 @ 08:07
J’adore !!!
Merci pour cet éclat de rire du matin !!!
2 juillet 2018 @ 13:17
Féroce mais très drôle, chère Leonor
2 juillet 2018 @ 13:41
Excellent !
2 juillet 2018 @ 19:35
Vous m’avez beaucoup amusée, Leonor, vos portraits sont à la fois cruels et humains.
Pour Bertie; alias George VI, je serai plus plus indulgente, hors les handicaps physiques et psychologiques qui il eut, il a tout de même eu une conduite disons, à la mesure de ce que l’on attendait d’un roi de Grande Bretagne, face à ce que l’on sait.
Un petit bémol dans votre énumération, il me semble que Kent était le dernier, donc avant Gloucester , mais bon, pas grave.
Ce qui m’amène à me réjouir :
1 que William ait épousé une femme issue de la middle class britannique.
2 que Henri ait épousé une femme , certes, américaine, métisse, (oh la la !) mais bien représentative de la diversité de ce qui fait le Commonwealth .
Et la reine ne s’y est pas trompée en faisant de ce couple le représentant dudit Commonwealth !
4 juillet 2018 @ 17:52
Charlotte ,j’aurais aussi placé les Gloucester en queue de peloton .Ils sont si discrets et les Kent sont 3 même si le prince Michael et son épouse sont peu actifs . Par association d’idées je me dis que le Prince Albert ,pas le victorien,a bien tourné .Il a beaucoup de points communs avec les deux aînés de la fratrie Windsor : bégaiement,parents absents ,relations amoureuses diverses et variées je vous dispense de problèmes physiques dont je le pense exempt et il n’est pas stérile . Imaginez qu’il ait épousé une fille Trump ! L’ennemi de l’Europe à nos portes ! Ouf ! Longue vie à Charlène !
3 juillet 2018 @ 09:12
On peut en effet dire que ce couple royal (George V & Queen Mary) exemplaire dans ses fonctions, le fut nettement moins comme parents et donna à sa progéniture une éducation épouvantable dont chacun de leurs six enfants souffrit.
Nobody’s perfect certes mais il suffit d’avoir un peu étudié la vie de chacun des six enfants pour en constater les dommages.
À noter que la princesse Mary, comtesse de Harewood, est celle qui s’en est le mieux sortie …
5 juillet 2018 @ 21:02
Parce qu’elle est sortie au sens propre de la famille .
3 juillet 2018 @ 12:39
Très intéressant et plein d’humour noir votre résumé des enfants de Georges V et Mary d’Angleterre. Félicitations c’est parfait.
3 juillet 2018 @ 17:19
Excellent Leonor !
5 juillet 2018 @ 16:21
Merci, les amis ! Et vous me voyez ravie de vous avoir fait rire ! A une autre fois .
Spécial Nota pour Charlotte AL :
Vous avez tout à fait raison, évidemment, pour ce qui est de la place dans la fratrie du duc de Gloucester.
Et je partage entièrement votre indulgence, et plus que ça, pour » Bertie ». Il a fait front, malgré tous ses handicaps.
1 juillet 2018 @ 13:23
Tourmenté ? C’est à dire ?
1 juillet 2018 @ 16:26
A cette époque, sortir avec une jeune fille signifiait un mariage à plus ou moins long terme et sans relations sexuelles préalables. Le prince ne pouvait s’afficher avec des actrices ou des danseuses , mieux valait éviter les prostituées, que restait- il ? Les femmes mariées !
Quant à être ou non » un bon … », il faut toujours se méfier des commentaires d’une femme dédaignée !
Lors du film, « le discours d’un roi », la rumeur courait selon laquelle George V ne brillait pas plus en ce domaine qu’en élocution…
Et Eléonore Denuelle de La Plaigne, mère du comte Léon, avançait l’aiguille de l’horloge pour que Napoléon parte plus vite !
L’ex- chauffeur d’un président de la république nous a complaisamment révélé qu’il était surnommé » monsieur 3 minutes » ( temps qu’il consacrait à ses » copines » ).
Et puis, Mesdames, NE LISEZ PAS Messieurs , sans avoir mené une vie de patachon, combien de partenaires d’exception rencontre-t – on dans une vie ?
2 juillet 2018 @ 09:17
Mary , Napoléon disait lui-même qu’il préférait l’amour « à la hussarde ! » (sauf avec Joséphine je suppose , qui fut la femme « que j’ai le plus aimée » et qui le visita dans ses derniers moments de vie à ste-Hélène, du moins c’est ce qu’il crut voir!).
2 juillet 2018 @ 15:42
Le film ‘le discours d’un roi » concerne le roi George VI le père de la reine Elizabeth !
2 juillet 2018 @ 22:34
Oui, j’ ai oublié le « I » ! Autour du film, les journalistes sous – entendaient avec la délicatesse qu’on leur connaît , que George VI » concrétisait » malaisément…
2 juillet 2018 @ 19:42
Bon, Mary, puisque vous vous lancez sur le terrain, je vais être « triviale » disons qu’il a (George VI ) bégayé deux fois !
Mais pour vous dire la vérité, j’ai répondu de manière légère, mais très sincèrement, je ne partage pas.
Et en ce qui concerne les partenaires d’exception, toutes les femmes ne sont pas non plus des « bons coups » !
3 juillet 2018 @ 09:21
Hé hé, joli post, Mary ! :-))
Mention spéciale pour la dernière phrase :-))
Qu’il parte encore plus vite, Napoléon ? Hé bé . Déjà qu’il était d’une rapidité foudroyante , en tout ! Ce qui, évidemment, ne devait pas faire l’affaire de Joséphine, qui, en la matière, connaissait son affaire, vu qu’elle était en affaires avec plein de plus ou moins beaux mâles qui, eux, la connaissaient, leur affaire .
3 juillet 2018 @ 14:29
Hihihi ,les filles ,(Kalistéa ,Charlotte Al et Léonor ),
Nous avons lancé une nouvelle rubrique : » la minute coquine » sur Noblesse et Royautés…
:-)))
5 juillet 2018 @ 21:10
Oui enfin ,faudrait avoir des sujets plus récents ,parce que Napo ,y’a plus de témouines.
6 juillet 2018 @ 09:50
Il me semble chère Mary que cette rubrique devrait l’être davantage (décoincée et coquine) afin qu’on rigole au lieu de se crêper le chignon pour défendre des personnes qui se fichent pas mal de nos opinions!
1 juillet 2018 @ 17:27
Aucun membre de la famille royale anglaise ne lui ressemble.
1 juillet 2018 @ 18:26
Vraiment? Realy ?
1 juillet 2018 @ 19:56
Il me semble que Coco Chanel fut également une de ses proches amies !
2 juillet 2018 @ 07:50
Il aimait aussi , et qui sait, surtout, les garçons…Mais on en parle moins ….
3 juillet 2018 @ 14:33
Si oui, il a toujours réfréné cette pulsion et – paraît-il – a toujours dit qu’il ne supportait pas les homosexuels ! Il faut lui pardonner, c’était toujours un délit à son époque.
4 juillet 2018 @ 13:51
Il n’y a jamais eu aucune preuve à ce sujet. Édouard VIII a passé sa vie (ses jours et ses nuits) avec des femmes.
6 juillet 2018 @ 09:53
Exact Marie de Bourgogne ! On cancane , on extrapole , et rien de concrêt ne peut être avancé à ce sujet .Le personnage en question a toujours été entouré de femmes , a lancé des modes masculines , et a abandonné le trône le plus prestigieux pour pouvoir vivre avec l’une d’elles toute sa vie .
2 juillet 2018 @ 09:57
Et même un gros air ! Voilà un casting de fait pour un futur film.
2 juillet 2018 @ 11:33
J’ai toujours pensé et le pense encore qu’il était homo et qu’il fallait donc donner le change à l’époque…
3 juillet 2018 @ 12:43
Si c’était le cas il ne fut pas le seul monarque homo du Gotha mais les autres au moins ont fait semblant de contracter un mariage et on eu des enfants…
5 juillet 2018 @ 21:21
Oui mais lui ,même homo est tombé amoureux ( j’ai horreur de cette expression) d’une femme et pas d’enfant et la face de l’Angleterre en a été changée .Il est impossible d’imaginer Wallis Simpson avec un bébé ,et le pauvre bébé aurait été défiguré par les griffures des broches ! Ouf ! Il l’a échappé belle! Ah mais c’est pour ça que Queen Mary était distante avec ses enfants ! A cause des broches ,.
3 juillet 2018 @ 17:25
Je le pense toujours
2 juillet 2018 @ 17:47
Oh comme je n’aime pas ce regard !
3 juillet 2018 @ 14:45
Commentaire originellement destiné à Muscate.
5 juillet 2018 @ 18:28
Je vous invite à relire l’Abdication, d’Alain Decaux. Oui le roi fréquentait d’autres femmes avant Wallis.